Bardamu Médiocre

juillet 1961 à Meudon. En 1969, une œuvre posthume du nom de "Rigodon" verra le jour. Bardamu s’engage dans l’armée par hasard et découvre l’horreur de la première guerre mondiale, mais se lie d’amitié avec Robinson, son frère d’arme. Blessé, puis réformé, il fréquente quelques femmes de basse condition (Lola, Musyne) puis quitte la France pour l’Afrique. Là, il constate la brutalité de la vie coloniale. Bardamu contracte une maladie tropicale et est transporté en bateau jusqu’aux Etats-Unis. Il visite

Dans Voyage au bout de la nuit, roman de 1932, il raconte les expériences de Ferdinand Bardamu, un autre lui-même. Au tout début du livre, il s’engage sur un coup de tête après une discussion avec un copain. Il est tout de suite confronté à l’Horreur. C’est là que se situe l’extrait que nous allons étudier. Il s’agit d’un monologue intérieur ; le lecteur entend le héros parler de façon très familière. Bardamu donne son opinion sur la guerre, et réfléchit à ce qu’il aurait dû ou devrait faire. Comment

Introduction : Ecrivain du XXème siècle, Louis Ferdinand Céline est l’auteur du roman « voyage au bout de la nuit » publié en 1932 d’où est extrait ce passage. Ferdinand Bardamu raconte dans le roman sa vie et la misère du monde actuel. À l’âge de vingt ans, en 1914, il se retrouve sur le front où il perd rapidement son enthousiasme, au spectacle stupide de cette boucherie héroïque. Il se fait réformer, pour fuir jusqu’en Afrique. Au milieu de la brousse et des fièvres, il voit de près la bêtise

cause de la chaleur » ; « Les gens de Paris », cet incipit reste très peu informatif et le lecteur est plongé dans une histoire. On sait seulement des personnages qu’ils sont étudiants e médecine, et amis. L’un s’appelle Arthur Ganate, et l’autre Bardamu (on ne sait pas encore que c’est Ferdinand). II) L’annonce du pessimisme marquant de l’œuvre Une vision pessimiste de l’Homme Les soldats, considérés comme des héros en période d’après guerre, Céline lui, les qualifie de « héros pour tout

Meursault est aussi un partisan de la liberté et de la franchise. Face aux juges il reste fidèle à lui-même et ne va pas prononcer des regrets qu’il ne ressent pas . Ainsi ligne 5 « a-t-il seulement exprimé des regrets ? Jamais messieurs « Bardamu, qui s’est engagé dans la guerre va découvrir , l’absurdité du conflit , puis l’horreur de l’exploitation coloniale , mais également sa propre lâcheté .

surtout connu pour son style, imité de la langue parlée et teinté d'argot, qui a largement influencé la littérature française contemporaine. Il s'inspire principalement de l'expérience personnelle de Céline à travers son personnage principal Ferdinand Bardamu : Louis-Ferdinand Destouches a participé à la Première Guerre mondiale en 1914 et celle-ci lui a révélé l'absurdité du monde. Il ira même jusqu'à qualifier la guerre d' « abattoir international en folie »2. Il expose ainsi ce qui est pour lui la seule

héros et narrateur Bardamu lors de la première guerre mondiale. Dans le passage que nous allons étudier, l’entrainement militaire est une abérration que Céline dénonce. On se demandera alors en quoi les portraits des différents personnages décrits par Bardamu traduisent l’opinion de Céline sur l’armée en Afrique. Pour cela dans un premier temps, nous étudierons le comportement des militaires qui prennent leur mission à cœur, puis dans un second temps, nous verrons que Bardamu trouve que l’ engagement

(Introduction + Conclusion) Objet d’étude : Louis Ferdinand Céline, extrait de « Voyage au bout de la nuit » « Voyage au bout de la nuit » est une biographie romancée de Céline. Ferdinand Bardamu, le héros du roman et double de l’auteur, raconte sa vie, et notamment son engagement dans l’armée en 1914. Céline a aussi dénoncé la déshumanisation par la critique du travail à la chaîne dans les usines, ou même du capitalisme. « Voyage au bout

française contemporaine. Il s'inspire principalement de l'expérience personnelle de Céline à travers son personnage principal Ferdinand Bardamu. Incipit du roman. LECTURE : Page 7 à 8 PROBLEMATIQUE : « Que nous apporte l’incipit de ce roman pour la suite de l’œuvre ? » PLAN : I/ Une scène absurde. II / Un discours virulent. I / Une scène absurde. Bardamu s’exprime à la première personne et aux temps du discours pour commencer sa narration : « Ça a débuté comme ça ». La répétition

plus enfantine et naïve de la guerre. Il s'attriste pour ces "habits rouges" qu'il rencontre sur son chemin, sans leur venir en aide, et idéalise le maréchal Ney, sans vraiment comprendre ce qu'est la guerre. Dans le "Voyage au bout de la nuit", Bardamu lui est lassé de la guerre "La guerre en somme c'était tout ce qu'on ne comprenait pas. Ca ne pouvait pas continuer". Ces textes présentent tous les trois le champ lexical de la violence, nous pouvons voir dans "La Chanson de Roland" les termes "frappe"