Banking School Currency School

spécialisées3, 1. GRAPE, Université Montesquieu-Bordeaux IV. 2. Charles Rist, Histoire des doctrines relatives au crédit et à la monnaie, Paris, Sirey, 1938; réédition, avec une préface de Christian de Boissieu, Paris, Sirey, 2002. 3. Journal of Banking and Finance, Journal of Financial Intermediation, Journal of Financial Services Research, etc; en France, la Revue d'économie financière s'est ouverte à l'Economie bancaire, tout comme la récente Revue de la stabilité financière, éditée par la Banque

controverse Bullioniste : Banking school vs. Currency School La currency school (Ricardo...) défend l'idée que les billets (par exemple) ne sont qu'un outil pour faciliter les échanges. Les théoriciens de la banking school (Tooke, Thomas...) défendent l'idée que les banques doivent utiliser le billet et son émission comme un outil permettant de financer l'économie. Le sujet de cette controverse du 19ieme siècle concerne l'émission des billets par les banques, selon la currency school, le billet est uniquement

monétaire font l’objet d’un débat : * la Currency school dirigée par Ricardo, héritière du bullionisme, prône un contrôle de la création monétaire par la banque centrale: elle doit être égale ou inférieure à la quantité d’or qu’elle détient pour empêcher l’inflation. * T. Tooke et sa Banking school prônent une liberté de cette création monétaire, qui doit dépendre des besoins des agents économiques. Le Currency School l'emporte lors du Banking Act de 1844, qui requiert aussi de capitaliser

y avait deux thèses contradictoires : « The Currency School » et « The Banking School ». « The Currency School » : Ecole de pensée qui veut éviter l’inflation et limiter la quantité de billets émis : régulation de la circulation des billets. « The Banking School » : Ecole qui pense que l’on peut émettre autant de billets que nécessaire (pensée trop laxiste). L’avenir donnera raison à la Banking School mais à la longue c’est la Currency School qui prédominera. En France on savait qu’il

ce qui s'écarte de ces principes peut être plus ou moins bien présenté, mais est radicalement faux, et aboutit toujours, dans la pratique, aux conséquences les plus funestes. (Bonnet, 1865b, p. iii) Bonnet, suivant la ligne argumentative de la Banking School14, nie que les billets de banque soient la cause des crises car ils ne sont qu'une de formes, même pas la plus importante, que revêt le crédit. Les causes des crises doivent donc être recherchées dans l'abus du crédit sous 12 Bonnet, 1859;

d'économistes : la Currency School (Ricardo) pour la réglementation de l'émission monétaire. Pour eux il fallait controler l'émission monétaire en la réglant strictement sur le montant de la quantité d'or détenue dans les caisses. Il faut éviter l'infliation relié a la surrémission. Ricardo a eu gain de cause car la Banque d'Angleterre a fonctionné selon les principes de la Currency. De l'autre coté, on connait aussi, la Banking School (Tooke, Stuart Mill) qui se rapproche du free banking autrement dit

|Economistes classiques, libéraux, monétaristes, quantitativistes |Economistes keynésiens | | |Ecole |Currency School |Banking School | | |Une monnaie fiduciaire a de la valeur car elle correspond à une valeur en métaux précieux. Une monnaie qui a de |La valeur de la monnaie repose

est donné ds une éco qui utilise ses capacités de prod à 100%. Ainsi, l’inflation trouve son origine ds l’aug de la qté de monnaie en circulation. *V : Cb de fois la monnaie change de mains pr effectuer une qté d’(X) données Débat entre Currency School / Banking School : Comment réduire l’inflation (élevée à l’époque) ? A l’époque, les besoins de monnaie butaient sur la limite du stock d’or. Cela poussait dc à une cration accrue de monnaie fiduciaire et scripturale (qui peuvent ê émis sans référence

(Rouble et dollarisation). Billets rattachés à l’or et convertibles en principe. 14 : Monde moderne : la controverse théorique sur la création monétaire (billets) de 1810 à 1840 entre Currency school avec D.Ricardo (monnaie exogène à l’économie réelle ; => contrôler 4 l’offre monétaire) et Banking school avec S. Mill, (demande de monnaie endogène ; => laisser le volume de monnaie s’adapter). Le premier principe, adopté par la GB en 1844, renaîtra chez les Monétaristes dans les années

facteurs multiples (productivité, stock de capital...) sur lesquels la politique monétaire n'a aucun impact. Historique Au XIXe siècle, les objectifs de la politique monétaire font l’objet d’une opposition entre la Currency school, héritière du Bullionisme, et la Banking school prônant respectivement un contrôle et une liberté de la création monétaire. Entre 1945 et le début des années 70 le cadre de la politique monétaire était fondé sur le système de Bretton Woods. L'objectif de ce système