Aymara

forme de questions et de réponses, qui contiennent un exposé élémentaire du dogme et de la morale. Employée pour un catéchisme particulier, la subdivision doit être qualifiée par la langue du texte, par ex. : Eglise catholique -- Catéchismes aymara Dans le cas d'études sur ces catéchismes, ajouter la subdivision "Histoire et critique" TA Symboles de foi CATECHISMES [ADJECTIF DE LANGUE] (F) à employer comme subdivision de forme pour des catéchismes dans une même langue. Dans le cas d'études

b. Les aides à l’expression – Lexique des langues : el español, la lengua oficial, el gallego, el catalán, el vasco, el euskera, hablar, castellanohablante, expresarse, los idiomas, el francés, el portugués, el maya , el tzotzil, el quiché, el aymara, el quechua, el guaraní, etc. – Lexique du pouvoir : la Constitución, las leyes, el Estado, el Senado, la Cámara Alta, oficial, aprobar, el gobierno, la bandera oficial, la justicia, las naciones, los pueblos, las autoridades Objectifs méthodologiques

------------------------------------------------- Ex : indiens Puris = « aujourd’hui » (signe du doigt devant), « hier » (signe du doigt derrière), « demain » (signe du doigt vertical). ------------------------------------------------- indiens Aymaras = « hier » considéré comme devant et « demain » considéré comme derrière (car passé = expérience d’être capable de voir les résultats du passé devant soi). ------------------------------------------------- => « temps passé » = « vue/front/œil

qui est elle-même fragilisée par la surexploitation des sols. Les provinces de Salta, de Jujuy et de Tucumán ont été anciennement peuplées par les Espagnols, car plus proches du Haut-Pérou, et où l'influence des populations indigènes d'origine Aymara et Quechua a été la plus forte. Dans les plaines bien arrosées s'est développée la culture de la canne à sucre, autour de vastes installations industrielles – les engeños – qui mobilisaient jusqu'au milieu du xxe siècle une importante main-d'œuvre

une politique sociale le situe dans l’héritage populiste typique de l’Amérique latine. Il vend néanmoins son pétrole aux États-Unis, dont il est ainsi dépendant. Doc. 13 : Comme 40 % de la population bolivienne Evo Morales est d’origine indienne (aymara). Après avoir exercé de nombreux métiers, Il devient chef des cocaleros (producteurs de coca) pour s’opposer à la décision du gouvernement (soutenu par les États-Unis) d’éradiquer au nom de la lutte contre les narco-trafiquants une culture dont vivent

nouvelle Constitution, qui renforce le poids de l'Etat et les droits des Indiens. Il comprend des professeurs d'université, d'anciens syndicalistes, des ex-dirigeants du mouvement paysan indigène, des intellectuels et des représentants des ethnies aymaras et quechuas. Le quotidien note cependant que seulement trois ministères se trouvent entre des mains "indigènes". ( Le président de la Bolivie Evo Morales n'a pas apprécié les déclarations de son homologue péruvien. Alan García a laissé entendre

paralysant, orienté davantage vers le passé que vers l’avenir. Les références à la Pacha Mama (Terre-Mère) ou au Sumak Kawsai (BuenVivir), ou « bien vivre » des peuples Kichwas, ou celles au Suma Qamaña (Convivir Bien) ou « bonne convivance », des peuples Aymara. (X. Albó, 2010, pp.5455) appartiennent à ces catégories. Ce 22 sont des concepts fondateurs des peuples indigènes, qui signifient dans leurs conditions historiques concrètes, des cosmovisions et des pratiques de respect de la nature et de vie collective

que  se  soit  au  niveau  local  ou  international  tel  que  les  Mayas  du  Mexique  ou  les  Mapuches  du  Chili,   en   passant   par   les   Quechuas   et   les   Aymaras   d’Equateur,   du   Pérou   et   de   la   Bolivie.   L’attention   portée   au   multiculturalisme   semble   certes   très   positif   mais   son   exacerbation   peut   faire   oublier

d’accouchement et les troubles dus à l’hypertension65. Dans de nombreuses communautés, des normes de douleur et de saignement au moment de l’accouchement ont été établies66. En Bolivie, par exemple, les femmes appartenant aux groupes indigènes aymara et quechua considèrent le saignement comme un processus de purification. À cause de cette croyance, le saignement peut continuer plus longtemps qu’il ne le devrait67. Des chercheurs ont identifié cette croyance lors de recherches d’informations

l’esprit de l’archaïsme océanien que les formes hiératisantes retrouvées chez les Aymaras des Andes péruviennes. Là, comme dans l’Égypte du Moyen Empire, la formule architectonique semblait arrêtée. En échange des terres distribuées à tous leurs sujets, le socialisme bureaucratique des Incas avait sans doute exigé d’eux cette soumission aveugle et définitive des âmes à tout ce qui touchait au domaine spirituel. Les Aymaras en étaient arrivés à ne plus chercher dans la nature que des motifs idéographiques