Bal des ardents

thermes tout au long du texte, faux-semblant commençaient déjà à être présenté l.7-8 et réalité l.15. l.23 – 24 : Le prince distribue flatterie nous ne sommes pas dans une ‘relation vraie’, mais dans une mascarade. Une mascarade : consiste dans un bal à masquer pour garder l’identité secrète Masque : tricherie, camouflage de la réalité Travestissement costume : théâtre Nous avons à partir de cet extrait La Folie, le Prince pas tourné exclusivement vers l’exercice du pouvoir mais vers l’abus

son indifférence : « M. de Clèves se trouvait heureux sans néanmoins être entièrement content. Il voyait avec beaucoup de peine que les sentiments de Mlle de Chartres ne passaient pas ceux de l'estime et de la reconnaissance (...). ». Mais lors du bal donné pour les fiançailles de Claude de France, la princesse de Clèves rencontre le duc de Nemours, un prince d'un éclat considérable dans toute l'Europe. Le roi les invite à danser l'un avec l'autre. Il naît alors une passion dans le coeur des deux

jeune est venu attaquer son ami. Durant le combat son voisin fût blesser au bras avec un couteau. Meursault retourna plus tard sur la plage. 2) Lecture de l’extrait page 92 & 93 : C'est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que le ciel s'ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir du feu. Tout mon être s'est tendu et j'ai crispé ma main sur le revolver. La gâchette a cédé, j'ai touché le ventre poli de la crosse et c'est là, dans le bruit à la

salle communautaire de mon village natal. J’interromps mon souper et m’approche du téléviseur pour mieux entendre. Instantanément, un lointain souvenir refait la surface. C’était une de ces rares journées caniculaires du mois d’août. Un soleil ardent plombait de tous ses feux sur la campagne asséchée. L’air suave et un calme plat régnait dans la grande cour circulaire où, à peine trois ans auparavant, les moteurs de la machinerie agricole faisaient entendre leur tintamarre. Je me souviens du

cernées d’un trait noir, lettres démesurées pour le bruit de l’explosion, présence d’une bulle avec texte en haut de l’image, langage cinématographique avec utilisation de différents plans pour marquer la profondeur, figuration de la trajectoire des balles et des effets de la désintégration de l’appareil ennemi. Les couleurs jaune et rouge des lettres « WHAAM ! » et des flammes sont déposées en aplats rehaussés d’un cerne noir. Les autres couleurs, fond et carlingue de l’avion, ont été réalisées sous

«Sarrasine» .2 L'essai est une interprétation poétique écrite du texte de Balzac d'un perspective lacanienne. «Sarrasine» est un texte en deux parties, et le texte de Reboul est un commentaire. La première moitié de l'histoire de Balzac a lieu lors d'un bal à Paris à la maison de la famille de Lanty de riches. Il est aux alentours de minuit, et le narrateur de Balzac est assis près d'une fenêtre, avec la chaleur luxuriante de la balle d'un côté, et «arbres» spectrales à l'extérieur sur l'autre. Son sentiment

rien aux sentiments de Mme de Clèves envers son époux ; celui-ci se ronge d’inquiétude. Pendant ce temps, M. de Nemours se prépare à se rendre à la Cour d’Angleterre, en équipage magnifique, pour épouser la reine Élisabeth. Il revient à Paris pour le bal de fiançailles de la fille du roi. La princesse de Clèves - informée par ailleurs de son éclatante réputation - danse alors avec lui, mais sans connaître son identité. Le couple qu’ils forment attire tous les regards. M. de Nemours est subjugué ; la

que celle du hasard, ce qui renforce le sentiment d’absurdité. Ainsi donc, le ciel et la mer viennent ajouter aux tourments du narrateur et rendre la situation infernale, au sens propre. La mer apporte un souffle épais, comme le rideau de larmes et ardent, comme le soleil : c’est une nouvelle agression. « Il semble » ensuite au narrateur, qui perçoit toujours l’environnement de façon confuse, que le ciel se fissure largement, « sur toute son étendue », en une sorte de vision apocalyptique ; il en

alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que le ciel s'ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir du feu. Tout mon être s'est tendu, et j'ai crispé ma main sur le revolver. La gâchette a cédé, j'ai touché le ventre poli de la crosse et c'est là, dans le bruit à la fois sec et assourdissant, que tout a commencé. » " Alors , j'ai tiré encore quatre fois sur un corps inerte où les balles s'enfonçaient sans qu'il y parût. Et c'était comme quatre coups

«C'est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que le ciel s'ouvraitsur toute son étendue pour laisser pleuvoir du feu. Tout mon être s'est tendu, et j'ai crispé ma main sur le revolver. Lagâchette a cédé, j'ai touché le ventre poli de la crosse et c'est là, dans le bruit à la fois sec et assourdissant, que tout acommencé. » "Alors, j'ai tiré encore quatre fois sur un corps inerte où les balles s'enfonçaient sans qu'il y parût. Et c'était comme quatre coups