Banque d'investissement

 ECONOMIE Banques centrales : Pompiers de la crise des subprimes A la suite de la crise amorcée en 2007 aux États-Unis par le marché des prêts subprimes, les marchés financiers sont paniqués et l'économie réel est atteinte par une cascade de crises: crise de confiance interbancaire, assèchement de la liquidité,insolvabilité des acteurs économiques, déroute d'une certaine classe d'actifs, qui fait craindre un risque systémique. Pour limiter l'augmentation des défauts de paiement et

dans le monde : Standard and Poor’s, Moody’s et Fitch. Banque d'affaires ou banque d'investissement (en anglais, investment bank) Après la crise de 1929 aux Etats-Unis, une loi a imposé de séparer les banques de détail (pour les particuliers et les PME) et les banques d'investissement. Cette séparation est aujourd'hui à l'origine des graves difficultés de firmes américaines comme Lehman Brothers ou Merrill Lynch. En effet, ces banques d'affaires dépendent exclusivement pour se refinancer du

au Numéro 1 de l'assurance au Maroc, RMA Watanya Participations[modifier] • BMCE Bank (30,38 %) - banque et finance • Société Nationale d'Investissement (SNI) (13,41 %) - holding financière • Méditelecom (13,06 %) - télécommunication • Banque Centrale Populaire (5,05 %) - banque et finance • Crédit Immobilier et Hôtelier (CIH) (4,31 %) - banque et finance • Attijariwafa bank (2,81 %) - banque et finance • BMCI Leasing (12,90 %) - crédit-bail • Compagnie de Transport au Maroc (CTM) (48,05 %)

devient Omnium Nord Africain sous le contrôle de la Banque de Paris et des Pays-Bas 1955 : Au retour de Mohamed V, Thami El Glaoui est dépossédé de ses biens, soi-disant au profit de l'État. Mais c'est la famille royale qui s'approprie le groupe. 1982 : Le Groupe prend des participations dans des secteurs variés, notamment Lait & Dérivés, Sucre, Banques, Chimie, Textile 1986 : Prise de participation dans Lesieur Afrique et acquisition de près de 40 % de la Banque Commerciale du Maroc 1986 : Prise de participation

Remerciements……………………………………………………………………….…………………….……...03 Introduction…………………………………………………………………………………………………..……..04 Partie 1 : Présentation générale de la AWB……………………………………………….…………06 A - Le secteur bancaire………………………………………………………………………….….…………...07 1- La banque……………………………………………………………………………..……07 2- Le secteur bancaire au Maroc…………………………………………………….09 3- La crise financière mondiale……………………………………………………….10 B - Présentation du groupe AWB ………………………………………………..…………………………13 1. A propos de AWB……………………………………………………………………

de 1,1% de croissance. L'économie française suit la dynamique de la zone euro qui bénéficie des « largesses monétaire » de la Banque Centrale Européenne, s'accompagnant d'une baisse du taux de change de l'euro ainsi que la décrue des prix du pétrole. L'OCDE prévoit une croissance de 1,4% cette année ( + 0,3 point par rapport à novembre 2014 ) et de 2% en 2016. La Banque centrale européenne a débuter son vaste programme de « quantitative easing » de rachat de dettes publiques et privées avec l'espoir

Walid MATTAR pour leur disponibilité, leur gentillesse et pour tout le temps qui m’ont consacré. Sommaire Introduction 4 Première partie : 5 Présentation globale 5 I. Le secteur bancaire 6 1. Définition de la banque 6 2. Le circuit bancaire 6 3. Le secteur bancaire 6 II. Présentation du Groupe BNP PARIBAS 8 III. Présentation de la BMCI 9 1. Historique de la BMCI 9 2. L’organigramme de la BMCI 11 3. La fiche technique de la BMCI 12 Deuxième

Projet de fin d’études : Capital d’investissement Réalisé par : AYADI HAMIDA Licence appliquée en gestion : Gestion des Intitutions Financières Encadreur : Mr ZOUAOUI MHAMED Encadreuse professionnelle : Mme KHIARI MYRIAM Année universitaire : 2011/2012 Période de stage : 15/01/2012 au 20/04/2012 t Sommaire Sommaire 2 Remerciement : 4 Chapitre 1 : Présentation de la Banque : 5 1) La Banque internationale arabe de Tunisie : 5 a)Présentation : 5 b) fiche technique et organigramme :

La Banque Islamique Définition de la banque Islamique: Certain on définit la banque islamique comme étant une institution bancaire qui ne prend pas, ni donne de l’intérêt . Elle reçoit l’argent des individus sans aucun genre d’obligation ou d’engagement de donner de l’intérêt sur cet argent. Et quand cet argent est utilisé dans des activités d’investissement ou de commerce ça sera sur la base du partage du bénéfice et de la perte. Mais cette définition n’est pas suffisante pour différencier

l’« intermédiation financière », correspondant à l’activité bancaire dans les statistiques de la Comptabilité nationale 45 pour 2003 était de 3,15 % (contre 3,1 % en 2002 et 3 % en 2001) et celui des branches d’assurances était de 1,4 %. L’ensemble banque-assurance employait environ 697 000 salariés à la fin de 2003 comme à la fin de 2002, contre 698 000 à fin 2001. Au cours des dix dernières années, la valeur ajoutée du secteur bancaire a représenté en moyenne 3,3 % du produit intérieur brut, avec