Aviron

Lord Byron, emblème du dandy romantique; il a réécrit un Dom Juan- différent de celui de Molière- poème satirique et tragique La notion de réécriture Définition d'un mythe (cf. cours) Savoir qui sont Antisthène, Charon Vocabulaire: « aviron », « firmament », « perfide », « chaste », « rapière » (cf. cours) « brillât », subjonctif imparfait , exprime la conséquence Diérèses sur « mendi-ant » et « audaci-eux » Opéra de Mozart: Don Giovanni Autres réécritures romantiques:

des mers,Qui suivent, indolents compagnons de voyage,Le navire glissant sur les gouffres amers. 5 À peine les ont-ils déposés sur les planches,Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux,Laissent piteusement leurs grandes ailes blanchesComme des avirons traîner à côté d’eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !10 Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid !L’un agace son bec avec un brûle-gueule,L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait ! Le Poète est semblable au prince des

:métonymie sur les planches (V5) et les avirons ( V8) - Sur les planches (V5) : expression polysémique :1) partie en bois du bateau + 2) scène d’un théâtre : les marins s’amusent en se moquant de l’oiseau, ils le mettent en scène. - Présentation élogieuse de l’oiseau : ces rois de l’azur (V6) qui contraste avec son image une fois posé au sol : maladroits, honteux (V6) piteusement ( V7) où la longueur de ses grandes ailes blanches (V7) comparées à des avirons (V8) l’encombrent . Contraste entre

d’une scène de la vie en mer. → rimes v. 2 et 4 : « oiseaux de mers » / « gouffres amers » → champ lexical maritime : « hommes d’équipage » (v. 1, « albatros » (v. 2) « oiseaux des mers » (v. 2), « le navire » (v. 4), « les planches » v. 5, « avirons » v. 8, « tempête » (v. 14). Mais cet univers est scindé en deux espaces fondamentalement opposés. b) le sol = les marins → Peu décrits, accent mis sur le collectif « les hommes », « l’équipage ». Indifférenciés « l’un …l’autre » (v. 11-12)

des mers,Qui suivent, indolents compagnons de voyage,Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches,Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,Laissent piteusement leurs grandes ailes blanchesComme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule!Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid!L'un agace son bec avec un brûle-gueule,L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait! Le Poète est semblable au prince des nuéesQui

manque de savoir-vivre quand le père raconte ses histoires de canotier : «Et il les détaillait en connaisseur. Il avait canoté, lui aussi, dans son jeune temps, disait-il; voire même qu’avec ça dans la main - et il faisait le geste de tirer sur les avirons – il se fichait de tout le monde.» Cela nous montre qu’il est vantard, car il raconte son histoire en se fichant de son entourage et en dévisageant les canotiers comme s’il leur était supérieur. Bref, on peut facilement remarquer que Maupassant nous

élément. Un récit basé sur une scène d’oppositions : La poésie est basée sur une série d’oppositions « Rois de l’azur », « Maladroits et honteux », « Piteusement » et « Grandes ailes blanches ». Ses ailes sont comparées à des avirons, elles le gênent, « Comme des avirons traîner à côté d’eux ». Puis nous avons une autre opposition entre « Le voyageur ailé » et « Gauche et veule » ou encore « Naguère si beau » et « Comique et laid ». Le vaste oiseau des mers est à présent sur les planches il se métamorphose

indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. À peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid ! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait ! Le Poète est

quant à lui la dextérité en vol. De plus ces ailes sont comparées au vers 8 à des « avirons ». Cette comparaison génère l'image du handicap avec l'idée de mécanisation du mouvement. Alors que le déplacement est naturel dans les airs, il devient artificiel, les ailes s’instrumentalisant et se durcissant « comme des avirons », des béquille. En outre, le verbe « traîner » suggère la difficulté et la langueur de ce mouvement épuisant

c’est le plus gros espadon qu’il ait jamais rencontré. 7. La deuxième nuit, que décide de faire le vieux pêcheur ? Attacher la ligne au bateau. Dormir un peu pour pouvoir tenir le coup. Manger de la dorade pour reprendre des Attacher les avirons pour freiner le forces. bateau. Laisser filer le poisson et retourner au De tuer le poisson quoiqu’il lui en coûte. port. 8. Que fait le vieil homme du poisson qu’il a enfin réussi à tuer ? Il l’amarre sur le côté du bateau. 9. Qu’est-ce