Banque centrale

sont évidemment plus prompts à augmenter les dépenses ou à baisser les impôts qu’à vouloir faire l’inverse. 2. D’où le principe d’indépendance de la banque centrale vis-à-vis du pouvoir politique, ou encore l’idée d’inscrire une « règle d’or » d’équilibre budgétaire dans la constitution. Mais si des garde-fous peuvent être utiles, renoncer aux politiques conjoncturelles négligerait l’importance des phénomènes

agents. Phénomène monétaire : - Les libéraux pensent que la masse monétaire en circulation est stable. L’inflation peut apparaitre seulement s’il y a une augmentation rapide de la masse monétaire. Celle-ci peut arriver si le gouvernement ou la banque centrale augmentent la quantité de monnaie en circulation. Les agents vont se retrouver avec plus d’argent, ils vont ainsi plus consommer, ce qui augmente la demande globale. Mais l’offre est rigide. L’aboutissement de cette politique monétaire expansionniste

politique cherche ici à obtenir un taux croissant de la masse monétaire à un rythme correspondant au taux de croissance à long terme de l’économie. En d’autres termes, il faut : o Un contrôle de la progression de la base monétaire par la banque centrale o Un renchérissement du coût du crédit par l’action sur les taux directeurs - Structures économiques : l’objectif est de rétablir une concurrence plus forte sur les marchés grâce à la réglementation qui permet : o Une

(∆R/P ) ¯ ∂Q ∂rE ¯ ∂Q E = ρ > 0, = bρ > 0, = ρ [b − (1 − c)] > 0. k (21a) (21b) (21c) Une d´valuation du taux de change r´el a un impact positif sur la production nationale (car ρ > 0), e e accroˆ les r´serves de changes d´tenue par la banque centrale (car ρ > 0 et b > 1), et augmente le ıt e e taux d’int´rˆt domestique (car ρ > 0, k > 0, b > 1 et (1 − c) < 1). ee En r´gime de change fixe, le gouvernement dispose d’un instrument suppl´mentaire pour relancer e e l’´conomie : la d´valuation de

résolution de la crise C. Les reformes structurelles  des réformes du secteur financier :clôture des institutions financières en défaut de paiement , recapitalisation des institutions financières potentiellement viables , surveillance étroite par la banque centrale des institutions financières fragiles , renforcement de la surveillance et de la réglementation bancaires, afin d’éviter la réapparition des fragilités à l’origine de la crise  la nécessité d’une restructuration de la dette des entreprises (une

s’annonça comme l’accélérateur du déficit commercial. Côté finance, l’archipel était alors habitué depuis une quinzaine d’années à la déflation, mais le nouveau problème soulevé est celui des déficits commerciaux. Le nouveau dirigeant de la banque centrale du Japon (BoJ), Haruhiko Kuroda, est favorable à une politique monétaire ultra-accommodante. Son objectif premier n’est pas de déprécier le Yen pour favoriser les exportations, (bien conscient que le commerce extérieur ne se redressera pas sans

intérieurs permis par tx d'épargne fort (53 % du PIB en 2008) et réserves de changes. Investissent où ? Dans les infrastructures : - Energie (barrage des 3 gorges) - Transport - Logement (10 % de la croissance chinoise) Qui invetsit ? La banque centrale et l'état fédéral prêtent aux autorités locales (qui s'endettent) Dans la recherche et l'industrie de pointe - Achats de brevets - espionnage technologiqie - Recherche dans automobile, aéronautique (le C-919) aérospatial (fusée long march)

cherchant à savoir les avantages et les risques de ces politiques. I/ En quoi consistent ces politiques ? A) La situation actuelle. Les politiques économiques c’est l'ensemble des interventions des administrations publiques (dont l’État, la banque centrale, et les collectivités territoriales) sur l’activité économique. De nos jours, elle sert à remédier à des échecs de marchés, à effectuer des redistributions lorsque une situation est inéquitable mais encore pour que l'action de l'État favorise

déflation est une baisse du niveau générale des prix. Elle désigne aussi une politique économique visant à réduire brutalement la demande afin de faire baisser les prix et la consommation. La politique monétaire ; est l’action par la quelle la banque centrale agit sur l’offre de la masse monétaire, afin d’atteindre les objectifs de la politique économique : croissance, stabilité des prix.

soit plusieurs monnaies. Donc l’euro est une monnaie défaillante ou incomplète. Dettes publiques éparpillées. Erreur : avoir voulu faire l’euro sur le modèle allemand. Histoire monétaire allemande tourmentée et ponctuée de crises monétaires. Banque centrale = faite sur le modèle allemand, mais inadapté à la diversité des capitalismes en Europe. Cas de la Grèce montre encore une fois les faiblesses de l’Europe. Le but initial était de profiter des intérêts communs des pays européens, avec comme instrument