Baïonnette

prendre   la   tranchée   adverse   sous   le   feu   de   cette   artillerie...   Arrivés   dans   la   tranchée   adverse,   les   soldats   tuent   les   adversaires  avec  leur  baïonnette  ou  leur  couteau.   La  violence  de  masse  sur   les  civils  :  le  génocide  des   Arméniens  :  1915     Décrire   et   expliquer   le   génocide   des  Arméniens

la France versez votre or Arts de l’espace Arts du langage Arts du quotidien Arts du son Arts du spectacle vivant Arts visuels Introduction : Peintre, illustrateur, caricaturiste (dans des journaux tels Le Rire, L’Assiette au beurre ou La Baïonnette), Abel Faivre réalise durant la Grande Guerre de nombreuses affiches de propagande. Il crée ainsi six affiches pour inciter la population à soutenir l’effort de guerre, et plus particulièrement lorsque celle-ci est appelée à participer aux emprunts

qui lui incombent dues à l’inexécution des ordres, il est bien entendu que le fonctionnaire n’est pas là pour vérifier la légalité ou l’illégalité de l’acte mais de le faire appliquer dans le cadre du respect des lois et règlement. B- La baïonnette intelligente : Ici on se réfère au cas des militaires ou fonctionnaires qui ont été obligés par leur supérieur hiérarchique d’exécuté des ordres illégaux. Comme l’ordre donné est illégal et que le subordonné l’a exécuté dans l’exercice

farouchement opposée à Napoléon qui a fait fermer les deux tiers des couvents espagnols. Sur la droite, dans l’ombre, se tient le peloton d’exécution. Ces soldats sont presque de dos, leurs visages ne peuvent pas être vus. On aperçoit uniquement leur baïonnette et leur shako (couvre-chef militaire qu’ils portent) qui forment une ligne implacable. Ils sont identiques, tels des machines à tuer, ils expriment la brutalité aveugle de la guerre et de la répression. Au centre se trouvent les figures d’autres

une harmonie telle qu'il n'y en eut jamais en enfer. Les canons renversèrent d'abord à peu près six mille hommes de chaque côté ; ensuite la mousqueterie ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix mille coquins qui en infectaient la surface. La baïonnette fut aussi la raison suffisante de la mort de quelques milliers d'hommes. Le tout pouvait bien se monter à une trentaine de mille âmes. Candide, qui tremblait comme un philosophe, se cacha du mieux qu'il put pendant cette boucherie héroïque. Enfin

thème ? II. Première partie : Analyse descriptive La composition : au 1°plan : (plan statique) des cadavres des sacs de sables éclatés des armes brisées un homme qui aide un blessé au 2° plan : des hommes tirent au fusil et a la baïonnette au centre un homme blessé qui semble etre le chef montre la direction de l’ennemi. A droite les soldats se préparent à renforcer le front. A l’arrière plan : une plaine dévastée avec une grosse fumée qui se mélange au nuage La peinture

habits jaunes et blancs répètent les couleurs de la lanterne. Sur la droite se tient le peloton d'exécution, pris dans les ombres et dépeint comme une unique unité monolithique. Pratiquement vus de dos leurs visages ne peuvent être vus, leurs baïonnettes et leurs shakos (les couvre-chefs militaires qu'ils portent) forment une colonne implacable et immuable. Sans que cela ne distraie de l'intensité de la scène au premier plan, l'on peut apercevoir dans l'obscurité, à l'arrière plan, un village et

Quand ? Allemands, est la plus connue de la guerre des tranchées*. Tout d’abord, au moment de l’assaut, les soldats à découvert font face aux tirs ennemis, aux obus, aux gaz asphyxiants, aux lance-flammes, etc. (docs 2, 3 et 4). Les combats à la baïonnette sont sans merci également. Les armements doivent faire le plus de victimes possibles (doc. 7). Par ailleurs, les conditions de vie dans les tranchées (doc. 7) sont très mauvaises pour les soldats : manque d’hygiène (poux, rats, boue...) et de nourriture

reformes entreprises après la défaite. . Le succès de la bataille avait dépendu depuis longtemps du choc des cavaliers. Mais les choses changent avec la modernisation des armes à feu, du mousquet d’abord, du fusil ensuite qui grâce a la baïonnette à douille, rendait le soldat a la fois fusilier et piquier. Les canons sont aussi améliorés. On voit donc un changement de l’ordre de bataille qui passe a privilégié le feu par rapport au choc. Dès la guerre de Succession d’Autriche (1740-1748)

provoque la mort car souvent ces derniers étaient transportés par le vent et ensuite respiré par les soldats dépourvus de masque. Les combattants disposent 4 armes principales utiles pour le combat rapproché : le fusil, la baïonnette, le fusil à pompe et la grenade. La baïonnette sert pour le combat rapproché, en l’employant comme une lance. Le fusil à pompe est aussi efficace car il a un mécanisme dont l'action est rapide. Et la grenade permet de toucher l’ennemi sans s’exposer et ne nécessite pas