Aveu

Document réalisé par Mme Anne-Noellia Carrols, professeure agrégée, lycée Cocteau à Miramas Séquence « Spectacle et comédie » (Le théâtre du XVIIè au XXIè siècle). Explication linéaire n°1 : Molière, Le Malade imaginaire, Acte II, scène 5 Cléante. […] Belle Philis, c’est trop, c’est trop souffrir, Rompons ce dur silence, et m’ouvrez vos pensées, Apprenez-moi ma destinée, Faut-il vivre ? Faut-il mourir ? Angélique répond en chantant. Vous me voyez, Tircis, triste et mélancolique, Aux

s’attend à ce qu’Hippolyte, qui est aussi son beau-fils l’aime en retour dans l’acte II, scène 5. Cependant, elle se sent coupable, puisqu’être amoureux d’un membre de sa famille n’est pas accepté par la société de son temps : « Cet aveu que je te viens de faire, / Cet aveu si honteux, le crois-tu volontaire ? » dans la même scène. De cette manière, Phèdre, même amoureuse, ne comptait pas lui avouer ses sentiments. Un autre sentiment naturel commun avec les lecteurs est la colère que ressent Thésée envers

de honte ;On s'en défend d'abord ; mais de l'air qu'on s'y prend,On fait connoître assez que notre coeur se rend,Qu'à nos voeux par honneur notre bouche s'oppose,Et que de tels refus promettent toute chose.C'est vous faire sans doute un assez libre aveu,Et sur notre pudeur me ménager bien peu ;Mais puisque la parole enfin en est lâchée,A retenir Damis me serois−je attachée,Aurois−je, je vous prie, avec tant de douceurEcouté tout au long l'offre de votre coeur,Aurois−je pris la chose ainsi qu'on m'a

judiciaire. L’aveu judiciaire découle d’une preuve écrite qui ne peut qu’incriminer l’individu et en avouant suite à ce type de document écrit, cela fait de cet aveu une preuve parfaite. L’aveu extrajudiciaire est prononcé verbalement mais sans preuve matérielle ce qui pourrait porter confusion et un doute auprès du juge qui considérera que cet aveu constituera une preuve imparfaite. * Le serment décisoire est une déclaration écrite qui a pour objet que celui qui porte serment jure de dire la vérité

la confiance et la sincérité. Lorsque la comtesse demande à Suzanne de tout lui dire, Suzanne déclare : «  Je n’ai rien à cacher à madame ». Vers la fin de la scène, la comtesse reconnaît que Suzanne lui a fait « un honnête aveu ». Cette franchise se double d’une affection réciproque . Madame désigne Suzanne par des diminutifs qui ont une valeur affective termes hypocoristiques  : «  Quoi, Suzon, il voulait te séduire ? »,

profonde pitié pour son amie et est excédé par ses inquiétudes. Ennuyée par la froideur d'Adolphe, Ellénore le confie à une de ses amies qui le questionne sur ses sentiments. Celui-ci finit par avouer que l'Amour a chez lui laissé sa place à l'amitié. Cet aveu jette un froid entre les amants et déchaine les colères de la dame qui se venge de lui en recherchant la présence d'hommes. Le Baron de T. invite le jeune homme à se joindre au cercle de ses amis. Celui-ci passe une agréable soirée parmi cette société

répétitions coups de poing ( comme pour secouer Nicolas): « Réponds-moi «  répété deux fois. Le père donne à deux reprises le prénom de son fils, comme pour le faire réagir.!!!! - A nouveau, Nicolas déconcerte son père avec le « Je n’y arrive pas. » Aveu de se fragilité , force de l’aveu, que son père va reprendre en écho comme pour mieux dénigrer ce que son fils avait pourtant mis du temps à avouer. Reprise du « tu n’arrives pas…. » « Je ne comprends même pas ce que ça veut dire «  ( le « ça »

Anthologie de Français Sommaire : Le 16ème siècle : « Sonnet pour Hélène » de Pierre de Ronsard Le 17ème siècle : « La fille » de Jean de La Fontaine Le 18ème siècle : « Aveu d’une femme » de Marceline Desabordes-Valmore Le 19ème siècle : « Mon rêve familier » de Verlaine Le 20ème siècle : « La Courbe de tes yeux » de Paul Eluard Poème du 16ème siècle « Sonnet à Hélène » Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle, Assise auprès du feu, dévidant

l’élément essentiel du discours. Diderot organise sa lettre en exploitant par le jeu des déictiques son opposition avec Tibulle : le sens de l’énoncé : « mais je suis seul dans mon lit, et lui il y tenait entre ses bras celle dont il était aimé » est un aveu de solitude et de contrition avec des phrases qui dissocient les pronoms je et il et leurs variations morphologiques. Il est bien certain qu’avec l’emploi renouvelé des pronoms et adjectifs possessifs : « je, mon, il, lui » qui s’opposent dans deux

elle se retire de la cour en sacrificeI- Un aveu flou , pudique , dissimulé sous la forme d’un discours. (Paragraphe1)II-Les « didascalies » d’une mise en scène tragique . (P2)III-La réaction inattendue du Prince de Clèves . « P3 »Tiret , guillemets Discours direct« ,monsieur, »emphaseElle met en valeur le prince de clèvesMultiplication du pronom « je »Elle exprime l’émotion avec l’utilisation du jeu , elle est à ses genoux« je vais vous faire un aveu que l’on n’a jamais fait à son mari »exordeC’est