Banque Coquille

económicas Tensions économiques 75 1. Política económica politique économique 75 Coyuntura Conjoncture 75 Medidas Mesures 76 2. Tercer Mundo Tiers-Monde 77 VIII. Finanzas Finances 78 1. Sistema bancario Système bancaire 78 Banca Banque 78 Medios de pago Moyens de paiement 80 Operaciones bancarias Opérations bancaires 80 2. Bolsa Bourse 80 IX Medios de transporte Moyens de transport 81 Tráfico Circulation 81 Coche Voiture 82 Ferrocarril

MED en 2010, Etude N°21, Mars 2011, [disponible sur : http://www.invest-inmed.eu/base_documentaire/download/nom_doc/20110311105656ain_ide%26partenariats2010_fr_10-3-2011.pdf]). 3 En 2009, cinq secteurs ont accaparé 90% des IDE au Maroc, à savoir : banque, immobilier, télécommunications, tourisme et industrie, dans cet ordre (Source : Balance des paiements pour 2009, Office des Changes, Rabat). 4 Le Royaume est la première destination des IDE français dans la région MENA et en Afrique et deuxième au

monnaie-marchandise sont nombreux : sucre, sel, blé, café, tête de bétail, coquillage, coton, coquillage… Pour qu’un bien soit accepté comme monnaie par tous les individus d’une communauté, il fallait qu’il soit très utilisé dans la vie courante et/ou symbolique (coquille de Cauris). Mais les monnaie-marchandises ne pouvaient remplir convenablement et durablement leur rôle de monnaie en raison de leur caractère hétérogène (les monnaie-marchandises telles que les têtes de bétail ou le blé sont composées d’éléments

(1963). Les banques et autres institutions financières au Liban sont soumises au contrôle et aux règlements de la Banque du Liban ou Banque Centrale qui est l’autorité monétaire du pays. La Banque du Liban contrôle l’entrée au secteur bancaire, définit le champ d’activité des banques et dresse les éthiques et les règles prudentielles qui régissent le secteur.  La Commission de Contrôle des Banques qui a été créée en 1967 est l’autorité de supervision. Elle supervise les activités des banques et s’assure

Le G-20 : résumé élève. Le G-20 a été créé suite à la crise financière de 1990. Ce groupe constitué des 20 pays (développés ou émergents) les plus riches et les plus influents de la planète réuni les ministres des finances et les gouverneurs des banques centrale de chacun d’eux. En 2008, le groupe est rentré e action suite à la crise financière. Quatre sommets on jusqu’ici été organisé. Washington : les 14 et 15 novembre 2008. Les dirigeants ont élaboré un plan de relance simultané pour stabiliser

International Corporate Department de la Banque Byblos tenu par M. Rabih Abou Chacra et M. Kazem Oueida qui me permettront de connaître les différents types de risque les plus communs et leurs liens avec les investissements directs étrangers. Je pourrais à partir de là me faire une idée de l’étroitesse de la liaison entre risque pays et investissements directs étrangers. De plus, le responsable de ce département pourra aussi m’expliquer les moyens utilisés par la banque afin de couvrir les investissements

clients l l l l l Particuliers professionnels Entreprises Organisations et autres groupement État et collectivit és L objectif est de regrouper les consommateurs qui ont les mêmes comportements d achat et de consommation Exemple : portefeuille Banque vu sur la rentabilit é l l l l Particuliers : l ensemble des clients qui ont un compte bancaire Clients Particuliers VIP : l ensemble des clients qui ont toujours un solde de 200 000F sur leur compte Client entreprises : l ensemble des clients

L’approche de Bâle I est d’exiger des banques que leurs fonds propres correspondent au moins à 8 % des actifs engagés. Ce principe a été décidé pour réduire les chances aux une banque de se trouver en position de difficulté, elles ont autrement été conçues afin de protéger les épargnants et les investisseurs d’une éventuelle faillite. La mise en place d’une telle réglementation préventive a malheureusement eu un effet pervers sur le moyen/long terme puisque les banques ont par la suite choisi de contourner

pas uniquement des documents de synthèse. Il existe des matériaux non financiers : - Ensemble des informations que l’on obtient auprès du tribunal de commerce (extrait K-bis, garanties données, incidents de paiement), - Études sectorielles de la Banque de France, - Plaquettes commerciales. LE BILAN Définition : photographie du patrimoine de l’entreprise à un moment donnée, depuis la création (définition juridique). |Actif (ce qu’elle possède) |Passif

instruments d’ordre quantitatif : ' Le plafond de réescompte qui limitait les possibilités d’accès au refinancement des banques. ' La réserve obligatoire qui obligeait les banque de bloquer une partie de leurs exigibilités dans un compte au niveau de BAM. ' L’encadrement du crédit qui limitait le volume de crédit que pouvait accorder chaque banque. ▪ Les instruments d’ordre qualitatif : ' Le soutien des crédits octroyés aux secteurs prioritaires en les