Aveu

Lisette de ses propres scrupules et la scène s'achève sur un deuxième aveu symétrique du premier. Ces "confessions" burlesques manifestent chez les personnages le plaisir des mots, un art de la chute... et du rebond. En effet, à aucun moment Lisette et Arlequin, malgré leur déception, ne perdent leur bonne humeur. C'est ce qui les distingue de leurs maîtres. Analyse littéraire I. Du quiproquo a l'aveu a) Un double aveu Au début de la scène, le quiproquo règne en maître, comme dans les

elle a eu tord ou raison de faire cet aveu. Dans une première partie nous montrerons en quoi cette scène engendre une grande souffrance chez les deux personnages. Dans une seconde partie nous montrerons que bien qu'ils s'inspirent la compassion, ils ne nous inspirent jamais de pitié et s'élève au nom de héros. Voyons dans une première partie en quoi cette scène est pathétique, en quoi la princesse a peut être eu tord de faire cet aveu qui va la plonger elle et son mari

Cet aveu est donc nécessaire.PB : en quoi cette scène apparait-elle comme une scène sublime ?1mvmt : 1er paragraphe : l’aveu sublime de la princesse2eme mvmt : 2eme paragraphe : le prince abasourdi3eme mvtm : 3eme paragraphe : du mari aimant au mari jaloux

qu'elle arrive.   Acte 2 Scène 4 - Le départ d'Hippolyte   Hippolyte demande à ce que l'on prépare son départ.   Acte 2 Scène 5 - Phèdre déclare sa flamme à Hippolyte   Phèdre déclare sa flamme à Hippolyte. Celui-ci en est gêné, et refuse cet aveu. Phèdre frustrée et honteuse le prie de la tuer (elle lui arrache son épée pour mettre fin à ses jours, Oenone l'en dissuade).   Acte 2 Scène 6 - Hippolyte part pour éviter le trouble causé par Phèdre   Théramène dit à Hippolyte que les provinces

Texte 3 : Les Fausses Confidences de Marivaux : de « J’ai tout perdu » à la fin de la scène. (extrait de l’Acte III, Scène 12) Situation : Avant-dernière scène de la pièce, celle-ci est orientée vers l’aveu des sentiments et de la vérité et annonce le dénouement très proche. Projet de lecture : En quoi ce passage participe-t-il au dénouement de la comédie ? 1° mouvement : La supplique de Dorante (L. 1 à 6) l.1 - Deux courtes phrases dont le « je » de Dorante est sujet : état d’esprit au moment

Introduction I- Un aveu amoureux A- Le récit d'un amour impossible B- Les manifestations de l'amour Introduction   (Introduction de la scène) Alors que les deux premières scènes de Phèdre ont introduit les personnages d’Hippolyte, Théramène et Oenone, le spectateur attend avec impatience l’arrivée du personnage qui donne son nom à la pièce, Phèdre. La scène 3 de l’acte I est la première scène dans laquelle apparaît Phèdre. Auparavant, ce personnage a été mentionné dans la scène d’exposition

d'avouer ses sentiments à Hippolyte. Au cours de cet aveu, elle se présente comme victime de sa passion. Nous allons étudier la tirade de Phèdre adressée à Hippolyte durant la scène 5 de l'Acte 2. Au travers de cette longue tirade, nous étudierons la violence des sentiments de ce personnage. Nous commencerons alors notre étude par l'aveu fait par Phèdre. Puis nous parlerons de la culpabilité qu'a alors ce personnage au moment de son aveu. Enfin, nous verrons la violence à la fois verbale et

particulier, en effet d’une part Mme de Clève fait un aveu lourd et riche d’importance presque arrogant alors qu’à la fin elle l’implore en se jetant à ses pieds, Mme de Clèves monopolise la parole et prend les devants car elle n’a plus sa mère et devient donc de plus en plus forte et essaye de protéger son intimité, elle ne fait pas réellement d’aveu car elle ne donne pas une vérité complète, elle est hypocrite (hypocrites = l’acteurComment cet aveu novateur montre-t-il l’évolution psychologique de

ainsi à disculper Hippolyte. Mais l’acte V fait naître chez Thésée des doutes, trop tardifs : le récit de Théramène lui apprend la mort terrible d’Hippolyte. Dans cette scène 7 nous arrivons au dénouement. Problématique: Quel sens donner à l’ultime aveu de Phèdre ? I - Un plaidoyer A. L’aveu intervient de façon brutale Il est introduit par un alexandrin au rythme brisé qui marque l’urgence, renforcée par le recours à l’impératif. Il est affirmé par le verbe qui exprime la faute : « osai ». Cette

Elle se méfie de sa jeunesse (l.2/3), (l.9/10). Aveu= acte réfléchi, dicté par la raison, elle y avait déjà songé. Une fidélité jusqu'à l'aveu P. de C.= perso type de fidélité imparable. Mari l'avoue (l.36/37). Superlatifs=insiste sur cette fidélité: "la plus grande marque"; "jamais". a) le courage de l'aveu Véritable force morale. Aveu courageux car risque de perdre respect et amour de son mari. Bien consciente par la dernière prière (l.16). Aveu extra pour XVIIème ayant fait scandale. Bussy-Rabutin