Avicenne

mécanique. Nous devons décider, et souvent rien ni personne ne pourra le faire à notre place. Si nous n'étions pas libres, nous ne pourrions pas être indécis. e - On peut aussi évoquer l’argument "ad hominem" que Jean de Mair († 1550) emprunte à Avicenne dans sa Métaphysique : "Celui qui dit que l’homme ne fait rien librement doit être frappé […] jusqu’à ce qu’il dise que je le frappe librement […] ; si je le fais nécessairement, il n’est pas en mon pouvoir de ne pas le faire et, par conséquent,

verte se Enfin, d'un point de vue patrimonial, la couronne caractérise par sa faible emprise au sol et sa discontinuité accueille un florilège de bâtiments modernes remarquamorphologique. Allant de paire avec l'infrastructure auto- bles (fondation Avicenne, pavillons de Le Corbusier, routière, cette organisation libre du bâti est précieuse en caserne Masséna, tours Mercuriales et EDF, etc.) mis en ce sens qu'elle permet une porosité importante de ce relation par le boulevard périphérique. Il faut

Les Arabes avaient aussi leurs spécialistes en médecine et en pharmacie : Abu Bakr al-Razi ou Rhazès (865-925), persan d'origine, fut l'un des grand médecins de son temps et aussi le précurseur de la psychothérapie. Il fut suivi par Ibn Sina ou Avicenne (980-1037) qui écrivit à Téhéran une œuvre qui s'intitule Canon de la médecine. Il reprit et compila les doctrines d'Hippocrate et de Galien. Ce livre servira de base à l'enseignement de la médecine dans les universités de Louvain et de Montpellier

personnages, changement des décors, imprévisibilité des scènes, intensités des effets sonores, voix étranges ou inhumaines, etc”. Dans un article de Libération relayé sur le site du CIEM, les journalistes citent Marie-Rose Moro, pédopsychiatre à l’hôpital Avicenne : “À 6 mois, un enfant ne voit pas tout, il ne faut donc pas que ça aille trop vite. Et puis les bébés voient surtout les contrastes. Pareil pour la voix : ils perçoivent mieux les variations”. ASPECTS RHÉTORIQUES En terme de construction narrative

ancien qui y fait mention est le papyrus d’Eber, écrit en 1500 ans avant J-C. A cause de ses symptômes typiques, (urine abondante et sucrée, soif et faim excessives), il a pu être observé et décrit par les plus grands médecins dont Aristote, Galien, Avicenne et Paracelse. De par sa complexité, le diabète demande une approche pluridisciplinaire (chimie, physiologie, métabolisme, chirurgie, diététique, immunologie, génétique…). Quant à l’insuline, "produit-miracle", elle demeure emblématique dans

Mais à cette époque, les causes du diabète sont encore mal connues : pour Arétée, il s'agit d'une maladie de l'estomac. Son compatriote Claudius Galenus -Galien (131-201 après JC) affirmera que c'est une maladie des reins. Le médecin arabe Perse Avicenne (980-1037) est un des premiers à décrire deux types de diabète différents, à parler de son association à la gangrène et à indiquer le goût sucré des urines. Il appelle cette maladie " aldulab ", qui signifie " roue à eau ". Après que Paracelse

de la théorie et de la pratique). Comme leur grand modèle antique, on a plusieurs grands savants arabes Al Fârâbî (870-950) = important dans la philosophie et notamment celle de la loi, l’influence de ce penseur s’étend dans le monde juif. De même Avicenne (980-1037) = synthèse entre la philosophie et la théologie = connu en occident. Averroès (1126-1198) = purifié la pensée d’Aristote. Ibn Khaldum = élaboré une philosophie de l’histoire et une première théorie de la sociologie. D H

grecques sont préservées, notamment par la traduction en arabe de nombreux livres, présents dans la Bibliothèque d'Alexandrie. Ces sciences sont alors enrichies et diffusées par la civilisation arabo-musulmane qui vit alors un âge d'or (Al-Khwarizmi, Avicenne, Averroès). On lui doit notamment de nombreux travaux en astronomie, en géographie, en optique, en médecine, mais aussi en mathématique (algèbre, analyse combinatoire et trigonométrie principalement). -------------------------------------------------

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grecques sont préservées, notamment par la traduction en arabe de nombreux livres, présents dans la Bibliothèque d'Alexandrie. Ces sciences sont alors enrichies et diffusées par la civilisation arabo-musulmane qui vit alors un âge d'or (Al-Khwarizmi, Avicenne, Averroès). On lui doit notamment de nombreux travaux en astronomie, en géographie, en optique, en médecine, mais aussi en mathématique (algèbre, analyse combinatoire et trigonométrie principalement). Sciences de l'Europe médiévale latine[modifier]