Banque de terminologie

compte en Banque. Actif : ce qu’on en fait Passif : D’où vient l’argent Compte en banque : 100 000 Capital : 100 000 L’entreprise achète des marchandises à revendre. Elle achète pour 30 000 euros de marchandise. Actif : ce qu’on en fait Passif : D’où vient l’argent Marchandise 30 000 Compte en banque : 70 000 Capital : 100 000 Principe de la partie double : Toute opération donne lieu à deux enregistrements. Toute opération est enregistrée dans deux comptes. Banque D C 100 000

nouvelle banque et nouvelle gauche. p.65 Moins que les débats scientifiques, ce sont les enjeux de l’action qui ont stimulé les références à la gouvernance. L’enjeu devenait l’innovation - c’est-à-dire la diffusion élargie de nouvelles normes d’action. Une Banque bien mondialisée. La Banque mondiale : World Bank. Cet enjeu concerne plusieurs échelles : locales, nationales, internationales. L’enjeu international est du ressort d’un des acteurs les plus puissants de la planète : la Banque mondiale

1 Observatoire des métiers, des qualifications et de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes dans la banque La BFI (Banque de Financement et d'investissement) Les métiers de back/middle office de la BFI et les métiers titres Bernard COULOMBEAUX Collaboration HENRY CHEYNEL Mars 2008 2 Nous prions tous ceux qui nous ont aidés pour la réalisation de cette étude de croire en notre gratitude. Nous avons tiré des enseignements particulièrement riches de nos rencontres

(industrie de production ou de transformation de matières premières en produits finis ou semi-finis) - Les entreprises du secteur tertiaire (entreprises commerciales, de distribution achetant et vendant les marchandises - Les prestataires de services (banques, cabinet d’études, etc.) - Les entreprises mixtes sont celles qui réalisent à la fois les activités dans plusieurs domaines (production et vente) • Suivant le statut juridique (notion de propriété) - Les entreprises privées : entreprises appartenant

internationaux et d'influence des contextes économique et politique. Le risque pays ne concerne, ici, que les opérations internationales des entreprises, ce qui restreint le champ d'analyse en excluant les autres acteurs économiques que sont les banques, les investisseurs de portefeuille ou locaux. Clei [1998] : complète les deux définitions présentées ci-dessus en mettent en relief la diversité des éléments entrant en compte dans le risque pays appréhendé comme étant "l'ensemble des paramètres

plusieurs sens selon les contextes et les finalités recherchées de son invocation. D'un point de vue qualitatif, qui est celui le plus courant dans le jargon des grandes institutions internationales qui lui donnèrent ses lettres de noblesse (FMI, banque mondiale), la gouvernance est une manière laudative de gérer la chose publique dans l'intérêt de la stabilité et de la pacification de l'espace économique, politique et social, conformément à certaines règles établies. De ce fait on parle de "bonne

classiques du commerce international = achat et revente Mais avec la mondialisation, le domaine de la commercialité internationale est devenu très large : opérations effectuées par exemple par une banque, les prestataires de services (courtiers, transitaires, etc…), les opérations de distribution. Terminologie nouvelle : plutôt droit international des affaires, au lieu de droit du commerce international, toutes les opérations du commerce international sont caractérisées par deux spécificités : •

pratiques de gestion de projets qui sont utilisées dans l’ensemble des champs d’application Fournir un cadre conceptuel systémique qui servira de base à l’approfondissement des connaissances en gestion de projet Initier l’étudiant à une nouvelle terminologie spécifique à la gestion des projets Apprendre à l’étudiant les méthodes et outils les plus couramment utilisés en gestion de projets Permettre à l’étudiant de constater comment les principes généraux de la gestion de projet peuvent s’appliquer

|18 | | IV. Le plan de formation : |21 | | IV.1.Définition et terminologie |21 | | IV.2.Objectifs de la formation |22 | |IV.3

l’Organisation mondiale du commerce. Cet accord était nécessaire pour réguler le commerce mondial dont le rythme d’accroissement est prodigieux sur deux décennies : 80 % en moyenne pendant les années 70, plus de 90 % pendant les années 80. Selon la Banque mondiale, les chiffres significatifs de quelques pays exportateurs mondiaux, en 1994 sont donnés dans les tableaux 1, 2, 3 et 4. Si chacun des pays est considéré seul, il est remarquable de constater que les 3 pays européens sont très dépendants de