Bassin aquitain

la Compagnie Française des Pétroles (CFP) sous la direction d’Ernest Mercier. A l’époque, il s’agissait d’une société mixte qui associait des capitaux d’Etat et des capitaux privés. La CFP s’associe avec la société belge Petrofina en 1999 et Elf Aquitaine en 2000. La société devient Total SA le 6 mai 2003 dont son siège social se situe dans le quartier de la Défense à Paris. Depuis sa création, le groupe a été sous la direction de huit personnes, aujourd’hui le groupe Total est sous la direction générale

groupe franco-allemand Aventis avec un grand soutien du gouvernement français. Ces deux sociétés respectives étant déjà le résultat d’alliance et de fusion préalable : ➢ Historique de Sanofi Synthélabo Sanofi a été créée en 1973 par Elf Aquitaine, en rachetant le groupe pharmaceutique Labaz. De l’autre côté, les Laboratoires Robert&Carrière fondés en 1899 fusionnent avec les laboratoires Deusse, fondés en 1834, pour devenir ensemble Synthélabo. La société Synthélabo est contrôlée par L’Oréal

les   débuts   initiés   par   le   groupe   Elf   Aquitaine,   jusqu’au   rachat   du   laboratoire   américain   Genzyme,   ainsi   que   l’identité   de   l’entreprise   (sa   «  galaxie  »  d’entreprises,  sa  branche  d’activité,  etc…).       a. Historique         Le  10  septembre  1973,  ELF  Aquitaine  décide  de  se  diversifier  et  crée  une  filiale

nerveux central, oncologie, maladies métaboliques, médecine interne et vaccins. Il a occupé la première place de capitalisation boursière française6 du 8 novembre 2012 au 23 août 2013, devant Total. A l’origine filiale de ELF, Sanofi financée par Elf Aquitaine 500 millions de frnacs. Acquisition de nombreuses entreprises. Introduction en bourse le 24 mars 1980 Fusion de Synthélabo et Sanofi en 1999 afin de devenir premier groupe pharmaceutique en France.  Sanofi-Synthélabo Revente des pôles cosmétiques

massifs alpin, pyrénéen et jurassien sont eux beaucoup plus jeunes, et possèdent des formes moins érodées[b 2] — les Alpes culminent à 4 810 mètres d’altitude au Mont Blanc[7]. Ces massifs délimitent plusieurs bassins sédimentaires, notamment le bassin aquitain au sud-ouest et le bassin parisien au nord[b 2] — ce dernier comprend plusieurs régions au sol particulièrement fertile, notamment les plateaux limoneux de la Beauce et de la Brie[b 3]. En outre, diverses voies de passage naturelles, telles

L’érosion se poursuit jusqu'à disparition des reliefs : Pénéplanation zone sans relief important mais qui a une structure géologique compliqué et qui a eu des reliefs avant l’érosion. Sédimentation détritique importante suite à la formation des bassins d’érosion. A. Les échelles stratigraphiques Fig : échelle Succession des grandes périodes : Paléozoique cambrien, ordovicien, silurien, dévonien, permien. Les grandes régions géologiques Massif central… Fig L’orogénèse varisque

exemplaires et la France est considérée comme pionnière en Europe. Seule l’Islande fait mieux puisque sa capitale, Reykjavik, est chauffée à 82% par la chaleur géothermale. En 1986, on comptait pas moins de 74 forages, dont 54 dans le bassin parisien, 15 dans le bassin aquitain et 5 dans d'autres régions. Toutefois, jusqu'ici, l'exploitation de la chaleur terrestre s'est opérée seulement dans les endroits où l'on trouvait de l'eau chaude, ce qui constitue une sévère limitation. Si l'on veut assurer le développement

France possède une tres grande varièté de reliefs on peut distinguer deux grand espace de reliefs : 1) Au nord de la ligne Bayonne/Metz C’est la France des faibles altitudes où domine les plaines ( ex : les flandres ), les bassins sedimentaires ( bassin Parisien, Aquitain ) et un massif ancien ( massif Armoricain ) : Les comunication sont faciles 2) Au sur et à l’est de la ligne Bayonne/Metz C’est la France des montagnes recente de l’ère secondaire ( Alpes, Pyrénnées et Jura ) et des massif

source dans le département des Landes et qui se jette dans le bassin d'Arcachon en Gironde. La Leyre est alors une fleuve côtier qui est fait en multiple, de la Petite Leyre et la Grande Leyre. La longueur de son cours est de 135km. La Petite Lyre est calme à l'eau claire, contrairement à la Grande Lyre qui est impétueuse et à l'eau foncée. Ces deux fleuves se rejoignent à Moustey et forment la Leyre qui se ramifie en Delta au contact du Bassin d'Arcachon. La leyre se localise entre Biganos et le Teich

Alpes culminent à 4 810 mètres d’altitude au Mont Blanc[10]. Bien que 60 % des communes soient classées comme présentant des risques sismiques, ces risques restent modérés[11]. Ces massifs délimitent plusieurs bassins sédimentaires, notamment le bassin aquitain au sud-ouest et le bassin parisien au nord[b 2] — ce dernier comprend plusieurs régions au sol particulièrement fertile, notamment les plateaux limoneux de la Beauce et de la Brie[b 3]. En outre, diverses voies de passage naturelles, telles