Bagnes

de téléfilm de type informatif (il informe les lecteurs sur sa projection) apparu dans le magasine Télérama en septembre 2006 qui présente l’oeuvre de fiction de Dominique Ladoge, « les Vauriens ». Ce téléfilm lève le voile sur l'existence des bagnes pour enfants en France durant l’entre-deuxguerres, notamment à Belle-île-en-mer et dénonce la façon dont étaient traités les enfants ainsi que leurs conditions de vie. A cette époque, 55 enfants se sont échappés de la maison de redressement de

et travaille sur leur psychologie au début du XXème siècle mais malheureusement la vigueur et les actions dans les bagnes ne changent pas. Elles sont dénoncées par des journalistes à travers leur ouvrages. Après l'épopée de 1934, l'évasion des enfants du camp, le gouvernement décide d'agir et met en place des lois. En 1935, après avoir dépénaliser les centres de redressement et bagnes, ils interviennent dans l'éducation des enfants et décident d'insérer les jeunes dans des lieu pédagogiques pour qu'ils

L'histoire de la prison. Pour commencer, l'ancêtre de la prison était les galères. Elles servaient à éradiquer le protestantisme en France. Elles seront le premier système pénitentiaire. Les bagnes succèdent les galères. Ces établissements accueillaient des bagnards pour faire des travaux forcés. Les bagnes sont abolis en 1938. La déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen fait naître la prison et c'est grâce à celle-ci que les châtiments corporels sont supprimés. II La vie en prison.

Chasse à l'enfant. Août 1934, une mutinerie éclate au sein de la colonie pénitentiaire pour mineurs « délinquants » de Belle-Ile-en-Mer. Jacques Prévert écrit alors le poème « la chasse à l'enfant » pour dénoncer ce qui sera tristement nommé « les bagnes d'enfants ».   Belle-Ile-en Mer dans le Morbihan est tristement connu pour son bagne d'enfants. 1934 marque au fer rouge la petite île lorsque les mineurs « délinquants » qu'elle accueille au sein de sa colonie pénitentiaire se révoltent et s'enfuient

travaille sur leur psychologie au début du XXème siècle mais malheureusement la vigueur et les actions dans les bagnes ne changent pas. Elles sont dénoncées par des journalistes à travers leur ouvrages. Après l'épopée de 1934, l'évasion des enfants du camp, le gouvernement décide d'agir et met en place des lois. En 1935, après avoir dépénaliser les centres de redressement et bagnes, ils interviennent dans l'éducation des enfants et décident d'insérer les jeunes dans des lieu pédagogiques pour

dénoncer la souffrance. c) Ecriture et atrocités : Enfin dans son poème Aragon met en parallèle à la fois l’écriture et les atrocités par l’utilisation de ces deux lexiques « J’écris…la peste » vers 1, « rimes…crimes » vers 13, « vers français…bagnes allemands » vers 16 puis « Auschwitz… syllabes sanglantes » au vers 21. Par l’écriture de ce poème Aragon montre l’utilité de la poésie comme moyen de dénoncer la barbarie. Il a recours aux caractéristiques de l’écriture poétique mise au service

o www.espie les autres o Retréleutves sur : s c ion rg/jldhv.h En voyage ! Du musée de l’apartheid à l’art ndébélé, le Web en dit long sur l’Afrique du Sud… www.apartheidmuseum.org et www.robben-island.org.z a tm e Le mUsée et Le bagn du Sud, la po 1966 Le 21 mars 1960, en Afrique cre de Sharpeville qu’en st en souvenir de ce massa C’e ur l’élimination de 69 personnes sont tuées. « Journée internationale po ies proclament le 21 mars à participer à les Nations un de la planète

néfaste de l'histoire de la Guyane, en effet une ordonnance du 27 septembre 1748 détermine de nouvelles peines et conditions de détention sans pour autant supprimer les galères. Cette ordonnance prévoit que les condamnés seraient logés à terre dans les bagnes, salle de force et autres lieux qui seront destinés à les enfermer, et que les condamnés seraient employés à tour de rôle aux travaux de fatigue des arsenaux suivant les ouvrages auxquels ils pourront être destinés. C’est l’heure jean embarque dans

A la lecture de ces trois documents, le thème commun qui se dégage est la dénonciation des mauvais traitements dans les maisons de redressement pour enfants qui sont de véritables bagnes en France au début du XXème siècle. En effet, dans le document 1 qui est un poème écrit par Jacques Prevert, l’auteur raconte un fait réel, l’évasion des pensionnaires du bagne de Belle-Ile-en-Mer en 1934. Ce poème rempli d’images, dénonce en toute simplicité et dans un langage touchant, la fuite de ces jeunes garçons

d'emprisonnement seraient conduits dans une colonie plus répressive gérée par l'Etat. Ces établissements pénitenciers recevaient également les enfants des colonies agricoles déclarés incorrigibles. Ce sont ces colonies que l'on qualifie aujourd'hui de "bagnes d'enfants". Sous la Troisième République, l'appréhension juridique de l'enfance rompt avec celle, tout-répressive, du Second Empire []. On sort en particulier les mineurs de 13 ans des ressorts du droit pénal. Une loi de 1898 permet de remettre