Aveu

Cette scène propose une sorte de troisième aveu de Phèdre : après celui à Oenone et celui à Hippolyte, c’est cette fois à Thésée que Phèdre avoue son amour coupable. Mais par rapport aux deux autres aveux, la situation a bien changé car Hippolyte est mort et le problème majeur n’est plus l’amour incestueux qu’éprouve la crétoise pour son beau-fils mais davantage le fait qu’elle l’ait accusé à tort et ainsi, conduit à la mort. Si cet aveu, qui a des allures fortement judiciaires, conduit à une réhabilitation

de Thésée, aime Hippolyte, le fils de Thésée et de sa première femme. Au début de la pièce, nous apprenons par un aveu fait à Oenone, sa confidente, qu'elle aime Hippolyte. Au début de l'acte II, on apprend la mort de Thésée (fausse mort). Phèdre qui se croit veuve avoue dans cette scène son amour pour Hippolyte. Après l'aveu masqué de la tirade précédent, c'est ici le véritable aveu (le deuxième de la pièce). L'aveu de Phèdre est total et violent, on a l'impression d'un certain désordre. On peut

conclusions d'appel tendant à reconnaître qu'elle a eu l'initiative de la rupture d'un projet de vente. Ne s'oppose pas à la valeur probante de cet aveu la circonstance que le fait rapporté ait eu pour mobile une erreur de son auteur sur la qualification juridique du projet rompu, l'article 1356 du Code civil excluant la révocation d'un tel aveu pour cause d'erreur de droit. Pareillement, selon la Cour d'appel de Versailles, (C. A. Versailles (1ére Ch., 2éme sect.), 28 juin 2002 - R. G. n° 00/05624

vers 671 au vers 711 de l'acte II, le passage tiré du texte est une tirade où Phèdre le personnage principale avoue son amour secret pour Hippolyte le fils de son mari Thésée. On peut ce demander, comment le dramaturge Jean Racine met en scène cette aveu et comment lui donne t-il un aspect tragique. Nous allons tout d'abord étudier la mise en scène donc, la tirade et l'aveu . Puis, l'aspect tragique et émouvant de cette extrait ce qui comporte une étude du personnage amoureux et du personnage souffrant

en 1967, le texte nous donne à réfléchir sur les différents sentiments exprimés par Phèdre. En effet, cette tirade est un aveu amoureux dans lequel Phèdre exprime sa souffrance, ce qui la place en personnage pathétique. I) Aveu amoureux 1) Aveu direct et incontrôlable. 2) L’expression de ses sentiments. 3) Les différents rôles de l’amour dans cette tirade. Cet aveu est l’aboutissement de la souffrance de Phèdre Cette souffrance est d’abord liée à un amour non réciproque et impossible

I - Les marques du passage d’un aveu implicite à un aveu explicite Dans un premier temps, Racine dans cet extrait utilise divers tropes et mode d’écriture pour voiler l’aveu de Phèdre qui va se révéler inéluctable de par la puissance de son amour. 1) Procédés de dissimulation Tout d’abord, les personnages sont désignés majoritairement par des périphrases c’est-à-dire des expressions ou des définitions qui visent à les nommer en plusieurs mots alors qu’ils pourraient l’être par la simple évocation

pour l’observer à travers une fenêtre. On tâchera de répondre à la problématique suivante : En quoi peut-on considérer ce texte comme une scène d’aveu ? Pour cela, il faudra montrer que cette scène est une scène de voyeurisme dans laquelle on fait un aveu inconscient et dans laquelle s’entremêle silence et passion. 1) Une visite inappropriée Pour commencer, le cadre spatio-temporel indique très clairement que l’arrivée de M. de Nemours est inappropriée. Le complément circonstanciel de lieu « au

d’idolâtrie est plus approprié à un représentant religieux, surtout lors de cette époque. Cet excès, nous interroge sur la sincérité des sentiments de Néron à l’égard de Junie. On peut déduire que cette citation est le dévoilement de l’aveu. En effet, cet aveu est suivi par le vers 285 « vous l’aimez ? », qui est l’aveu transformé en phrase interrogative par Narcisse suivi d’une longue tirade de Néron expliquant cette confession. Cette réplique, présentant l’élément déclencheur de l’aveu vers 390 « D’une

particulièrement horrible puisqu’il la tue à coup de hache. Après son meurtre il vole l’argent de Lisavéta. Mais ce crime va peser sur sa conscience. Il rend alors visite à son amie Sonia à laquelle il veut avouer son meurtre. Mais il a du mal à procéder à cet aveu. Il vit un véritable dilemme car il est dans une situation où il pèse le pour et le contre, va-t-il lui dire, ne va-t-il pas lui dire. Avant de prendre sa décision, il va délibérer dans son fort intérieur c’est-à-dire qu’il va puiser dans sa conscience

étudierons deux facettes du personnages de Tartuffe, qui apparaissent dans le texte : Tartuffe séducteur puis Tartuffe hypocrite. prob Tart : un séducteur flatteur et hypocrite, démasqué par son argumentation un double aveu : aveu amoureux + aveu de l’hypocrisie I Aveu amoureux A/ éloge d’Elmire - champ lexical de la beauté : « appas » v7, « « charmants attraits » v12, « splendeur » v13, « merveille » v15 - chp lex de la vue montre que c’est l’apparence physique d’Elmire qui a plu à Tartuffe