Banque africaine de développement

de 100 ans son métier de banquier avec engagement et responsabilité. »     les bases de la confiance Accompagner le développement des collaborateurs .34 p .22 p Convaincus que l’un des rôles majeurs d’une institution financière est de faciliter et d’accélérer le développement économique et social, nous sommes chez Attijariwafa bank investis dans la voie du développement durable, forts de nos valeurs d’éthique, d’engagement, de leadership, de solidarité et de citoyenneté. Contribuer à la

fintech dans le développement économique des pays africain ndoki jencya weldas flavienne diariata sy angeline tolnoLes enjeux de la fintech dans le développement économique des pays africainTable des matières I. LA FINTECH DANS LE CONTEXTE AFRICAIN 2 A. Un écosystème favorable au développement de la Fintech 2 B. Les acteurs majeurs de la Fintech en Afrique 2 1. Les leaders 3 2. Les émergents 3 3. Les prometteurs 3 C. Les leviers de l’expansion de la Fintech 3 1. Développement d’infrastructure

Commission économique pour l’Afrique Union africaine Rapport économique sur l’Afrique 2009 Développer l’agriculture en Afrique par des chaînes de valeur régionales Commission économique pour l’Afrique Union africaine Rapport économique sur Développer l’agriculture en Afrique par des chaînes de valeur régionales l’Afrique 2009 Commandes Pour commander des exemplaires du rapport Développer l’agriculture en Afrique par des chaînes de valeur régionales, de la Commission

technologies de l’information et de la communication (TIC) dans l’éducation en Afrique subsaharienne en se basant sur des documents produits par l’Association pour le Développement de l’Education en Afrique (ADEA) et la Banque Mondiale, tout en jetant un regard rétrospectif sur la recherche menée de 2003 à 2005 par le Réseau Ouest et Centre Africain de Recherche en Education (ROCARE) en partenariat avec l’Université de Montréal au Canada. Intitulée « Intégration des TIC dans l’éducation en Afrique de l’Ouest

pas aidé dans la plupart des pays africains - il est mal fait. Nous avons demandé à George Ayittey ses réflexions sur le nouveau livre Dead Aid, qui a dernièrement enflammé les talk-shows et les colonnes d'opinion avec un message similaire à celui d'Ayittey. L'auteur, Dambisa Moyo, dit que l'aide tue les pays-mêmes qu'elle est censée aider. Elle cingle de critiques les croisades de célébrités pour "sauver l'Afrique", et la vision qu'ils donnent de la vie africaine. Voici un extrait de ce que dit

gouvernance est un concept ancien. C’est à la fin des années 1990 que la Banque Mondiale fait de la bonne gouvernance, un élément central de la stratégie de développement. Bien qu’ayant été depuis lors repris par divers autres acteurs et organisations de rang international (CAD, OCDE, PNUD, UE, NU, BAD, FMI…), qui l’ont souvent adapté à leurs besoins spécifiques, le concept de bonne gouvernance a toujours été défini par la Banque Mondiale comme étant la manière avec laquelle le pouvoir est exercé dans

Bourse Prix Africa Investor Maroc Télécom distinguée par le New York Stock Exchange et Scipion Capital meilleur hedge fund en Afrique et en Afrique du Sud. Page 9 www.lesafriques.com Le journal de la finance africaine Hebdomadaire BAnques et AssurAnces sénégal : la BIcIs veut rester leader Daniel Delanis, administrateur-directeur général de la BICIS Sénégal (BNP Paribas) analyse la recomposition du paysage bancaire sénégalais. Page 5 entrePrIses et mArchés trafic maritime : l’Afrique

de l’effet domino de la crise née des subprimes américains, de ces crédits hypothécaires consentis à des entreprises au bord de la faillite et à des ménages aux revenus modestes et instables. Ils ont fini par défaillir en masse, au grand dam des banques prêteuses, des fonds de placement et des hedge funds qui les ont refinancés en transférant ainsi leurs risques sur de très nombreux particuliers et acteurs économiques à travers le monde développé. Les marchés financiers du Nord sont sans doute en

au plus haut niveau entre dirigeants africains et responsables politiques des grands pays émergents, Chine, Inde, Brésil, Turquie notamment, n’ont cessé de se multiplier au cours de ces dernières années. Ces rencontres mettent au grand jour la présence croissante de nouveaux acteurs sur le continent africain, dans les domaines à la fois économique, politique et culturel. La Chine, notamment, est devenue en quelques années un partenaire majeur des Etats africains. Cette présence croissante, mais non

s’accroissent, la part du continent africain dans les échanges ne finit pas de s’amenuiser passant de 5% en 1950 à 2,4% en 1970 puis à moins de 1,8% en 2000 • Causes : F.Bakoup→Politiques non coordonnées et non orientées Pauvreté de certains Etats • Statistiques à relativiser : grande partie de l’activité économique réelle pas enregistrée • Instabilité politique B. « Des mondialisations africaines », Anne Volvey • Typologies des pays africains selon leur degré d’intégration dans la