Banque du sperme

question de l'opération, car le décès d'un enfant ou éventuellement un remariage après une vasectomie, peut nous faire changer d'avis mais la procréation n'est plus possible. Ainsi il est donc préférable de conserver du matériel génétique dans une banque du sperme post-opératoire. L'opération peut également entrainer des effets secondaires (comme des hématomes ou des douleurs). Elle ne protège pas non plus des IST. De plus une reconstruction spontanée des canaux déférents peut avoir lieu, c'est pour

transmission de maladies génétiques. En France, les premières réalisations d’inséminations artificielles ont lieu au XIXème siècle. C’est en 1968 que la première banque de congélation de sperme ouvre ses portes aux Etats Unis et cette technique arrivera en chez nous en 1972 et avec elle la création du Centre d’Etudes de Conservation des Œufs et Sperme humain (CECOS). C’est à partir de ces années-là que les mentalités ont commencé à intégrer l’idée d’aide médicale pour ou contre la procréation, notamment

couples A/ Couple 1: L’insémination artificielle (p. 8) B/ Couple 2 : L’injection intracytoplasmique de spermatozoïdes (ICSI) (p. 8/9) C/ Couple 3: La fécondation in-vitro et transfert d’embryons (FIVETE) (p. 9) III/ Les banques de cellules reproductrices et les dérives A/ Banque de cellules reproductrices (p. 10) B/ L’intérêt de la loi bioéthique à la PMA (p. 11) C/ Les dérives possibles (p. 12) Introduction : Le sujet que nous allons présenter est: Quelles sont les méthodes qui permettent

établi la reconnaissance de l'enfant et interdit une recherche en paternité génétique. Il garantit les deux parents d'un éventuel désaveu en paternité génétique en cas de conflit dans le couple. - dons de gamètes gérés par les C.E.C.O.S. (pour le sperme comme pour les ovules) - donneur et donneuse doivent déjà être parents de moins de 45 ans, avec accord du conjoint et non rémunéré. - interdiction de faire de la publicité pour le don de gamète (hors campagne d'information publique)

Présentation b) Les techniques d'Analyse c) Utilisation III. Histoire vraie CONCLUSION : La police scientifique est une branche policière qui permet d’identifier et d’analyser des traces laissées par le meurtrier (empreintes, sang, sperme) sur les lieux d’un crime ou sur un cadavre pour identifier les personnes en rapport avec le crime. Les biotechnologies au service de la police scientifique, sont donc des techniques qui aident à identifier une personne à partir de résidus qu’elle

établir l‘identité génétique d‘un individu à partir d‘une tache de sang, d‘un cheveu, de la salive sur une cigarette, de la salive au dos d‘un timbre-poste, sur un verre, une brosse à dents, des traces sueur sur un vêtement, a fortiori une goutte de sperme …Le plus souvent cellules sont prélevées à l‘intérieur de la joue. Une seule cellule suffit aujourd‘huit pour établir l‘ADN contre 500 avant. Les données issues du code ADN ressemblent à des codes barres aisément stockables dans un fichier informatique

follicules : c’est ce qui contient les ovocytes avant de les relâcher. Des ovocytes seront prélevés directement dans les follicules. Des spermatozoïdes sont prélevés sur monsieur X (les spermatozoïdes peuvent provenir d’un donneur, il existe des banques de sperme). Les ovules qui sont fécondés sont cultivé afin d’évaluer leur morphologie (2 jours le plus souvent mais ça peut aller jusqu'à 6 jours). Ensuite un ou deux embryons seront implantés dans l’utérus de madame Y. (3 embryons peuvent être implantés

avec des intestins de petits animaux ou un pochon en lin trempé dans l’huile d’olive. Dans les écrits de l’antiquité on conseillait aux femmes de sauter plusieurs fois après un rapport sexuel afin de faire sortir le produit composé de glaire et de sperme, évitant ainsi toute fécondation. A l’arrivé du Christianisme, l’église catholique imposait l’abstinence comme seul et unique moyen de contraception. Elle encourage encore actuellement cette méthode… Il a fallut attendre le XVI ème siècle pour

seringues et d’accessoires contaminés ; 3 : Transfusion sanguine et injection de produits sanguins ; 4 : De la mère contaminée à son fœtus. Haut de page 2 - La Transmission a\ Par voie sexuelle Le virus du SIDA est présent dans le sperme (de l’homme) ou dans les sécrétions vaginales (de la femme). Quand, il y a une relation sexuelle non protégée, hétérosexuelle ou homosexuelle, le virus du sida se transmet si une des personnes a la maladie. Une seule relation sexuelle suffit à transmettre

et insémination avec tiers donneur (IAD). Afin de remédier à la stérilité féminine nous avons recours aujourd’hui à la fécondation in vitro : c’est un prélèvement d’ovules de la femme, suivi de la fécondation de ces ovules en éprouvette avec le sperme du mari, et qui se conclue par l’implantation des embryons réalisés dans l’utérus de la femme. Nous pouvons aussi aujourd’hui prélever un ovule sur une femme féconde, fécondé de la même manière que précédemment (dans une éprouvette) et l’implanter