Aveu

éléments de la tirade de Phèdre qui traduisent le sentiment honteux qu'elle éprouve et qui se retrouvent dans les caractéristiques de la tragédie. ------------------------------------------------- I. Une demande de service qui précède un aveu : l'adultère A) Une demande anodine et un repenti (Idée 1)Tout d'abord, la situation initiale semble dans un premier temps, relativement anodine. En effet, la mort de Thésée annoncée, Phèdre vient chercher l'appui d'Hippolyte pour la protection

Lecture analytique Phèdre, Acte 2, scène 5 Dans cette scène, Phèdre fait l’aveu de son amour à Hyppolyte. Cet aveu est contre nature puisqu’il s’adresse à son beau -fils, le propre fils du mari de Phèdre, Thésée dont on ne connait pas le sort. Selon Aristote, un évènement doit avoir lieu dans la tragédie. Et cet évènement doit procurer à la fois la terreur chez le spectateur mais aussi la pitié pour le personnage victime de cet évènement. Ici, ils sont deux à être victimes : Phèdre à la fois coupable

Hippolyte. Celui-ci en est gêné, et refuse cet aveu. Phèdre frustrée et honteuse le prie de la tuer (elle lui arrache son épée pour mettre fin à ses jours, Oenone l'en dissuade). 6 - Acte II, scène 6 Théramène dit à Hippolyte que les provinces d'Athènes ont délibéré et que Phèdre et son fils prennent le pouvoir à Athènes. Hippolyte veut partir pour éviter le trouble du secret avoué par Phèdre. III - ACTE III 1 - Acte III, scène 1 Phèdre est anéantie par son aveu et discute avec Oenone. La reine Phèdre

certaine maîtrise du langage dans son emportement amoureux. Les compliments font partie de la stratégie de Tartuffe qui a le calcul de mêler le langage religieux à celui du profane B)Cependant Tartuffe mélange à sa galanterie un langage dévot _Dans cet aveu, Tartuffe ne se défait pas de son rôle de faux dévot ; il donne ainsi des accents de religion à sa flamme pour ne pas brusquer la situation, de ne pas montrer qui il est réellement. _il commence sa tirade par « l’amour qui nous attache aux beautés

qui renonce ainsi à disculper Hippolyte. Mais l’acte V fait naître chez Thésée des doutes, trop tardifs : le récit de Théramène lui apprend la mort terrible d’Hippolyte. Dans cette scène 7 nous arrivons au dénouement. Quel sens donner à l’ultime aveu de Phèdre ? UN PLAIDOYER L’aveu intervient de façon brutale, dans les trois premiers vers de la tirade, introduit par un alexandrin au rythme brisé qui marque l’urgence, renforcée par le recours à l’impératif. Il est affirmé par le pronom

Phèdre, qui renonce ainsi à disculper Hippolyte. Mais l’acte V fait naître chez Thésée des doutes, trop tardifs : le récit de Théramène lui apprend la mort terrible d’Hippolyte. Dans cette scène 7 nous arrivons au dénouement. Quel sens donner à l’ultime aveu de Phèdre ?       UN PLAIDOYER     L’aveu intervient de façon brutale, dans les trois premiers vers de la tirade, introduit par un alexandrin au rythme brisé qui marque l’urgence, renforcée par le recours à l’impératif. Il est affirmé par le pronom

simple. Il semble que l’extrait étudié nous fasse rire avec la présence d’un quiproquo et d’un aveu de la part des deux comédiens. Nous allons nous demander comment l’auteur réussit à nous faire rire en faisant passer le quiproquo des personnages à un aveu ? Dans un premier temps nous étudierons le fait de passer de la confusion à la révélation en s’axant

travers de multiples jeux de séduction et intrigues la société de son époque. Dans cette extrait, Chérubin, filleul et premier page du comte Almaviva est épris de la comtesse et cherche à lui dévoiler ses sentiments. Plusieurs obstacles rendent cet aveu impossible. Par quels moyens Chérubin tente-t-il d’avouer son amour à la Comtesse ? Nous nous intéresserons d’abord au rôle du ruban, accessoire important de la pièce, puis nous définirons les éléments qui ont empêché Chérubin de parvenir à ses

narrateur La culpabilité du narrateur Transition : Un aveu jailli d'une photo II La photo Une prise de vue soignée Un décor dépourvu de poésie Une « silhouette abstraite » ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- I 1) Tout d'abord, le narrateur pose enfin son existence comme s'il naissait véritablement au moment où il écrit cet aveu comme le montre le passé composé (prolongemt du passé ds le présent):

premier temps nous verrons l'aspect dramatique de cet aveu, puis comment il ne libère ni ne soulage l'héroïne. l. Une scène dramatique 1) Une impossibilité à communiquer. - Asymétrie du dialogue = la princesse commence à lui parler ("Ne me contraignez point") puis se tait, et enfin démarre son discours par une injonction ("Eh") qui laisse deviner son désarroi. + Présence du Duc qui épie la scène (mentionné plus haut dans le texte) = aveu qui n'est plus individuel et qui régit la suite de l'intrigue