Banalité

possessifs “son lit“, “ses habits“, voire “ses murs” permet de bien mesurer l’étendue de cette misère qui est la sienne. Misère sensible d’abord par la présentation du mobilier, peu important: “un petit lit de fer“, “une chaise de paille“. A la banalité des matériaux (fer et paille), s’ajoutent l’étroitesse, marquée par l’adjectif “petit“, et l’usure, rendue visible par le “creux” du matelas, l’empreinte de son corps au fil du temps. La description de ses vêtements appuie cette impression de

C'est aussi une démarche personnelle, vivante et éthique. Un discours logique, cohérent n'est pas forcément compréhensible. Si quelqu'un ne se contredit jamais, il est effrayant. Quelqu'un qui ne se contredit jamais, ne dit rien, et enchaine des banalités et des évidences. Un être vivant fonctionne en se contredisant, dit une chose et son contraire. Il se contredit parce qu'il avance, il revient sur son discours, et le remet en question. Il faut distinguer le plan logique de la pensée avec le plan

Pourtant, ici, l'implication du lecteur est réduit à néant. Deuxième partie : Jean de la Ville de Mirmont, raconte avec une ironie désespérée la vie routinière de son personnage principal : Jean Dézert. Solitaire, transparent, il représente la banalité et la résignation face à la vie. Dans cet extrait, le lecteur est face à la découverte de ce personnage médiocre. Dès les premières lignes, le nom de « Jean Dézert » apparaît. Ainsi, le lecteur comprend qu'il s'agira d'un personnage inactif, oisif

Ionesco critique les relations sociales figées de la bourgeoisie de l'époque Ionesco dénonce les convenances qui sont parfois opposés aux réels souhaits. 2.La banalité des propos : sophisme Idée : Ionesco dénonce la vacuité des propos - une conversation qui ne progresse pas (redondance) - langage mécanique, critique de la banalité de l'existence. - l'absurdité du langage casse la logique (marques de la logique : « moi aussi » l3, « mais alors,mais alors » l5 « c'est bien possible après tout

Enfin, nous étudierons deux points opposés. Commentaire littéraire I. Une description subjective qui transfigure la scène 1. Une situation banale La banalité réside sur le paysage décrit. On a champ lexical de la banalité « même », « vide », « ennui ». On a aussi la description des voyageurs qui montre également la banalité. Or, dans une scène ennuyeuse, le regard de Fréderic se fixe sur une seule personne. L'activité de broderie est tout à fait commune. L'apparition d'une « négresse

------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ Séance no3 : Analyser et comprendre les procédés de l’absurde Scène VII Incohérences et banalités des dialogues ☺De quoi parlent les deux couples au début de la scène ? --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Enfin, nous étudierons deux points opposés. Commentaire littéraire I Une description subjective qui transfigure la scène 1. Une situation banale La banalité réside sur le paysage décrit. On a champ lexical de la banalité « même », « vide », « ennui ». On a aussi la description des voyageurs qui montre également la banalité. Or, dans une scène ennuyeuse, le regard de Fréderic se fixe sur une seule personne. L'activité de broderie est tout à fait commune. L'apparition d'une « négresse »

dans l'univers. Le mal peut aussi être moral, lorsqu'il découle de l'agir de notre volonté, et métaphysique lorsque notre volonté est plus profonde que notre raison. Le mal, qu'il s'agisse du mensonge, du vol, du meurtre, …, est partout. Il est une banalité qui donne l'impression de toujours avoir le dernier mot puisqu'il nous coupe dans notre relation avec l'Autre. Qu'en est-il vraiment ? Le Mal aura-t-il le dernier mot ? Le Mal est un penchant inné et cependant librement contracté qui nous donne

- Cet espace relève d’un univers banal et quotidien ce qui est différent de la tragédie. Il ne renvoie à aucune ville en particulier et encore moins à un pays. - Les personnages qui rentrent en scène ne nous renseignent pas et renforcent la banalité de l’univers: une femme qui fait ses courses, une épicière et deux amis qui ont RDV. - Dans ce déco, il n’y a que l’arbre poussiéreux qui peut choquer lecteur, il rompt l’harmonie et prévient de la venue des Rhinocéros. 2) Le cadre temporel:

nous  étudierons  deux  points  opposés.     Commentaire littéraire  I. Une description subjective qui transfigure la scène    1. Une situation banale    La  banalité réside  sur le  paysage décrit.  On  a  champ  lexical de la  banalité  «  même  »,  « vide », « ennui ». On a aussi la description des voyageurs qui montre  également  la  banalité.  Or,  dans  une  scène  ennuyeuse,  le  regard  de  Fréderic  se  fixe  sur  une  seule  personne.  L'activité  de  broderie  est  tout à fait  commune. L'apparition d'une