Bachelard Reverie

Rappel - Le Romantisme :   L'adjectif « romantique » était au dix-septième siècle synonyme de « romanesque ». Rousseau l'employa plus tard dans Les Rêveries du promeneur solitaire (1782) pour caractériser la sauvagerie pittoresque des rives du lac de Bienne. Mais c'est en Allemagne avec les écrivains du Sturm und Drang (Orage et Passion) qu'il prit son sens moderne pour désigner la poésie médiévale et chevaleresque. Le mouvement est en effet d'ampleur européenne et il n'est pas sûr que ce soit

libération de l’imagination et de la langue. Le romantisme privilégie notamment l’expression du moi et les thèmes de la nature et de l’amour. * Précurseurs du romantisme : * Rousseau (1712-1778) : La Nouvelle Héloïse (1761) et Les Rêveries du promeneur solitaire (1782) * Chateaubriand : voir, par exemple, le lyrisme dans Atala (1801) et René (1802), la nostalgie des paysages américains dans les Mémoires d’outre-tombe (1848). * Thèmes récurrents : * le moi en

Fiche lecture du roman " LES RÊVERIES DU PROMENEUR SOLITAIRE "de Jean – Jacques ROUSSEAU Biographie de Jean – Jacques ROUSSEAU Jean-Jacques Rousseau, né le 28 juin 1712 à Genève et mort le 2 juillet 1778 (à 66 ans) à Ermenonville, est un écrivain, philosophe et musicien genevois francophone. Fils d'un horloger et orphelin de mère, Jean-Jacques Rousseau est mis sous la protection de Madame de Warens, à l'âge de 16 ans. Elle devient pour lui une bienfaitrice et une mère bien qu'elle ne soit que

« Childe Harold » (1813) et en Allemagne avec Goethe « Les souffrances du jeune Warther » (1774). Cependant on trouve des premiers pas du Romantisme à partir du 18e s par rousseau dans « Les rêveries du promeneur solitaire » (1776-1778). Romantisme, nom donné à un mouvement de libération du Moi, de l’art, qui, en France s’est développé sous la Restauration et la Monarchie de Juillet, par réaction contre la régularité classique et le rationalisme

Le héros romantique doit être vu comme un individu, forcément différent des autres et « unique », c’est-à-dire solitaire. Le modèle historique de cette caractéristique est Jean-Jacques Rousseau, avec ses « Confessions » et surtout « Les rêveries du promeneur solitaire » où il se décrit comme exilé et rejeté par les autres hommes. Ce thème sera repris et amplifié par de nombreux auteurs romantiques, qui décriront des personnages eux aussi en marge des autres hommes et donc solitaires. C’est

Le héros romantique doit être vu comme un individu, forcément différent des autres et « unique », c’est-à-dire solitaire. Le modèle historique de cette caractéristique est Jean-Jacques Rousseau, avec ses « Confessions » et surtout « Les rêveries du promeneur solitaire » où il se décrit comme exilé et rejeté par les autres hommes. Ce thème sera repris et amplifié par de nombreux auteurs romantiques, qui décriront des personnages eux aussi en marge des autres hommes et donc solitaires. C’est

la liste des plus connues : - Le discours sur les sciences et les arts en 1750 - Narcisse (ou l’amant de lui-même) en 1752 - Julie (ou la Nouvelle Héloïse) en 1761 - Emile en 1762 - Le Contrat social en 1762 - Les Confessions en 1770 - Les rêveries du promeneur solitaire en 1778.

C.III. : Le poète qui voit sa vie s’écouler est jaloux de la nature qui elle est imperméable au temps * III. Dans le poème Le lac, le paysage, voir la nature, conserve les souvenirs d’un temps passé contrairement à l’œuvre de Rousseau, Les rêveries du promeneur solitaire, où il évoque que c’est l’écriture qui conserve les souvenirs.

Le Romantisme est représenté ici par la « Premiere Promenade » de Les Rêveries du Promeneur Solitaire de Jean Jacques Rousseau. Il débute son roman autobiographique ainsi : « Me voici donc seul sur la terre n'ayant plus de frere, d'ami, de société que moi meme ». Il exprime sa solitude et son combat vis-à-vis des autres. Mais cette réflexion semble t-elle représenter le Romantisme dans sa totalité ? On peut, d'une part accepter cette representation du point de vue de l'imagination, entre autres

il est brouillé. En 1770, il revient se fixer à Paris et s’engage à ne plus rien publier de son vivant. Les Confessions (1765-1770, édition posthume 1782-1789), Rousseau juge de Jean-Jacques ou Dialogues (1772-1776, édition posthume 1789) et les Rêveries du promeneur solitaire (1776-1778, posthume 1782) ne paraîtront qu’après sa mort, survenue à Ermenonville. Ses cendres ont été transférées au Panthéon par la Convention en 1794. Rousseau est, certes, un philosophe des Lumières, en raison du caractère