Baïonnette

Les soldats français avaient un uniforme bleu et un casque d’acier. Le front est  constitué de plusieurs lignes de défenses creusées dans la terre, les tranchées,  reliées entre elles par des boyaux d’accès. Ils utilisaient pour se battre des fusils sur  lesquelles était fixée une baïonnette, des mitrailleuses, des obus, des gaz… Les  soldats vivent et meurent dans les tranchées, dans la boue, dans la vermine avec  les rats et les cadavres. Ils vivent vraiment l’enfer d’où l’expression « l’enfer de  Verdun ».   A l'arrière:​   Pendant la 1ère guerre mondiale

accrues Doc 1 p 28 La mort est omniprésente et elle arrive de plusieurs manières : les obus d'artillerie, les grenades , les mitrailleuses, les gaz asphyxiants, les lance-flammes, les chars, les avions ( biographie de Roland Garros ) , les baïonnettes et le corps à corps. En 1917 éclatent des mutineries , des refus d'obéissance aux ordres militaires. V LA GUERRE TOTALE . A. Le premier conflit industriel . Doc 2 polycopié: Renault en guerre Les combats nécessitent du matériel

révolution de 1848. « Tout à coup la Marseillaise retentit. Hussonnet et Frédéric se penchèrent sur la rampe. C'était le peuple. Il se précipita dans l'escalier, en secouant à flots vertigineux des têtes nues, des casques, des bonnets rouges, des baïonnettes et des épaules, si impétueusement, que des gens disparaissaient dans cette masse grouillante qui montait toujours, comme un fleuve refoulé par une marée d'équinoxe, avec un long mugissement, sous une impulsion irrésistible. En haut, elle se répandit

avec un double menton) • Hiro-Hito : empereur du Japon, lié à l'Allemagne par le Pacte anti-Komintern (1937). (petit, jaune avec des grandes dents= représentation très raciste) On notera également que ce sont les seuls hommes présents. Les baïonnettes, couteaux... ne sont tenus par aucun humain visible dans le film. C'est encore plus vrai dans le cauchemar de Donald Duck : aucun humain, les obus marchent, il y a des jambes sans corps...) => le régime nazi est déshumanisé. Dans la chanson

vers . Le personnage mit le plus en valeur est la Marianne. Elle se tient au centre du tableau et a la pointe d'une construction triangulaire dont la base est composée de cadavres. Elle est une allégorie, l’allégorie de la liberté. Elle porte une baïonnettes qui représente la prise des armes du peuple et, le drapeau de la France, association des trois couleurs, rouge et le bleu qui représente la commune de Paris et, le blanc la royauté. Il n’y a pas de figure idéale puisée dans l’Antiquité, ce n’est

 souligné par la relative  => justification ironique de la guerre qui débarrasse des personnes nuisibles      ​ b. déshumanisation  ­“les canons renversèrent...6000 Hommes” : canons=perso (sujet)    & Hommes: objet (COD)   => jeu cruel, tombent comme des quilles  ­“ La baïonnette fut aussi la raison suffisante de la mort de quelques milliers d’H.”: même construction   => puissance meurtrière des armes qui dominent l’Homme    2) ​ Le mépris de la vie humaine  =>fuite de Candide,les conséquences affreuses de la guerre sur l’arrière (dont les civils) 

travaille dans une usine de munitions s'épuisant à répondre aux demandes exagérées du Führer. Le dessin animé montre sa journée : - petit déjeuner léger à cause du rationnement (pain dur) - travail à l'usine d'armement (sous surveillance (baïonnettes)= pas de liberté d'expression) - embrigadement par une fanfare nazie. le tout dans un décor "nazifié"... (maison avec la moustache d'Hitler, arbres, poteaux électrique et nuages en forme de croix nazie, le coq et le coucou de l'horloge chantent

déchirée, mais ne s’effondre pas. Elle fera preuve d’un courage exemplaire, déterminée qu’elle est à retrouver l’homme qu’elle aime. Gabriel, quant à lui, est un jeune homme plein de fougue et de courage qui sera acculé à l’impuissance devant les baïonnettes des Anglais qui non seulement leur dérobent leur terre, mais les arrachent à leurs êtres chers. Le récit offre d’autres personnages attachants tels que Marie-Ange Bellafonte, la mère d’Évangéline, une femme passionnée, profondément attachée

alsacien (musée Bartholdi, Colmar) (1869), copie au Marché couvert; -Le monument funéraire des Gardes nationaux tombés en 1870, cimetière du Lad Hof (1872). Deux dalles disjointes laissent passer le bras d'un combattant cherchant à agripper la baïonnette qui lui a échappé -La fontaine Jean Roesselmann (1888) -Le monument Gustave-Adolphe Hirn (1890) -Le monument-fontaine au baron Lazare de Schwendi sur la place de l'Ancienne Douane (1898) -Le groupe des Grands soutiens du monde, groupe en

cadavre, mare de boue, de sang, d’eau, de mine, le tout sans ce faire toucher par les obus, les balles et enfin arrivés dans la tranchées ce n’est pas sûre de pouvoir revenir sain et sauf car vous devez descendre dans la tranchée adverse en évitant baïonnettes, gaz, autant dire que la chance de réussite est quasiment nulle. Tout ceci amènent les soldats à se mutiner, se rebeller ou encore désertés car ils refusent de se battre, finalement toutes ces tentatives ne mènent qu’à une sortie la peine de mort