Barrière des espèces

Un assassin aux deux visages Mais aujourd’hui, le problème est de trouver un moyen d’éliminer ces fameux monstres qui dévore notre merveille naturelle d’Australie. Cette espèce d’étoile peut atteindre 45cm de diamètre à l’âge adulte, attirée par les molécules odorantes que produisent les coraux, elle se pose à leur surface, dévagine son estomac, c’est-à-dire qu’elle expulse son estomac par sa bouche, il ejecte alors des sucs digestifs ce qui provoquent ainsi la mort du corail et il peut donc

relations au sein des écosystèmes entre les espèces elles même. Il y également la biodiversité du biotope. C’est la qualité de l’air, la terre. Il intègre le bioséne. L’ensemble forme l’écosystème. On ne connait pas encore toutes les espèces sur Terre. On en connaît uniquement 1,9 Million. L’endroit où il y a le plus d’espèces inconnues est la forêt tropicale, qui couvre 7% de la planète. La France contient beaucoup d’espèces européennes. En outre-mer on a des espèces endémiques, comme des amphibiens, reptiles

faunistique LES RECIFS CORALLIENS Ils sont majoritairement situés dans la baie du Grand Cul-de-Sac Marin et du Petit Cul-de-sac Marin. La barrière de corail avec une longueur de 29 km d’Est en Ouest, entoure un lagon de 30 mètres de profondeur. Trois grands types de récifs coralliens : Le récif frangeant très répandu dans les Caraïbes Le récif barrière du Grand Cul-de-Sac Marin  les fonds coralliens non bio construits qui paraissent être les plus florissants des récifs de l’Atlantique La

séparation est à l’origine de la spéciation. Chapitre 4. Les mécanismes de l’évolution Unité 1. L’action de la dérive génétique sur les populations Unité 2. L’action de la sélection naturelle sur les populations Unité 3. La formation de nouvelles espèces Unité 4. L’évolution, des faits à la théorie Compétences travaillées (et quelques capacités associées) Place dans le chapitre ► Pratiquer des démarches scientifiques – Calculer et modéliser – Distinguer ce qui relève d’une croyance ou d’une opinion

disséminés dans le milieu. Ils vont se déposer sur le stigmate des fleurs. Ce grain de pollen devras être reconnu par le stigmate (= même espèce végétale), pour vérifier qu’il appartient à la même espace végétale. Il peut également y avoir des barrières mis en place pour éviter l’autofécondation = 1er barrière, décalage de la maturité pollen/oosphère 2ème barrière, barrière génétique On distingue les plantes :- autogame ⇒ autofécondation exemple : le blé, le pois- allogame ⇒ fécondation croisée obligatoire

N’a pas d’influence sur la fréquence des allèles. c- Dépend de la taille des populations. d- Est une forme particulière de sélection naturelle. 2- La sélection naturelle : a- Est le seul moteur de l’évolution des espèces. b- Ne peut pas conduire à l’apparition de nouvelles espèces. c- Sélectionne les individus les plus aptes à se reproduire. d- N’agit pas sur les allèles des gènes. 3- La dérive génétique : a- A un impact rapide sur les populations à fort effectif. b- Correspond à une modification

bactéries Gram -, lipopolysaccharide (LPS), libération lors lyse bactérienne → choc septique (soluté apyrogènes) C. Facteurs liés à l’hôte • Porte d’entrée • Réceptivité : o Espèce o Individu • Mécanisme de défense : o Non spécifique : ▪ Barrières anatomique et physique (peau) ▪ Flores commensales ▪ Réaction inflammatoire o Spécifique : ▪ Réaction immunitaire D. Exemple Exemple :

comment, au cours du cycle de développement d'un organisme diploïde, la reproduction sexuée permet d'assurer le maintien du nombre de chromosomes caractéristiques de l'espèce d'une génération à l'autre. Il existe une unicité au sein de chaque espèce qui est caractérisée par la formule chromosomique. Pour les organismes diploïdes, les chromosomes sont appariés par paire d'homologues dans chaque cellule (2n chromosomes), à l'exception des gamètes qui sont haploïdes (n chromosomes). La reproduction

améliorent leur survie et leur reproduction en réduisant l'impact des herbivores. Pour se protéger elles ont forgés des armes et armures spécifiques : dès que l’insecte ou le pathogène agresse la plante il se trouve confronté à de multiples barrières morphologiques et à des substances chimiques. Il est important de rappeler que l’agression des plantes par les animaux et les micro-organismes n’est pas une nouveauté : elle remonte au peuplement de la Terre par les plantes il y’a des millions

Ifaty : barrière de corail, paysages de mangroves en bord de mer, villages « vezo » ethnie nomade du sud vivant surtout de la pêche Lagon de ranobe ? Berenty : lémuriens, tortues, lézards géants, caméléons et papillons Diego Suarez : 20km de baie, succession de petites baies (Sakalava, Danas) Nosy Be : îles de l’archipel, parsemées de flamboyants et d’ylang-ylang, sont considérées comme le Tahiti de l’océan indien. Plages et lagons favorables à la plongée et à l’observation des espèces (baleines