Baïonnette

sur des bois. Elle porte une robe retroussée laissant voir sa poitrine, le terrain est détérioré (pavés, pierres, bois, etc) mais elle est pourtant pied nus. Cette tenue la rend différente, spéciale. Cette femme tien à sa main gauche un fusil à baïonnette, et à sa main droite le drapeau tricolore (bleu-blanc-rouge) qu'elle agite, probablement, et son visage est aussi tourné vers le peuple, peut être pour lancer un signal d'assaut. C'est cheveux sont noués et coiffée d'un bonnet rouge, plus principalement

Révolution de 1848. Tout à coup la Marseillaise retentit. Hussonnet et Frédéric se penchèrent sur la rampe. C’était le peuple. Il se précipita dans l’escalier, en secouant à flots vertigineux des têtes nues, des casques, des bonnets rouges, des baïonnettes et des épaules, si impétueusement, que des gens disparaissaient dans cette masse grouillante qui montait toujours, comme un fleuve refoulé par une marée d’équinoxe, avec un long mugissement, sous une impulsion irrésistible. En haut, elle se répandit

une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer. Les canons renversèrent d’abord à peu près six mille hommes de chaque côté ; ensuite la mousqueterie ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix mille coquins qui en infectaient la surface. La baïonnette fut aussi la raison suffisante de la mort de quelques milliers d’hommes. Le tout pouvait bien se monter à une trentaine de mille âmes. Candide, qui tremblait comme un philosophe, se cacha du mieux qu’il put pendant cette boucherie héroïque. Enfin

au sabre. L’élève est doué ! Un an plus tard, il porte le surnom de Heitaï no Kami Sama, le « Dieu des soldats ». En 1903, il s’engage – c’est bien le moins qu’il puisse faire – dans la guerre contre les Russes et devient expert dans l’art de la baïonnette ; sa conduite courageuse devant l’ennemi lui vaut rapidement le grade de sergent dans le 61e régiment d’infanterie. Après l’armistice, il revient bardé de médailles dans sa ville natale pour ouvrir une maison des jeunes et surtout un dojo (un endroit

corps sans vie évoquent un monticule que les protagonistes doivent enjamber pour poursuivre, allusion du prix à payer pour que le peuple gagne sa liberté. Ce même peuple est mené par une jeune femme : buste dénudé, drapeau tricolore et fusil à baïonnette en mains. Elle regarde vers l’arrière et appelle le peuple à la suivre. C’est le personnage le plus important de la composition. Il est au centre de la scène, légèrement surélevé par rapport aux autres figures et largement éclairé d’une étrange

tranchés pour essayer de capturer celle de l’ennemi. C’est une percées forcé. Elle était meurtrier, les mitrailleuse tués des soldats en nombres énormes, si ils arriver aux tranchés ils s’engagé avec l’ennemi dans des corps à cops mortelle à la baïonnette. Les violences ne venait pas seulement de l’ennemi. A cause des nombreuses mutinerie, il y avait des règles très strictes mis en place. Si un soldat tenté d’abandonner le front ou refuser de suivre des ordres alors il risquait de se faire fusillait

s'enfonce dans le sol. • Abandon des uniformes qui se voient (cuirasses, épaulettes, pantalon rouge) pour le bleu horizon. B. Augmentation de la puissance de feu : une guerre industrielle. Chaque soldat a son fusil, disparition du fusil à baïonnette, 600 mètres de portée et 10 balles par minutes. Introduction de la mitrailleuse (400 à 600 balles par minutes, les projectiles peuvent aller à plusieurs kilomètres). Apparition des gaz. Abandon du cheval remplacé par les chars et les avions

harmonie telle qu'il n'y en eut jamais en enfer. Les canons renversèrent d'abord à peu près six mille hommes de chaque côté ; ensuite la mousqueterie ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix mille coquins qui en infectaient la surface. La baïonnette fut aussi la raison suffisante de la mort de quelques milliers d'hommes. Le tout pouvait bien se monter à une trentaine de mille âmes. Candide, qui tremblait comme un philosophe, se cacha du mieux qu'il put pendant cette boucherie héroïque. »

deux trous rouges au côté droit ». On peut remarquer que cette structure est dévoilée selon les strophes du sonnet. Ce n'est qu'au dernier vers que Rimbaud évoque explicitement le décès du soldat : les deux trous rouges, qui sont les marques de la baïonnette ou de l'arme à feu, rappellent le « trou de verdure » du vers 1, au sens ou celui-ci serait un tombeau, on peut donc dire que dès le début du poème, il y a une préparation à cette triste réalité. À ce propos on remarque que certaines expressions

poitrine est dénudée est vêtue d'une robe jaune et d'un bonnet phrygien. Elle se trouve en hauteur au centre de la scène ce qui la met en valeur, pointant vers le ciel sa main droite tenant le drapeau de France et dans sa main gauche un fusil à baïonnette. 5) La violence de l'action est montrée en mettant au premier plan des hommes morts, ainsi que des armes. On aperçoit au fond de la fumée, ce qui fait croire à des bombardements. 6) La figure géométrique que l'on retrouve dans la construction