Bachelard Connaissance Commune Et Connaissance Scientifique

technique et vision * la mutation de la critique dans l’entre-deux-guerres Chapitre III : les critiques d’interprétation : questions et méthodes 1) l’ « école de Genève » et la critique thématique * une philosophie de l’imaginaire * Gaston Bachelard et la phénoménologie de l’image poétique * Jean-Pierre Richard et l’analyse des formes thématiques * Jean Starobinski ou l’expérience critique * perspective et enjeux de la critique 2) littérature et psychanalyse * la critique confrontée aux

La conscience Définition • La conscience se dit en deux sens : 1) La capacité d'être présent à soi et au monde, et la connaissance plus ou moins claire qui l'accompagne (conscience psychologique). 2) La capacité d'évaluer moralement les actes (conscience morale). La conscience psychologique • Au sens psychologique, la conscience est la faculté d'être présent ou d'être en relation à soi, au monde et aux autres. Être présent à la réalité, c'est pouvoir se la représenter (n'être pas seulement

fais à celui à qui je mens (Essais)  Le corps est le tombeau de l'âme (Cratyle) La théorie de la réminiscence stipule que c'est en s'incarnant dans le corps que l'âme oublie la connaissance des idées acquise dans un autre monde. C'est donc en se délivrant du corps que l'âme retrouvera pleinement son pouvoir de connaissance. Ce mépris classique du corps sera interprété par Nietzsche comme un mépris de la vie. Plus généralement, la philosophie est accès à l'intelligible et donc refus du sensible. 

repose elle-même sur la formation scolaire antérieure, dont l’enseignement de la philosophie mobilise de nombreux éléments, notamment pour la maîtrise de l’expression et de l’argumentation, la culture littéraire et artistique, les savoirs scientifiques et la connaissance de l’histoire. Ouvert aux acquis des autres disciplines, cet enseignement vise dans l’ensemble de ses démarches à développer chez les élèves l’aptitude à l’analyse, le goût des notions exactes et le sens de la responsabilité intellectuelle

(l’homme qui sait) mais dans un second temps. L’utilisation de la technique est nécessaire à la survie de l’homme tandis que la connaissance scientifique peut largement patienter. ex. Si on revient au temps du Paléolithique, les hommes avaient besoin de la technique afin de créer des outils par le travail et donc pour se nourrir  ; certes les connaissances scientifiques telles que la médecine aurait pu servir, mais le plus important à ce moment- là était de se nourrir. Cependant, certaines techniques

« C’est parce que nous sommes impliqués dans le monde qu’il y a de l’implicite dans ce que nous pensons et disons à son propos ». L’implication et l’implicite En matière sociale, les présupposés que nous devons à notre inclusion dans l’objet de connaissance sont de trois ordres : 1. Nous occupons une position dans l’espace social, nous appartenons par exemple à un sexe ; 2. Il y a tout ce qui est constitutif de la doxa1 propre aux différents champs (religieux, artistique, etc) 3. Sans oublier la doxa

à être. Pensée pure, logique et méthodique. Il y a des méthodes de pensées comme il y aura des méthodes pour bien parler. Division entre la vérité et l’opinion amenée par Parménide. Bachelard déb 20ème a construit ses théories sur cette opposition entre alétheia (vérité) et doxa (opinion). En rejetant le sens commun et en préférant que seule la pensée logique peut atteindre l’alétheia. Il va être le premier à faire le portrait de l’homme qui sait = le philosophe. HERACLITE = il est le Montaigne

les animaux n’ont pas d’âme ni de conscience. Il y a des lois qui interdisent les lois de torture sur les animaux. Quelques mots sur la postérité de Descartes : On peut dire qu’à certain égard la postérité de Descartes c’est toute la biologie scientifique moderne. Jean Rostand, biologiste qui a fait des découvertes fondamentales disait : «  La biologie est sur le point de réaliser son programme : expliquer la vie sans la vie ». Il écrit ceci dans un recueil de pensée à partir de ses travaux. Qu’est-ce

connaissons. En s’ouvrant sur une science moins objective, on peut s’ouvrir sur une connaissance plus riche. Nécessité d’une métaconnaissance Morin s’intéresse alors à la relation entre le chercheur et son objet d’étude en appliquant le principe d’incertitude et d’autoréférence. Ainsi, il propose une métaconnaissance pour la dépasser. En réalité, si un métasystème permet de faire progresser la connaissance, il fait apparaître d’autres incertitudes sur la conception complexe. Donc Morin est

repose elle-même sur la formation scolaire antérieure, dont l’enseignement de la philosophie mobilise de nombreux éléments, notamment pour la maîtrise de l’expression et de l’argumentation, la culture littéraire et artistique, les savoirs scientifiques et la connaissance de l’histoire. Ouvert aux acquis des autres disciplines, cet enseignement vise dans l’ensemble de ses démarches à développer chez les élèves l’aptitude à l’analyse, le goût des notions exactes et le sens de la responsabilité intellectuelle