Aveu

tombe amoureuse du premier fils de celui-ci : Hippolyte. Cette passion, considérée comme incestueuse, va provoquer le malheur de Phèdre et de son entourage.             Nous étudions une tirade extraite de la scène 3 de l’acte I. Phèdre, dans cet aveu qui est le premier, raconte à sa nourrice Oenone, sa rencontre avec Hippolyte et la passion au double sens du terme qui en a résulté.   [LECTURE]   Quel est le rôle de cet extrait ? En quoi cet extrait de tragédie illustre-t-il la vision racinienne

détaillée. Ce projet de lecture étudierait idéalement la dialectique incertaine entre la raison et le sentiment, mise en rapport avec la franchise factice de la rupture. II. La réponse du marquis : une scène d’aveu inversé. Il y a aveu d’amour, mais qui est en fait un aveu de désamour ? ironie tragique. III. La clarification : la marquise l’a obtenue : elle a gagné mais elle a tout perdu. En effet, elle n’est plus aimée, d’où une certaine douleur ; on note le dépit amoureux, le dépit mortel. Le

qu'elle est gouvernée par ses passions et abandonnée au mal. La scène 3 de l'acte I constitue une étape importante du récit car Phèdre y aborde l'attirance qu'elle ressent pour son beau-fils Hippolyte. C'est un aveu très grave que Phèdre fait à sa nourrice, les conséquences de cet aveu pourraient être terrible, d'autant plus qu'il est question de la femme du roi, et que ce serait porter atteinte à l'image sacrée de ce dernier que de donner suite à cette amour. Alfred de Musset est un grand écrivain

Les présomptions de l'homme Par. 4 : L'aveu A - Notions générales B - La distinction entre aveu judiciaire et aveu extra-judiciaire 1°) L'aveu judiciaire a) Force probante b) Caractères - Indivisible : - aveu pur et simple ; - aveu qualifié ; - cas particulier de l'aveu complexe - Irrévocable

Ainsi, cette dernière supplie son mari de fuir la cour pour trouver refuge à Coulomniers. Ce dernier trouvant étrange ce désir de retraite de sa femme pense qu'elle cache quelque chose, et la pousse à parler. Cet aveu se fait devant le Duc de Nemours qui, caché, épie le couple. D'emblée, cet aveu s'avère donc problématique, puisqu'il est forcé et que la parole est déviée par l'amant caché. Il ne peut donc être source de liberté et de vérité. Lecture. Composition: Notre passage se déroule en trois temps

paroles de Phèdre sont brutales : annonce de l’innocence d’Hyppolite et le récit de cette innocence. C’est un aveu brutal, on voit l’agitation. V.13 : mise en avant de « moi ». Antithèse entre chaste, respectueux, profane et incestueux. Double crime : mort d’Hyppolite, oser jeter un œil incestueux. Chiasme entre les quatre. Il y a une notion de pureté qui annonce l’impureté de Phèdre : c’est un aveu sacrilège. 2) Justifications de Phèdre Elle veut être innocente, elle trouve d’autres responsables :

envers la princesse. 2- La rêverie à Coulommiers (Le gentilhomme… Quatrième partie) Situation : après l’aveu. Le duc de Nemours n’est pas encore totalement sur que c’est de lui qu’elle est amoureuse (imbécile !). Mais ici, on va avoir un aveu visuel, où elle va implicitement, et visuellement montrer que c’est bien lui que la princesse aime. La princesse s’est retirée à Coulommiers, avant Mme de Martigues discute avec Nemours. Et le prince de Clèves a la puce à l’oreille, car il pose beaucoup

pas moins ; Tes malheurs te prêtaient encor de nouveaux charmes. J’ai langui, j’ai séché dans les feux, dans les larmes : Il suffit de tes yeux pour t’en persuader, Si tes yeux un moment pouvaient me regarder… Que dis-je ? cet aveu que je te viens de faire, Cet aveu si honteux, le crois-tu volontaire ? Tremblante pour un fils que je n’osais trahir Je te venais prier de ne le point haïr : Faibles projets d’un cœur trop plein de ce qu’il aime ! Hélas ! je ne t’ai pu parler que de toi-même

par des états si intenses et si contradictoires qu'elle nous inspire aussi de la compassion. En effet, le passage à l'appui se situe à la scène 5 de l’acte II : il s’agit du deuxième aveu amoureux de Phèdre à Hippolyte, dans la pièce ainsi qu’au sein même de la scène. Il s’agira donc d’étudier comment cet aveu, qui marque un tournant dans la pièce en mettant en scène le personnage ambivalent de Phèdre tout habitée par sa passion amoureuse, représente l’apogée et la modernité du théâtre racinien

pour sa beauté mais au fond elle aime aussi Cyrano pour les mots doux qu'il souffle à Christian. Dans cette scène celle ci apprend que Christian était enfaite « Le porte parole » de Cyrano. Comment est mis en œuvre dans cette scène dramatiquement un aveu arraché à contrecœur ? Dans un premier temps nous allons parler du drame théâtral puis d’une scène d’aveu détournée pour terminer par un amour tragique. Tout d’abord nous voyons que l’auteur cherche à donner de l’émotion à la scène et aux dialogues