Aveu

tout ce qu’il se passe à cet instant contrairement à Gide auteur qui peut, avec le recul, mieux définir cet acte (« mauvaises habitudes »). Il y a donc dès les premières lignes une réelle distinction entre les deux « je ». La présence d’un pseudo aveu (« Mettons que c’est par pénitence que je l’écris ») renforce cette double identité et s’oppose ainsi à un discours et à une réalité bien différents. En effet, le « je » narrant utilise le verbe « mettons » qui montre, selon Christine Ligier , une

alors veuve, avoue son amour passionnel à Hippolyte. Cependant, lui aime Aricie et se dévoile à elle, juste avant de partir à la recherche de son père. Cet extrait de l’acte II, scène 5 est un moment très important dans la pièce, où Phèdre fait son aveu, directement à son bien-aimé, dans une tirade violente. Nous pouvons alors nous demander en quoi cette tirade est dramatisée. Pour répondre à cette question, nous verrons dans un premier temps, la scène d’aveu tragique. Puis dans un second temps, Phèdre comme

propriétaire de la boîte à portrait.- Manœuvre de Dubois : le portrait qu’il feint de vouloir enlever de la chambre de Dorante- 4è fausse confidence (II, 13) Araminte à Dorante (elle lui dicte une lettre dans laquelle elle feint de vouloir épouser le comte)- Aveu de Dorante- Colère d’AraminteIII13Araminte, Dorante, Monsieur Rémy, Marton, le Comte, Arlequin, le garçon, Mme Argante, Dubois- 5è fausse confidence : la lettre de Dorante à un ami lue publiquement et qui révèle à tous l’amour de Dorante pour A- 6è

pas moins ; Tes malheurs te prêtaient encor de nouveaux charmes. J'ai langui, j'ai séché dans les feux, dans les larmes : Il suffit de tes yeux pour t'en persuader, Si tes yeux un moment pouvaient me regarder. Que dis-je ? Cet aveu que je te viens de faire, Cet aveu si honteux, le crois-tu volontaire ? Tremblante pour un fils que je n'osais trahir, Je te venais prier de ne le point haïr : Faibles projets d'un cœur trop plein de ce qu'il aime ! Hélas ! je ne t'ai pu parler que de toi-même

Nemours au bal de fiancailles de la fille du roi.47-49 Mort de madame de Chartres, mère bien-aimée et éducatrice de la princesse de Clèves ETAPES DE LA LUTTE CONTRE LA PASSION47-49 première conversation ( = éveil de l'aour)55-56 le vol du portrait ( = aveu : elle sait qu'il l'aime puisqu'il vole le portrait - il sait qu'elle l'aime puisqu'elle ne dit rien)59-60 : accident de monsieur de Nemours ( = la princesse laisse voir publiquement combien elle est amoureuse de monsieur de Nemours)61-64 : la lettre

arguments qui l’emporte. Question 4 Car Socrate cherche à détruire l’adversaire, alors il la technique du discours le plus persuasif ne fonctionne plus. Question 5 Son aveu d’ignorance et son désir de poursuivre la recherche. Question 6 Si il se fait reprocher quelque chose, il peut contredire son opposant en lui faisant aveu d’ignorance envers le jugement qu’il a porté sur celui-ci.

La Princesse de Clèves Tome IV de « Cependant M. de Clèves était presque abandonné des médecins. » à « de faux serments ou un aveu me feraient peut-être une égale peine. » La Mort du Prince de Clèves INTRODUCTION Mme de Clèves fait à son mari l’étonnant aveu de l’amour qu’elle porte à un autre homme, sans le nommer (Tome III). Conséquence directe de cet aveu et de l’engrenage de la jalousie qu’il implique, la mort du prince de Clèves est d’une extrême importance pour la suite du roman

mort et de la cruauté (amour non partagé) Situation dramatique : scène propre au théâtre ╚►Caractérisez la scène : Dépit amoureux (dispute sans conséquence entre amoureux dans la comédie), aveu, dilemme, déclaration d'amour, quiproquo dans la comédie, scène d'affrontement, plaidoyer, discours argumentatif,...) ? Aveu amoureux (v 25) ╚►recherche du champ lexical de l'amour v4 « j'aime, je t'aime »,, v 33 « aimer » v6 « fol amour » (adjectif indiquant le caractère insensé de cet amour) v 11 « allumé le

Sophocle célèbre, IV siècle avant J.C. Genre : théâtre - tragédie grecque Propos : Œdipe, roi de Thèbes, est destiné être le meurtrier de son père et l’époux de sa mère. Résumé : -mort Laïos = exposition -aveu de Tirésias à Œdipe, qui prend ça pour une supercherie = nœud -aveu du Corinthien à Œdipe > suicide Jocaste > Œdipe se rend aveugle = dénouement Construction de la pièce : -enquête policière (énigme > suspects > enquête > résolution) Passages importants : -Tirésias

l'enjeu tragique dans cette pièce est beaucoup moi la signification de la parole que sa présence. Comme le dit Roland Barthes, critique littéraire, c’est « beaucoup moins le sens de la parole que son apparition, beaucoup moins l’amour de Phèdre que son aveu. Phèdre est son silence même : dénouer le silence, c’est mourir, mais aussi mourir ne peut être qu’avoir parlé ». La parole: La parole est nécessaire. Effectivement, le théâtre Racinien est très statique (il n’y avait qu’une didascalie pour Phèdre