Aveu

1er aveu involontaire de Clytemnestre (« Menteuse ! » : elle s’est trahie sans le vouloir) ; Electre commence à comprendre grâce à Agathe. Mise en scène : le nom Egisthe est prononcé par un pers extérieur, il précède l’arrivée du pers sur scène = effet dramatique, il arrive à point nommé. II,7 : 2e aveu de Clytemnestre, cette fois volontaire → elle répète les mêmes expressions (« j’aime Egisthe », « depuis 10 ans ») → comme si elle se libérait d’un poids, passion. II,8 : 3e et dernier aveu de la

bien des années plus tôt afin de lui annoncer sa mort prochaine. Mais sa mère, son frère et sa sœur profitent de sa venue pour l’accuser, chacun à leur manière, de la douleur que leur a causé son départ et Louis repart finalement sans avoir fait son aveu. SITUATION DU PASSAGE : La scène étudiée constitue le Prologue : il renvoie à un usage inscrit dans dans les origines du théâtre occidental, « pro logos » signifiant « discours avant » et désignant à l’origine la première partie

préoccupations, comme cela avait déjà été le cas dans l’acte II, scène 5, elle vois dans le personnage d’Arlequin une occasion inespéré : son élévation sociale. => « notre mariage » → passage obligé de l’accord mariale « mon père » ; « permis » ; « aveu » ; « demander ma main » → code chez les nobles Arlequin ne respecte pas les codes de la demande en mariage, il n’est qu’un domestique, qui refait surface. → il fait sa demande directement à Lisette (sans passer par son père) Il a dans sa réplique

Plan -Intro -Développement I. Couple Hippolyte-Aricie a. Les personnages dans la tragédie racinienne b. L’Hippolyte de Racine c. Les personnages dans leur contexte II. Aveu d’Hippolyte a. Caractéristiques de l’aveu b. Passion amoureuse c. Les effets Commentaire composé Nous allons étudier un passage tiré de « Phèdre », de Jean Racine. Jean Racine est un poète tragique français considéré comme l’un des

qu’il utilise le jugement dernier semble assimilé son projet autobiographique à la procédure chrétienne, mais il manque une dimension essentielle, celle du repentir. Son projet par rapport aux Confessions : - donne un aveu : il dit ce qu’il a fait de mal et de bien. - cet aveu devient un défit (contraire de repentir qui suppose l’humilité, et le défit suppose l’orgueil.) Transition vers le deuxième axe : bizarrement, de manière originale, avant qu’il soit commencé son livre, en écrivant son

de Hippolyte et que seule la mort, vers 24 : « froid inconnu », peut en quelque sorte « refroidir », éteindre cette amour. On peut donc voir dans cette première partie que Phèdre tente par tous les moyens de se disculper grâce à son aveu. On va maintenant passer à la deuxième partie qui s’intéresse à une fin pas totalement tragique. Pour débuter cette deuxième partie, on peut noter vers 1 à 3 le champ lexical de la justice avec : « injuste », « coupable

satisfaire ses désirs ? Il est l’idée dans un premier temps que la tirade de met en scène une déclaration d'amours puis dans un deuxième temps que cette tirade est une attaque contre les faux dévot tous d'abords cette tirade constitue un aveu amoureux en effet le mot aveu et même employé (v 971) il ressoit car il est situer après la censure et dans les 1er vers de plus il s'agit bien d'un propres amoureux le champs lexical dominant et celui de l'amour qui est développe tous au long de l'extrait les mots

souffrance dans le corps b) Troubles psychologiques V14 la raison égarée V17-19v hallucinations visuelles + V.17/18 : opposition « ma bouche / je » scission de la personnalité L’impuissance de Phèdre :-un amour assimilé à une maladie incurable v.15+ Aveu d’impuissance Aussi rôle du CHIASME au v. 15 impression d’enfermement de Phèdre (entre 2 adjectifs au préfixe négatif ) l’adjectif « éperdue », renforce l’idée d’un esprit en perdition II/ une passion tragique, placée sous le signe de la fatalité

direct" de Roxanne, telle une héroïne tragique. I. Les visées de la lettre. 1. Les aveux de Roxanne. La lettre commence par "Oui" cela introduit les aveux de Roxanne, c'est comme une réponse affirmative et évidente à une question posée. Son aveu est complet. Elle avoue d'une part son crime, elle a tué les eunuques qui ont assassinés son amant "Je viens d'envoyer devant moi ces gardiens sacrilèges qui ont répandu le plus beau sang du monde" l 5-6. D'autre part, elle avoue son amour inconditionnelle

“pourrais”, “n’aurait” entre les lignes 10-16. Cela souligne combien cette hypothèse ne peut accéder à la réalisation. L’idée de l’union restera un conditionnel pour l’éternité : une éventualité, un potentiel non exploité. TRANSITION: Nous avons vu que cet aveu permet de faire tomber une dernière fois les masques. L'aveu parut choquant à l'époque de Mme de Lafayette car la princesse tout en confiant ses sentiments détruit toutes les espérances du Duc et du lecteur qui pourrait croire à une histoire d’amour