Banking School Currency School

la « currency school » et la «banking school»: • la « currency school » conçoit les billets de banque comme un substitut au métal précieux: la banque centrale ne peut émettre de billets sans posséder leur contrepartie en or; • la «banking school» accepte que le billet soit émis sans une stricte contrepartie en or. La Grande-Bretagne adhère au 19ème siècle au currency principle. La France au contraire, adhère au banking principle. Peu à peu, au cours du 19ème siècle, le banking principle

courants d’économistes : . Ricardo adepte du currency principle : les billets ne doivent être qu’un substitut de la monnaie métallique, leur émission ne doit pas être libre, elle doit correspondre aux variations du stock de métal que possède la Banque Centrale. Le nombre de billets en circulation dépend donc des découvertes de mines d’or ou d’argent et des échanges extérieurs. A chaque moment tout billet doit être convertible en monnaie métallique. . Banking principle (qui s’impose), l’émission des

....................................................5 A – Une marchandise spécifique : le point de vue de l'Ecole de la Circulation (Currency School).........................................................................................................5 B – La Monnaie « Signe » ou simple convention sociale . La thèse de l'Ecole de la Banque (Banking School).............................................................................................6 2. Formes et fonctions de la monnaie...

Grande-Bretagne : -les partisans de la "Currency school" comme Ricardo, pensent que l'émission de billets de banque doit être assujettie à l'encaisse métallique des banques car une demande généralisée de conversion des avoirs en monnaie métallique risquerait d'entrainer une banqueroute générale et une crise. Ricardo pense, par exemple que l'émission de papier-monnaie inconvertible est la source de la hausse des prix. -les partisans de la 'Banking school", -dont Stuart Mill- laissent une liberté

des billets (35% : encaisse métallique doit représenter 35% des billets émis) * * Le billet inconvertible en or : papier monnaie : * Banking school VS currency school (Ricardo) : à quelle hauteur doit-on couvrir les billets par l’encaisse ? * Currency : sévère, couverture forte des billets émis par l’encaisse métallique * Banking : grande permissivité car pour permettre de trouver de l’argent facilement * On s’est rendu compte que lors de périodes difficiles (guerre) : beaucoup

change puis de certificat d’or -les billets de banques sont alors de véritables innovations qui vont remplacer l’or et les certificats d’or de plus en plus : monnaie fiduciaire (confiance) -réglementation : l’opposition entre la currency school et la bancking school 2) Une monnaie scripturale, autrement dit une monnaie bancaire. -création années 1930 : système d’échange d’écriture, représentatif de la monnaie qui n’est alors plus matérielle. -le chèque, le virement, les différentes cartes

ce qui concerne leurs conclusions. I- Tout les oppose mais outils similaires A- Tt les oppose en apparence 1. Ricardo agent de change à la bourse pdt guerres napoléoniennes, = financier. Ce fit connaitre à partir de 1810 (bullioniste, currency school et rente foncière) pr plusieurs ouvrage. Th de l’éco politique en 1817. Fortune faite, se retire des affaires et en 1819 devient membre de la chambre des communes où il milita en faveur de l’adoption du programme libéral. En particulier pr abolition

comme les effets de commerce et les billets de banque. Ces banques, en accordant des crédits, créent alors de la monnaie en distribuant des billets selon leur volonté. C’est ici qu’intervient la théorie classique en défendant le principe de la Currency School. En effet, d’après Say, la monnaie est un voile c'est-à-dire qu’elle n’affecte pas directement l’économie, elle facilite et accélère les échanges entre les agents économiques. Néanmoins, pour les classiques, les billets ne représentent pas une

Le Banking Act 1844 : donna à la Banque d’Angleterre le monopole d’émission des billets. Les billets émis étaient inconvertibles (sur le plan interne) mais la Banque devait maintenir un certain ratio entre les billets émis et les réserves d’or dont elle disposait. Les héritiers des bullionistes, les tenants de la Currency school, étaient favorables au maintien de cette parité qui offrait un rempart selon eux contre l’inflation. Les héritiers des anti-bullionistes, les tenants de la Banking School

l’énoncé  de  la  théorie  quantitative,  il  est  commode  de  raisonner  à  partir  de  l’identité formulée par I. Fisher (1907).  En 1911, dans Le pouvoir d’achat de la monnaie, Fisher essaie de tenir compte d’un petit  problème: le débat Banking School/Currency School est loi: il n’y a pas que la masse monétaire dans la  monnaie. Seule la liquidité fait la différence entre les composantes de la monnaie. Il apporte  principalement deux innovations:  On pourrait réécrire la Théorie Quantitative avec toutes les composantes