Bachelard La Sciences Dans Son Besoin

réaction immédiate en face de la montée des totalitarismes de l'Allemagne nationale et de l'union soviétique au cours de la décennie (1930) et comme conséquence de la construction sur la logique des sciences que Karl Popper avait réalisée. , autrement dit que les sciences humaines sont des sciences qui, étudie l'homme mais comme créateur de valeurs sociales linguistiques, sociologiques et psychologiques etc.… Dû point de vue sociologique, l'homme peut étudier une grande variété de sujets il

Science et enseignement Il n’y a pas de science définitive. Les concepts se construisent au cours du temps et ils sont souvent remis en cause. Les théories ne sont donc jamais vraies en soit. La notion de « fait scientifique » est donc assez contestable. Ce sont des vérités provisoires, des approximations de la réalité sans cesse retouchées. Cependant, nous n’avons pas le loisir de contester ce qu’on nous apprend. KARL POPPER en 1981 parle de la science comme une quête inachevée. Rappelons-nous

Méthodes et Techniques des Sciences Sociales@M. Ibrahima SILLA Chapitre I : Epistémologie des Sciences Sociales André LALANDE définit l’épistémologie comme l’étude critique des hypothèses et des résultats des diverses sciences destinée à déterminer leur objet, leur valeur et leur portée objective. La science jouit d’une grande considération. Beaucoup se revendiquent arbitrairement de la science mais l’objectif de toute science est de s’ouvrir des « généralités confuses du sens commun et les

Platon : la science des sciences : métaphysique [ La République chap. VII : allégorie de la caverne. Raison : capable de nous extraire du subjectif. Capacité d’abstraction : conceptualisation. Schopenhauer: l’homme est animal métaphysique ; le besoin métaphysique de l’humanité s’enracine dans l’étonnement au sujet du réel. Concept pur : Idée amène à l’essentiel Aristote : les raisonnements les plus valides : r. déductifs ( inductifs si énumération complète ) Ontologie : science de l’être en

l’imagination ne se contente pas de copier la réalité puisqu’elle la nie en faveur d’autre chose. L’irréel, c’est toujours s’imaginer autre et autrement. Que ce besoin de s’imaginer autre et autrement, ne s’explique que parce que la réalité nous paraît insatisfaisante et que nous éprouvons le besoin de compenser notre insatisfaction. Pour Bachelard, le réel, contrairement à ce que pensaient les empiristes, est l’objet d’une conquête progressive, menée par l’esprit humain au contact des évènements qui

Série ST/2006 1er sujet Quel besoin avons-nous de chercher la vérité ? 2ème sujet L'intérêt de l'histoire, est-ce d'abord de lutter contre l'oubli ? ème Série ST/2007 1er sujet Les échanges favorisent-ils la paix ? 2ème sujet Les lois sont-elles l'œuvre de la raison ? 3ème sujet « La science, dans son besoin d'achèvement comme dans son principe, s'oppose absolument à l'opinion. S'il lui arrive, sur un point particulier, de légitimer l'opinion, c'est pour d'autres raisons que celles qui fondent

resterait-elle pas celle de différencier la Réalité de l'Interprétation de la réalité ? Ce qui reviens a se questionner sur «  Quels sont les obstacles à la prise de conscience de la réalité ? » Au sens général, la conscience est du latin conscientia «  avec science » donc avec connaissances. C'est la connaissance qu'a l'Homme de ses pensées, de ses sentiments de ses actes ; c'est elle qui fait de l'Homme un sujet et capable de réfléchir sur le monde qui l'entoure, elle est comme un passage vers le monde extérieur

est un produit de la science, car elle fait parti des techniques modernes. En effet, si l’on se base sur l’œuvre de Jean-jacques ROUSSEAU sur l’état de nature, on peut dire que l’Homme était bon et libre avant, et qu’il vivait en harmonie avec la nature car il ne se contentait que de ce dont il avait besoin. Mais, face aux aléas ainsi qu’aux différents dangers de la nature, il s’est vu obliger de la modifier en faisant appel à la technique. Donc, la technique précède la science, prenons l’exemple des

croyance semble contraire à la raison : - toute démarche qui se veut objective et rigoureuse exige que l’on fasse une critique des opinions reçues, des préjugés, des croyances ordinaires qui constituent les premiers « obstacles épistémologiques » (Bachelard) et qui ne sont fondés que sur le ouï-dire, les désirs, l'expérience première, la force de l'adhésion commune, donc non fondés en raison. On pouvait ici faire référence à l'allégorie de la caverne et aux analyse freudiennes et marxistes de l'illusion

La vérité Introduction La philosophie comme la science est une recherche de la vérité. Il faut donc définir ce que l’on appelle vérité, mettre à jour les manières de l’identifier, comprendre et analyser les différents moyens de connaissance dont dispose l’homme. On verra aussi les différents obstacles à cette recherche de la vérité. I. Les différentes définitions de la vérité 1. Première définition de la vérité a. Identité de la vérité et de la réalité Une première approche consiste à