Avons Nous Le Devoir De Chercher La Vérité

A la gloire de GADLU, vénérable maître et vous tous mes frères en vos degrés et qualité Le travail que je vais vous présenter, sur les devoirs du franc maçon » a été long à construire. J'ai abordé ce problème avec vous à de nombreuses reprises, au cours des instructions et de conversations. Vous me disiez: «fais parler ton cœur ». Mais comment parler de règles qui sont édictées de manière statutaire, avec son cœur? Néanmoins, en m'ouvrant à vous, je sentais que mon appréhension et mes difficultés

perception………..41 Le langage 46 Le travail et la technique 51 L’art……………..59 La religion……..65 L’histoire……..74 La vérité………….82 La démonstration…89. L’interprétation…..93 Le vivant…………98 Matière et Esprit…104. Théorie et expérience..109 La société et l’Etat…..115 La justice et le droit….124 La liberté…………132 Le devoir………..139 Le bonheur………145 Programme de Philosophie 2005/2006 SERIES GENERALES L-ES-S Le sujet  -La conscience

Bonvarlet Aymée T°S1 DEVOIR MAISON DE PHILOSOPHIE Les sciences satisfont-elles notre désir de vérité? Les sciences désignent l'ensemble des connaissances portant sur le donné, permettant la prévision et l'action éfficace. Corps de connaissances constituées, articulées par déduction logique et susceptibles d'être vérifiées par l'expérience. Le désir provoque un tension vers un objet que l'on se représente comme

 Philosophie: devoir n°2 Gaston Bachelard, La Formation de l'esprit scientifique (1938) 1) Bachelard expose sa thèse sur l'opposition radicale entre l'opinion et la science. Pour lui, le véritable esprit scientifique est celui qui sait penser contre l’opinion et poser des problèmes, interroger ce que l’opinion croit pouvoir expliquer. Bachelard explique que l'opinion est un obstacle. Il structure son explication en commençant par poser sa thèse: La science s’oppose absolument à l’opinion

l’homme qui existe pour Dieu ». ni par foi, ni par amour pour Dieu, on ne doit agir par intérêt. Séparation entre l’immanensce et la transcendance : rupture importante et essentielle, on ne peut connaître Dieu par sa raison. On doit croire sans cherche à comprendre. CONTRE-RÉFORME Jansénisme ( XVIIème-XVIIIème siècle) = pessimisme concernant l’homme est la nature humaine. L’homme n’est rien sans Dieu. LES LUMIÈRES LA CULTURE Conception critique de la culture : la culture consiste avant tout

cause de l’imagination. « Rien de grand ne s’est fait dans le monde sans passion » HEGEL L’ART : Recherche du Beau (sentiment de complétude) s’ajoutant ou se substituant à la nature. Le Beau est émotion – le chef d’œuvre porteur d’une vérité universelle témoignage d’humanité – gratuité – Réhabilitation de la sensibilité comme chemin d’accès à la liberté – « le beau rend la vie supportable » NIETZSCHE LE TRAVAIL : Son but, la transformation de la nature dans un sens utile

consciente individuelle, et plus ils perdent de leur universalité. Dès qu’il est analysé rationnellement le symbole perd sa force salutaire. (Jung, l’Ame et la vie). Un des points essentiels de la Maçonnerie réside dans le fait que nul dogme ou vérité révélée ne soient enseignés ou même imposés. C’est une quête individuelle et personnelle qui s’offre à nous. C’est compter sur la magie du rituel qui nous transporte dans un ici et maintenant que peu à peu s’organise un autre mode de réflexion

paraissent.Il accuse toutes ces personnes a uniqument se restreindre au lieux de se poser les bonnes questions et de continuer a chercher les reponses et surtout différentes reponses à ces questions comme pour faire un enfants qui vient de naitre et qui veut tous connaitre dans ce monde alors que lorsque l'on grandi on veut rester dans notre confort et ne plus s'embêter a chercher les reponses a nos questions, et que même certains ont un talent dans ce qu'il font ( poètes , artisants) mais le problèmes

plus que jamais plus que jamais notre représentation du monde. C’est pourquoi nous ne pouvons que souhaiter qu’elle soit intègre), (en écho à Léon Blum pour qui « la règle d’or » du journalisme est non pas de « ne dire que la vérité, ce qui est simple, mais de dire toute la vérité, ce qui est bien plus difficile. ») (Cette revendication de transparence et d’exhaustivité est d’autant plus poignante qu’elle émane d’un homme qui, au lendemain de 39-45, réalise la gravité du mensonge par omission, en l’occurrence

I. LES MORALES DU DEVOIR. A. Le Stoïcisme. La morale stoïcienne part d’un constat : il y a deux sortes de choses, celles qui ne dépendent pas de nous – et ce sont elles qui sont les plus importantes en nombre : santé, fortune, chance, réussite, etc…- et celles qui dépendent de nous : nos jugements. Bref, la seule chose qui dépende de nous et sur laquelle nous ayons un pouvoir, ce sont nos jugements. Nous ne pouvons pas changer ce qui nous arrive. Bien plus, c’est un manque de discernement que