Banque européenne d'investissement

Thème : le rôle des banques étrangères dans le financement des (PME) –cas société générale- Problématique : Le secteur bancaire algérien était constitué de banque centrale, de cinq banques publiques issues de la nationalisation des banques françaises en 1986, d’une banque d’investissement et d’une caisse d’épargne. Dans les années quatre vingt, les banques étaient spécialisées par secteur d’activité et développaient des instruments financières favorisant la mise en œuvre des orientations de l’Etat

théorie de l’agence que nous allons appliquer au cas particulier de Natixis. Natixis est une banque d’investissement née de la fusion de Natexis SA, détenue par la Banque populaire depuis 1998, et d’Ixis rachetée par les Caisses d’Epargne en 2004 suite au rapprochement avec la Caisse des dépôts et de consignations. Cette opération a eu pour but de présenter à la clientèle des deux banques de détails[1] une gamme de services à forte valeur ajoutée, qui se combine parfaitement avec leur éventail

I. Le groupe NATIXIS Le nom NATIXIS est né du projet de rapprochement des banques d’investissements de la Caisse d’Épargne (IXIS Corporate & Investment Bank), de NATEXIS Banques Populaires et de leurs principales filiales. Elle est principalement une banque d’investissement et de financement mais intervient aussi dans la gestion de services financiers. Deuxième acteur en France avec 22% des dépôts pour ses deux réseaux (BP et CE), Natixis compte aujourd’hui 37 millions de clients. Elle

banque commerciale est une banque en lien direct avec les particuliers. Elle collecte leur épargne et gère leur dépôt. Pour cela, elle dispose d'un réseau d'agences réparties sur le territoire qu'elle désert. Ces banques peuvent être nationales ou régionales. Pour attirer les clients, elles proposent de nombreux services. Dans un premier temps, elles offrent une rémunération de l'épargne pour inciter les épargnants à déposer un montant important. La rentabilité offerte est certaine et donc sans risque

pôles : - la Banque de Financement et d’Investissement qui conseille en s’intéressant tout particulièrement aux activités de marché et aux financements spécialisés, - l’Asset Management et Services qui gèrent les actifs, les assurances (Cardif par exemple), l’immobilier, - les Services Financiers et la Banque de Détail à l’International, - et le dernier pôle qui nous concerne est la Banque de Détail en France. Celle-ci est

société mère de SAHL consolide sa position en Afrique (à travers ses filiales) comme une entreprise diversifiée avec une position financière solide et des résultats prouvés. En mettant l'accent sur les trois secteurs d'activité clé du groupe – Banque de détail, banque d’entreprise et assurance, le groupe continue à appliquer sa stratégie internationale permettant la mobilisation des compétences, des économies d'échelle et des synergies quel que soit l’implantation, et de faciliter l'orientation client

des années 1980. On peut donc distinguer deux situations : - avant 1980 : A l'origine le modèle d'économie d'endettement est le plus ancien il remonte au XIXe siècle en Allemagne. Les banques allemandes étaient des banques dites "universelles" (à la fois des banques de dépôts et des banques d'investissement) et pratiquaient la "transformation bancaire". Dans cette situation, les besoins de financement de sont pas couverts par la capacité de financement, on est aussi en situation de diviseur de

Janvier 2008, mon client est mis en cause publiquement par Monsieur Daniel Bouton, alors président-directeur général de la banque Société Générale. Il est fait état d’une perte de 4,82 milliards d’euros, dont la responsabilité est imputée à mon seul client Jérôme Kerviel. Oui, Mesdames et Messieurs les jurés, un homme seul a réussi à faire perdre à l’une des plus puissantes banques du monde, près de 5 milliards d’euros en 6 jours. (6) (7) En 6 jours, je vous le répète, en 6 jours, mon client est parvenu

ce nouveau débouché, ou bien des filiales de grandes banques d'investissement qui mettent au point des modèles pour pouvoir maximiser leur gains sur ce qui est au départ un simple marché de couverture. Un fait exprimant cette évolution est la composition du la Clearing House (chambre de compensation) du LME : Au nombre de 12, la plupart des membres ne sont plus des producteurs comme autrefois mais des banques et des sociétés d'investissements spécialisés, dénotant de l'influence de ces nouveaux

caractérisent l'histoire de la Banque Populaire; d'abord la phase de complémentarité allant des années 60 jusqu'à mi 70. Ensuite la phase de compétitivité qui se situe entre 1968 et 1978. Enfin, la dernière phase qui représente la Banque Populaire à l'heure actuelle, c'est-à-dire face à la mondialisation. la phase de complémentarité  Durant cette période, la Banque Populaire, alors semi-publique, ne concernait que l'artisanat, les petits commerces et les PME. Les autres banques étaient spécialisées dans