Baïonnette

dont des petites filles et des femmes âgées, furent violées, les soldats japonais pénétrant systématiquement dans les maisons, sortant les femmes pour les violer en réunion . Une fois violées, les femmes étaient tuées, souvent poignardées à la baïonnette, parfois après avoir été victimes de mutilations explicites, ou d'actes de barbarie Un tiers de la ville est détruit par des incendies volontaires. Selon certains rapports, les troupes japonaises mettent le feu aux bâtiments gouvernementaux nouvellement

conséquences de ce combat avec les massacres de civils : « Les canons renversèrent d’abord à peu près six mille homme de chaque côté ; ensuite la mousqueterie ôta du meilleur des mondes cinq à dix mille coquins qui en infectaient la surface. La baïonnette fut aussi la raison suffisante de la mort de quelques milliers d’hommes ». Alors que Voltaire utilisait auparavant l'imparfait1 pour la description des soldats, les actions des armées sont maintenant introduites avec le passé simple2 et suivent

kilomètre plus loin sur la place d’un petit bourg. Il y a une épicerie-buvette, un droguiste, des rangées de tubes rouillés supportant les bâches roulées d’un marché absent, et, dans le fond, un monument aux morts figurant un poilu qui monte à l’assaut baïonnette au canon, le godillot posé sur un casque à pointe. Pour faire manœuvrer le véhicule, ce n’est pas idéal, mais il n’y a guère le choix. Gaston descend pour diriger les opérations. Il faut profiter d’une ruelle en pente pour y engager l’avant du tracteur

près de Paul. Celui-ci se sent coupable, il réalise qu’il a tué quelqu’un qui lui ressemble, et non un ennemi sans visage. Il lui parle, explique ses sentiments. “D’abord tu n’as été pour moi qu’une idée (...). J’ai pensé à tes grenades, à ta baïonnette et à tes armes; maintenant c'est ta femme que je vois, ainsi que ton visage et ce qu’il y a en nous de commun. Pardonne-moi, camarade.” Il trouve dans le portefeuille du mort des photos et des lettres. Se promet de s’occuper de la famille du

les quatre instruments : « Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons formaient une telle harmonie […] ». Cependant la violence de la guerre apparait tout de même avec la présence des moyens de destructions « canons », « baïonnette », « mousqueterie » ou encore avec le compte approximatif du nombre de mort par Candide « à peu près », « environ », « quelques ». Néanmoins certains indices nous montrent bien que le héros n’est pas choqué par la violence de cette guerre, l’expression

candide, Voltaire condamne l’effet de l’optimisme : rendre les êtres irresponsables - L’auteur se moque de l’Optimisme par le vocabulaire qu’il emploie directement inspiré de cette philosophie : « la mousqueterie ôta du meilleur des mondes », « la baïonnette fut aussi la raison suffisante de la mort de quelques milliers d’hommes », Candide « prit le parti d’aller raisonner des effets et des causes » : chaque périphrase désigne une action condamnable. -La désignation de certains des soldats : des «

On | | |ne distingue pas le visage des soldats. Ils forment une colonne et | | |perpendiculairement leurs baïonnettes brillent dans nuit. | | A gauche la zone la mieux éclairée est celle des victimes. |[pic] |On distingue

combat qui est montré au spectateur est une forme violente et sans pitié,il faut tuer pour survivre.Les combats sont sanglants et il y a beaucoup de morts et de blessés. Il y a d'abord les armes archaïques comme les matraques,les pelles,les fusils à baïonnette puis il y a de nouvelles armes telles que la mitrailleuse qui tir 400coups par minutes ainsi que les gaz. Les soldats vivaient au quotidien avec la peur de mourir à chaque instant. Ils devaient resté dans la boue toute la journée sans pouvoir se

minutes. Tout à coup la Marseillaise retentit. Hussonnet et Frédéric se penchèrent sur la rampe. C'était le peuple. Il se précipita dans l'escalier, en secouant à flots vertigineux des têtes nues, des casques, des bonnets rouges, des baïonnettes et des épaules, si impétueusement, que des gens disparaissaient dans cette masse grouillante qui montait toujours, comme un fleuve refoulé par une marée d'équinoxe, avec un long mugissement, sous une impulsion irrésistible. En haut, elle se répandit

chemin avec une femme de ton âge.   Je crois bien que c'est la dernière bataille de l'Aigle - Je ferais mon possible pour te protéger alors reste près de moi quand les boulets voleront et qu'ils arriveront avec leurs milliers de fusils et de baïonnettes. Plus tard tu feras une prière de temps en temps pour moi quand je serais arrivé là-haut, d'ailleurs j'espère que St Pierre m'ouvrira sa porte et me trouvera un coin pour reposer ma tête, qui sait si là-haut il n'y a pas de bon lit avec des bons