Banque palatine

Mais l'ordre est mal exécuté, les nouveau-nés sont abandonnés dans un panier sur le fleuve, survivent miraculeusement, et sont découverts sous un figuier sauvage (le Ficus Ruminalis) situé devant l'entrée de la grotte des Lupercales, au pied du Palatin, par une louve qui les allaita[ . Plus tard, les jumeaux, à qui est révélé le secret de leur naissance, tueront Amulius (égorgé par Remus selon certains, transpercé par l'épée de Romulus selon d'autres) et restaureront leur grand-père Numitor sur

décident de fonder une ville et pour déterminer qui la gouvernera, ( ils utilisent les auspices, d'étymologie spicio, pour déterminer la volonté des dieux) ils se mettent chacun sur une montagne ( Rémus sur le mont Aventin et Rémulus sur le mont Palatin) et celui qui verra le plus de vautours gouvernera la ville. Romulus en voit 12 et Rémus 6. Romulus trace l'enceinte de la ville avec une charrue mais Rémus se moque et franchit d'un bond le fossé. Une bagarre éclate et Romulus tue son frère. Rome

dispute politique éclata entre les 2 frères pour savoir qui règnerait sur la ville et quel nom lui serait donné. Pour régler leur conflit les 2 frères décidèrent de monter sur les 2 plus hautes montagnes et de compter le nombre de vautours ( Mont Palatin pour Romulus et l’Aventin pour Rémus), celui qui en compterais le plus serait alors roi de la ville et déciderait de son nom. Au bout de plusieurs heures Rémus vit 6 vautours alors que son frère en vit 12. Romulus vainqueur interdit à son frère de

Remus. Les deux nouveau nés sont alors condamnés a être jeté dans le Tibre.  Finalement abandonnés sur le rivage ils sont recueillis par une louve. Plus tard c’est un berger surprenant ces deux enfants allaités par cette louve sur les flancs du mont Palatin qui s’en occupera. Une fois en âge les deux frères décident de fonder une ville, ils s’en disputent le nom. Après consultation des augures, c’est Romulus qui lui donnera son nom et tuera son frère car le pouvoir ne se partage pas (Insociable Regnum)

mélancolie, Je rêve dans un lit où je suis fagoté, Comme un lièvre sans os qui dort dans un pâté Ou comme un Don Quichotte en sa morne folie. Là, sans me soucier des guerres d’Italie, Du comte Palatin, ni de sa royauté, Je consacre un bel hymne à cette oisiveté Où mon âme en langueur est comme ensevelie. Je trouve ce plaisir si doux et si charmant, Que je crois que les biens me viendront en dormant

travail » au vers 12 car la paresse ne pousse à rien faire, on devient mou et l’on hait travailler. On en vient à même oublier l’actualité en négligeant les sujets comme les guerres entre royaume : « Là, sans me soucier des guerres d’Italie, du comte Palatin, ni de sa royauté, » laissant lieu au plaisir ; la paresse se trouve alors au même niveau que les sujets précédents c’est pourquoi il en écrit un hymne. Il aime les beaux vers et il n’y a que ça qui ne peut le faire sortir de son lit. La paresse lui

Comme s'il voulait faire oublier les excès de Néron, Vespasien a fait construire le Colisée sur le site du lac artificiel de la « Domus aurea ». Néron (54-68) avait fait construire sa « villa dorée » en 64. Un bâtiment immense, qui reliait le mont Palatin et le mont Esquilin avec trois portiques d'un mille de longueur. A l'époque, Néron avait déjà fait tuer son frère, sa mère et sa femme et se voyait devenir comédien (mais le public ne supportait pas vraiment ses exhibitions théâtrales). Quand en

Biographie Auguste est né à -Rome sur le mont Palatin, sous le nom de Caius Octavius, le même nom que son père Gaius Octavius. On lui donne dans son enfance le surnom de Thurinus (soit en l'honneur de la ville d'origine de ses ancêtres, Thurii, soit en l'honneur d'une victoire de son père à proximité de cette ville, peu après la naissance de son fils). Son père appartient à une famille de l'ordre équestre importante mais peu connue ; il est gouverneur de la province de Macédoine jusqu'à sa mort

détail, 1521, Rosso Fiorentino, (Volterra, Museo Civico) D’après les sources, en 1512, le Rosso réalisa avec le Pontormo la prédelle (perdue) de l’”Annonciation” peinte par Andrea del Sarto pour l’église San Gallo (actuellement Florence, Galerie palatine). Toujours dans la lignée d’Andrea, avec le Pontormo et Franciabigio, le Rosso travailla ensuite pour les servites de Santissima Annunziata et peignit à fresque l’”Assomption de la Vierge” dans le petit cloître des Voti. Dans le bas, les personnages

.En effet , l'auteur utilise de nombreuses références à l'antiquité dans son sonnet , en citant les paysages Italiens « les palais romains », « le marbre » de ces palais , « le Tibre Latin » qui est le fleuve traversant Rome ainsi que le « Mont Palatin » qui est une des sept collines de Rome  . De plus l'auteur fait référence à la Grèce par l'intermédiaire de l'Odysée en citant la légende d'Ulysse et de son retour à Ithaque ainsi que la légende de Jason et de la toison d'or . L'auteur utilise ces