Bailli

fiscales ou encore militaires). Ce sont des personnages influents. Ils sont un peu en décalage vis a vis de leur mission car ce ne sont pas des pros (ni magistrats...). Ils commettent des exactions. Leur comportement oblige le roi à mettre en place des baillis pour surveiller les prévôts. Malgré la spécificité du roi qui transparait non seulement au travers du sacre, de son influence géographique ou encore au travers de son influence sociale voire dans l'organisation de son administration, le roi demeure

la forme mais trop de place au droit écrit. • Le Conseil à un Ami (1255). Il fut rédigé par un bailli royal du nom de Pierre de Fontaine. Ce coutumier se rapporte en principe aux coutumes du Vermandois c'est-à-dire les coutumes de la région du côté de Lens, Saint-Quentin et Péronne. Le titre retenu paraît surprenant pour un ouvrage juridique mais s’explique par le fait que l’auteur était le bailli de Saint -Louis et qu’il a entrepris ce travail à la demande du roi pour servir à l’éducation du fils

d’aide et de conseil s’est considérablement élargi et les Etats généraux participent au gouvernement de la nation. Parallèlement à cela, on assiste au développement d’une administration locale. B- L’administration locale : baillis et sénéchaux L’apparition des baillis et sénéchaux A l’époque féodale, les seuls agents locaux du roi sont les prévôts. C’est par leur intermédiaire que le roi exerce son autorité seigneurial sur ses territoires. Ces prévôts ne sont pas spécialisés, ils s’occupent

Thomas Morus, la ciguë s'appeHe Socrate, le gibet se nomme Jésus-Christ! ,. proscrit: exilé, banni 12 sévulcre ; tombeau 13 foifait : crime, faute 14 complaisant: a.'Tlmgeant, indulgent 15 scrupule: doute, hésitation 16 intègre: honnête 17 bailli: officier qui rend ia justice au nom du mi 18 geôle: ceJjule 19 g,.abat ; lit misérable 20 Guernesiais : habitants de Guernesey 21 talion: loi biblique: « oeil pour oeil, dent pour dent i> 26 charpente : assemblage de pièces de bois 27 besogne

interne, le déploiement de la souveraineté royale accompagne l’agrandissement territorial et le développement de l’appareil administratif, au niveau central avec la spécialisation des tâches du conseil du roi et au niveau local avec la création des baillis et sénéchaux. Par ailleurs, la royauté entretient à partir du XIVe siècle un dialogue avec la nation par le biais des états généraux dont elle fait l’instrument par « grand conseil 1) la fin du 8ème siècle : le conflit entre boniface 8 et Philippe

tragique. Gordon : janséniste, puis philosophe, il incarne la figure du sage capable d’apprendre et d’écouter, humain et tolérant. Les Kerkabon : ce sont des êtres médiocres, sans méchanceté, victimes des préjugés, qui restent le jouet des événements. Le bailli et l’abbé de Saint-Yves : ils sont les obstacles nécessaires à la structure du conte et les cibles de la satire voltairienne. L’ingénu et le mythe du bon sauvage En choisissant comme héros de son conte un Huron, Voltaire s’inscrit dans la tradition

vue rattaché au domaine royal. Les relations avec comte de nature différente. A aprtr de ph auguste c’est le roi de France et tout ce qui se passe ds royaume , le concerne. Ph augsute point decisif ds adm du royaume : Nott par cretion du nvl fct baillis qui permet assurer liaison adm central et local moment decifis par l’emprise de l’ecrit qu idevient de plus en plus gestio nroyaume et se traduit par innovation imp nott justice et coptes royaux Le gvt royal et entourage roi : Depuis lous7 grands

même ne retenue il y a beaucoup de délgation A) la J déléguée 1) les juges ordinaires Parmi la J retenue royale, il y a 3 degrès hiérarchiques, qui permettent autant d’appel : Prévots baillis, Parlement. Le prévot de Paris exerce tte le police et la Criminelle de Paris, qui a pratiquement rang de baillis. Baillis : J de 2e instance, compétence générale, débordés, remplacés par les lieutenants. Parlement : enregistrement et les remontrances, ce sont des Cours de J Il y a une espèce de MP qui fonctionne

dans la forme mais trop de place au droit écrit. Le Conseil à un Ami (1255). Il fut rédigé par un bailli royal du nom de Pierre de Fontaine. Ce coutumier se rapporte en principe aux coutumes du Vermandois c'est-à-dire les coutumes de la région du côté de Lens, Saint-Quentin et Péronne. Le titre retenu paraît surprenant pour un ouvrage juridique mais s’explique par le fait que l’auteur était le bailli de Saint -Louis et qu’il a entrepris ce travail à la demande du roi pour servir à l’éducation du fils

pas à ce mouvement de rédaction) 2)La procédure de rédaction : d'après l'ordonnance de montils les tours la rédaction est ordonnée par lettre patente du roi au bailli ou aux sénéchal local. La rédaction des coutumes est faite sur une initiative royale. Un projet de coutume est alors rédigé sur place par les praticiens locaux (le bailli convoque avocats, notaires..) et le projet doit être discuté par les « gens du pays » càd par les 3 états : la noblesse, le clergé, le tiers état dans une assemblée