Baïonnette

matière de recrutement est la conscription qui remplace l’armée de métier. Les premières guerres révolutionnaires visent à défendre la Révolution, la France, la Liberté et s’opposer au despotisme. Les soldats sont nombreux armés de fusils et de baïonnettes. L’élément montrant l’attachement des soldats est qu’ils prêtent serment à Napoléon. • La Révolution, l’Empire et la religion Dès le début de la révolution, la liberté de culte est établie : c’est la fin de l’absolutisme religieux. Quels sont

les fifres, les hautbois, les tambours"), idée d'une guerre joyeuse, d'une fête = confirmée à la fin du texte ("Théâtre de la guerre"). b) Importance de l'ordre -Différentes armes qui interviennent tour à tour ("les canons, la mousqueterie, la baïonnette"), idée d'un chronologie -Organisation dans le combat marquée par des connecteurs ("d'abord, ensuite, aussi") -Equilibre et parallélisme ("les deux armées", "de chaque côté", "chacun dans son camp") c) La guerre est justifiée par le systeme de

revanche, dès la seconde représentation, le public, majoritairement composé d'étudiants hostiles aux libertés prises par l'auteur avec les canons classiques, provoqua des heurts suffisamment violents pour que des grenadiers investissent la salle, baïonnette au fusil. Un spectateur trouva la mort, trois cents étudiants furent arrêtés et incorporés de force dans l'armée35. Au cours de la Restauration, les « batailles » autour du théâtre consacrèrent largement la victoire des partisans de la modernité

une harmonie telle qu'il n'y en eut jamais en enfer. Les canons renversèrent d'abord à peu près six mille hommes de chaque côté ; ensuite la mousqueterie ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix mille coquins qui en infectaient la surface. La baïonnette fut aussi la raison suffisante de la mort de quelques milliers d'hommes. Le tout pouvait bien se monter à une trentaine de mille âmes. Candide, qui tremblait comme un philosophe, se cacha du mieux qu'il put pendant cette boucherie héroïque.

liberté (mouvement libéral = étendre les libertés du citoyen) et l’égalité juridique de tous les citoyens. Ils accordent une très grande importance au droit à la propriété privée et à la notion de Patrie (à l’école, on apprend aux élèves à manier des baïonnettes, on abreuve les élèves de discours patriotiques). Attention, les républicains n’ont pas d’objectifs sociaux ! La République est alors consolidée autour de ces valeurs : La République des modérés (1879 – 1898) - 1881 : enseignement laïque, gratuit

mondiale, dans la terre des tranchées d’Artois, depuis les derniers mois de 1914 jusqu’en décembre 1915. Barque, Cocon, Tirette, Volpatte, Marthereau, Lamuse, Tirloir, Eudore: tous connaissent l’horreur des bombardements d’artillerie, des attaques à la baïonnette, de la présence obsédante de la mort. Leurs rêves, leurs frustrations, leur angoisse, mais aussi leur camaraderie et leur solidarité tissent l’interminable temps de la guerre, scandé par les morts, les saisons, où dominent la pluie et la boue. Crasse

représente une barricade type de ces journées révolutionnaires. Des personnes de groupes sociaux divers sont représentés sur cette peinture. La meneuse de cette vague est une femme à moitié dénudée portant un drapeau tricolore dans une main, une baïonnette dans l’autre et un bonnet phrygien sur sa tête, symboles de la révolution. Cette femme représente clairement la Liberté guidant le peuple. L’éventail des groupes sociaux se diversifie du gamin des faubourg au bourgeois de famille aisée. Ce qui fais

n'y fait plus attention » in Le Petit Parisien, L. Montel, 11 octobre 1914 «Les obus allemands ne sont pas si méchants qu'ils ont l'air d'être » in Le Petit Parisien, «Lettre de soldat », 19 janvier 1915. « (...) Mais au moins ceux-là [tués à la baïonnette] meurent de leur belle mort, dans de nobles combats (...) Avec l'arme blanche, nous retrouvons la poésie (...) des luttes épiques et chevaleresques » in L'Écho de Paris, Hébrard de Villeneuve, 10 juillet 1915. "Les cadavres boches sentent plus mauvais

Jean Giono fait parti des soldats qui ont connus l’extrême violence des combats sur le front ouest quand les armées s’enterrent face à face dans les tranchées. Les soldats vivent dans la boue, l’humidité et le manque d’hygiène, ils se battent à la baïonnette et au couteau. L’artillerie fait des ravages (70% de morts) et pour mieux tuer on invente de nombreuses armes : les gaz, le lance flammes, la mitrailleuse, les mines et les tanks. Il y a eu plus de 9 000 000 de soldats tués, plus de 6 000 000 de

allemand que l'on reconnaît avec son casque à pointe, il est en position de faiblesse, le genou à terre, le regard terrifié, la bouche légèrement ouverte comme s'il poussait un cri, il est écrasé par une pièce en or, il a quand même un fusil avec une baïonnette au canon dans les mains, il n'est pas sans défense, mais il est représenté comme s'il ne pouvait pas s'en servir. Pour bien faire ressortir son dessin, Abel Faivre laisse le fond en blanc. L'auteur veut faire comprendre que l'armée allemande