Aveu

antithèse. Elle emploie "tout" pour caractériser ce que lui a apporté Maréchal et "rien" pour ce que lui a apporté Roland. - Elle compare sa vie à une nuit vide et noire : "ce serait vide, noir et vide comme la nuit". 3) La justification - Cette aveu n'est pas une confession car à aucun moment elle n’a de regrets : "je ne regrette rien". - Pour se justifier, elle prend Dieu à témoin : "devant Dieu qui m'entend" ; "il a été mon mari devant Dieu". - Elle légitime cette liaison : "j'ai été sa femme

amour « Mais n’importe » = montre que pour Dorante un infime moment d’amour réciproque lui suffit et qu’il n’a que faire du reste = montre la profondeur des sentiments de Dorante »II- Un amour partagé par Araminte « Et voila pourtant ce qui arrive » = aveu d’Araminte auquel Dorante ne s’attendait absolument pas en disant « qui pourrait se l’imaginer ? », en effet c’était une question rhétorique à laquelle il aurait répondu « personne » mais Araminte marque un vrai tournant dans la pièce en se dévoilant

=efficacité d'un moyen de preuve Loi du 13mars 2000: écrit sous la forme électronique (de qui émane la preuve + intégrité du format) Exceptions au principe de la preuve par écrit Écrits qui constituent la preuve des actes juridiques ? Preuves équivalentes ?->aveu et serment Preuves qui remplacent l'écrit? Exceptions en l'absence d'écrit préconstitué Exceptions quand l'écrit n'existe plus ? Uniquement en cas de force majeur on peut présenter autre chose Quels sont les différents modes de preuve de l'acte juridique

difficulté du rendez-vous : « je n'ai que peu d'instants «  (l69, p271). La mise en scène qui permet de dissimuler le rendez-vous : Mme Walter marche dans l'église. La réunion des amants, chacun sur un prie-Dieu. Le dialogue amoureux : aveu de faiblesse de Mme Walter, aveu d'amour de Bel-ami qui conduit à celui de Mme Walter et pour finir le geste d'union : Duroy lui prend la main et la pose sur son cœur. La scène est dramatisée car de nombreux détails la rendent plus vivante. Des détails auditifs tout

-responsabilité de Phèdre : pronoms « je », et possessifs de la 1° personne -aveu à Oenone, concrétise sa passion (Parler, c’est déjà se donner raison) -jansénisme de Phèdre

ni de nuits ni de moments avec monsieur de Nemours. Il ne m'a jamais vue en particulier ; je ne l'ai jamais souffert, ni écouté, et j'en ferais tous les serments... - N'en dites pas davantage, interrompit monsieur de Clèves ; de faux serments ou un aveu me feraient peut-être une égale peine. Contextualisation : espion va dire a MrdC que N s’est introduit 2 fois a coulomniers Scène de conflit Accusation reproche dans un premier temps puis menace (576) enfin justification de la femme Qui parles 

pas moins. Tes malheurs te prêtaient encore nouveaux charmes. J'ai langui, j'ai séché, dans les feux, dans les larmes. Il suffit de tes yeux pour t'en persuader, Si tes yeux un moment pouvaient me regarder. Que dis-je ? Cet aveu que je te viens de faire, Cet aveu si honteux, le crois-tu volontaire ? Je te venias prier de ne le point haïr. Faibles projets d'un coeur trop plein de ce qu'il aime ! Hélas ! je ne t'ai pu parler que de toi-même. Venge-toi, punis-moi d'un odieux amour. Dignes

rectangle. [...] il ne reste à apple que faire des procès à tout le monde pour des histoires de brevets fumeux pour barrer la route aux concurrents. comme aveu de faiblesse on ne fait pas mieux. [...] il ne reste à apple que faire des procès à tout les monde pour des histoires de brevets fumeux pour barrer la route aux concurrents. comme aveu de faiblesse on ne fait pas mieux. [...]

connaît un succès exceptionnel mais est également très controversé pour la place qu'il accorde à la femme notamment dans la scène de l'aveu. Dans cette scène, Mme de Clèves fait à son mari l’ aveu de l’amour qu’elle porte à un autre homme, chose qui ne se faisait pas à l'époque . Conséquence directe de cet aveu et de l’engrenage de la jalousie qu’il implique, la mort du prince de Clèves est d’une grande importance pour la suite du roman. Le texte étudié est le récit pathétique d’une dernière entrevue

mari, qui ne comprend guère son goût pour la solitude. Elle avoue alors, les yeux remplis de larmes, qu’elle est éprise d’un autre homme, et que pour rester digne de lui, elle doit quitter la cour. M. de Nemours assiste, caché et invisible, à cet aveu. M. de Clèves est dans un premier temps tranquillisé par la franchise courageuse de son épouse. Puis aussitôt, il commence à ressentir une vive jalousie et presse son épouse de mille questions auxquelles elle ne répond pas. Elle ne lui dévoilera pas