Baruch Spinoza

fait du désir le produit de la pulsion. Produit d’une pulsion dont nous ne sommes pas maîtres et qui nous échappe totalement. Du coup, il convient de nous demander ici : à quoi obéissons-nous lorsque nous obéissons au désir ? Comme l’alcoolique de Spinoza, qui croyant agir librement en se servant un verre de vin. Que devient l’autonomie d’un sujet traversé de part en part par l’inconstance des désirs ? La critique du désir conduit à montrer que ce que l’on appelle liberté est bien plus souvent le signe

possible grace aux appareils ideologiques de l’Etat. L’Etat a un fondement legitime par ce qu’il releve de l’approbation de tous. J.J.ROUSSAU :du Contrat Social. L’Etat n’a d’autres fin que le bonheur et la liberte de l’homme. Comme le soutient SPINOZA : TRAITEE THEOLOGICO-PHILOSOPHIQUE.

homme handicapé des membres inférieurs et supérieurs et qui a su trouver en lui les ressources pour atteindre son désir ultime qui était de traverser la Manche malgré son handicap important. Cet exemple peut être mis en corrélation avec l’ouvrage de Spinoza : Ethique, Livre III qui démontre que le fait que « le désir est l’essence de l’homme ». C’est ainsi que nous pouvons définir le désir comme un mouvement qui permet à l’homme de persévérer dans l’être et donc de le faire avancer dans la quête de son

LA LIBERTE selon les Stoïciens, Descartes et Spinoza samedi 9 avril 2011  Selon les Stoïciens  : texte d’Epictète, p.496 En dépit du fait qu’il y a un destin inexorable qui gouverne le réel (lequel est commandé par la Raison universelle, logos), les Stoïciens défendent l’idée de liberté. Ils lient étroitement la liberté et le pouvoir de juger. Certes il ne dépend pas de nous d’être un esclave ou d’être un maître, de vivre ou de mourir, mais ce qui dépend de nous, c’est l’usage de nos représentations

ance, si l'on n'a pas au préalable compris cette antériorité natu­relle de l'intolérance ainsi que son lien avec l'instinct de conser­vation ou de survie. Comme Spinoza le souligne dans l'Ethique : « Chaque chose, autant qu'il est en elle, s'efforce de persévé­rer dans son être. (...)  L'effort par lequel chaque chose s'efforce de persévérer dans son être n'est rien en dehors de l'essence actuelle de cette chose. » Il est clair, à ce titre, que les appels sentimentaux et miévreux à la tolérance

ont été exclues d'office car inéluctables et n'entravant donc pas la liberté elle-même. L'absence totale de limite et de subordination ne peut donc simplement résumer la liberté. En effet, dans un exemple primaire et à la base de la liberté, Spinoza note la forme illusoire que peut prendre la liberté. Il dit en effet que « Nous connaissons, ou nous croyons connaître nos désirs. De ce fait nous nous croyons libres, c'est-à-dire maîtres de nous-mêmes. Mais le fait d'épouser nos propres inclinations

par rapport à ce que possède les autres et que le sujet n'a pas qu'il exprime un sentiment de privation. C'est ce que pense aussi Spinoza, le manque de désir est imaginaire. Et c'est ce qui rend les hommes frustrés car ils désirent souvent ce qu'ils ne peuvent avoir. ( Pas cool pour eux Lolilol) Dans ce cas, le désir serai non l'expression d'un manque mais pour Spinoza, la nécessité même de l'existence. Et vivre ses désir (On demande a un berger ce qu'il ferai s'il devenait riche, il répond j'irai

De nos jours, la portée de la philosophie se voit réduite pas les sciences. En effet, l’astronomie, par exemple, n’est plus confiée aux philosophes mais aux scientifiques. Doit-on alors en conclureque la philosophie est destinée à disparaître ? Ou, au contraire, que la philosophie n’a pas de fin vu que l’homme est dans l’impossibilité de cesser de s’interroger ? Donc plus simplement, laphilosophie est-elle utile ? Avant d’étudier cette question, il convient de définir le terme philosophie et de

définition et donc que l'homme ne pourra jamais perdre. Est-ce qu'il n'y a pas une incohérence dans le rapport .Ce paradoxe est celui du libre arbitre. Cette croyance est-elle légitime. L'homme est-il condamné à ne jamais être libre? E libre pour Spinoza c'est obéir à la nécessité de sa nature et pas de la nature. C'est ça au fond être libre.

désir donne un sens à l'existence de l'homme puisqu'il lui donne une sorte d'élan. L'homme recherche le bonheur par ses passions cela présuppose qu'accomplir ses désirs serait pour l'homme un moyen d'atteindre le bien et donc le bonheur, qui selon Spinoza ou encore Epicure doit être la finalité de toute homme s'il veut avoir une vie sage et vivre heureux. Par contre, le désir est quelque chose qui renaît inlassablement, en effet, l'homme ne cherche pas à accomplir le même désir toute sa vie, aussitôt