Banlieue

à cette époque, la population blanche fuit les centres villes entre autre par crainte des | | |manifestations (combat pour les droits civiques) et déménagent vers des quartiers résidentiels excentrés (banlieues résidentielles). | | |Rappels historiques :

Extrait, « Tour » Du monde entier Raymond Queneau, Extrait., « La Tour squelettique “ Courir les rues.  Jean Cocteau, Extrait, Le Cap de Bonne Espérance: Queneau, « Zazie dans le métro » Un article de presse sur les banlieues Photographies de la Tour Eiffel, de photos de presse Film : « Paris je t’aime » d’Olivier Assayas, Frédéric Auburtin, Sylvain Chomet Plans de Paris et du métro de Paris Chanson de Jacques Dutronc, « 4h du matin, Paris

L’EXPOSE : ELEVES : TRAVAILLER, PERTURBER, DERIVER Cet exposé est représentatif et fidèle aux textes étudiés. En effet, il met bien en avant les principaux concepts repris par chaque auteur qui font référence au parcours scolaire des élèves des banlieues populaires, entres difficultés du rapport au savoir et origine sociale. Ces textes sont intéressants dans le sens où ils se rejoignent sur ces difficultés de réussite scolaire auxquelles sont confrontés les élèves et mettent en lien l’importance

Politiques publiques et territoires Septembre/D écembre 1995 Banlieues ghettos, quartiers populaires ou ville éclatée ? L'espace urbain à l'épreuve de la nouvelle question sociale DANIEL BEHAR La conjonction entre la question urbaine et celle de la pauvret é n'est guère inédite. De tout temps, la ville a concentré les pauvres, a rendu plus visible la pauvreté. De tout temps, la tentation du déterminisme a guetté les observateurs, dénonçant la nocivité des densités urbaines, l'urbanisme

avons donc déjà parlé d'une fragmentation au niveau social avec les revenus différents à deux échelles : entre la ville-centre et la périphérie, ou entre deux banlieues telles que Courneuve et Neuilly-sur-Seine (qui est l'exemple montrant que les banlieues ne sont pas toutes synonymes de problèmes sociaux, économiques ou de chômage). Une banlieue est le territoire qui entoure une ville-centre et celles ci sont généralement constituées de constructions massives et irréfléchies afin de recevoir les populations

dans espace multipolarisé) + polarisation de l’espace rural par les petites villes = 90% pop est urbaine. Agglomération : Unité urbaine caractérisée par la continuité des constructions & abritant une pop > 2000 hab. Comprends ville centre & ses banlieues. Aire urbaine : espace constitué d’un pôle urbain & d’une couronne périurbaine (INSEE) 2        Géo.  1S                                              

urbain. Malgré cet étalement, Bombay concentre une population très importante sur une superficie relativement réduite, les densités peuvent ainsi aller jusqu’à 100 000 habitants au kilomètre carré. → la population de l’agglomération (ville-centre + banlieues) a été multipliée par 7 entre 1950 et 2010 atteignant les 21M d’habitants. 2°) New-York : (questions 1 à 6, p. 144-145) New York, 22 millions d’habitants, est l’une des métropoles les plus importantes au monde. Elle concentre population, richesses

les gens biens, ceux qui ne se soucient jamais des fins de mois difficiles et ne battent pas leurs femmes lorsqu'ils ont trop bu, le genre d'endroit également où, jamais de sa vie, elle n'aurait pensé mettre les pieds. C'était autre chose que la banlieue où elle vivait. Elle eut une légère inquiétude, car elle se souvenait ne pas avoir dit son prénom à la personne qu'elle avait eue au téléphone. En fait, la conversation n'avait durée que très peu de temps. Elle pouvait encore se la réciter pour

Montréal. Cette municipalité, s’étendant sur une superficie de 43,39 km2, est caractérisée par un développement résidentiel de faible densité, composé essentiellement de maisons unifamiliales pavillonnaires. De plus, comme la grande majorité de banlieues québécoises, l’influence de l’automobile a grandement marqué l’aménagement de ce type de tissu urbain, ce qui restreint énormément le nombre de terrains disponibles pour le développement dans cette région. Effectivement, selon les autorités municipales

redents autour. Le Corbusier est tout en nuances quant à ses objectifs : « Je pense donc bien froidement qu’il faut arriver à cette idée de démolir le centre des grandes villes et de le rebâtir, et qu’il faut abolir la ceinture pouilleuse des banlieues [sic], reporter celles-ci plus loin et, à leur emplacement, constituer, petit à petit, une zone de protection libre qui, au jour utile, donnera la liberté parfaite des mouvements et d’ici là permettra de constituer à prix bas un capital dont la