Bataille de Charleroi

lignes françaises et arrivent par la Belgique, pourtant neutre. Négligent la résistance des forts belges et, ils dessinent un vaste mouvement tournant qui déborde par l'Ouest le dispositif défensif des Alliés (plan Schlieffen). Commence alors la bataille des frontières. De durs combats ont lieu dans la région comprise entre Maubeuge et Sarrebourg, qui tournent rapidement au désavantage des Français : la Première Armée (commandée par Dubail) et la 2e (Castelnau), subissent de graves revers, même si

frontière franco-allemande. L’armée belge commandée par le roi Albert I freine les allemands à Liège mais ne fait pas le poids face à l’artillerie lourde des allemands ; les armées franco-anglaises sont battues à Mons et à Charleroi et reculent jusqu’à hauteur de Paris. En septembre la bataille de la Marne arrête l’offensive allemande. En octobre, c’est la course à la mer : les allemands tentent de s’emparer des ports du Pas-de-Calais pour couper les ponts entre l’Angleterre et le continent. En novembre

de part et d'autre de l'Escaut entre la Francie orientale (le futur Saint Empire) et la Francie occidentale (le futur royaume de France). Elles dépendent dès lors de ces grands Etats. Placées à la périphérie, elles vont devenir enjeu et champ de batailles. A la fin du IX ème siècle, Baudouin II, prince territorial, cherche à se soustraire de l'autorité royale française. Il y parvient et étendit son autorité autour d'Arras, de St Omer, de Tournai. Deux siècles plus tard, ses prédecesseurs créent

plus durs sur le front de France chaque fois que la situation l'exige. Leur apport a notamment été très important dans les semaines décisives de septembre 1914 lors de la Bataille de la Marne. Ainsi, à propos des faits d'armes de la Division marocaine, composés de Zouaves et de Tirailleurs algéro-tunisiens, lors de cette bataille, le Maréchal Foch aurait dit : « La fortune a voulu que la Division Marocaine fût là ! ». Il cite la division à l'ordre de l'Armée le 22 septembre 1914. Quant à Adolphe Messimy

inconnus. Sur les 82 fusillés sans jugement, 27 furent fusillés pour désobéissance militaire documentée par les archives militaire, 55 exécutés et tués sommairement identifiés dans les archives militaires2. Suivant la défaite de Charleroi et l’échec de la bataille des frontières, les mêmes causes produisant souvent les mêmes effets, deux décrets du 2 août et du 6 septembre 1914 furent promulgués qui instituaient des Conseils de guerre spéciaux, s’ajoutant aux Conseils ordinaires qui continuaient

d’Aubigny au Bac soldat 201ème d’Infanterie classe 1903, part laissant au foyer une femme et deux jeunes enfants qu’il ne devait plus revoir. Avec son régiment il est en Belgique devant Charleroi le 23 Août 1914 où se livrent des combats meurtriers, assaut du village d’Onhaye, retraite précipitée. Pendant la bataille de la Marne, il est à Berry au Bac, y reste deux mois et demi. Février 1915 en Champagne avec la 60ème Division, attaques meurtrières dont la plus sanglante et la plus héroïque fut celle

infanterie pour la puissance alliées mais elle n’est pas préparée. Supériorité numérique des alliés sur les empires centraux. Malgré les progrès de l’artillerie, les états majores croient encore que l’infanterie, les fantassins, sera la reine des batailles, l’armée la plus efficace, on ne néglige pas non plus la cavalerie qui constitue les avant-gardes de l’infanterie, importance de l’artillerie dans les empires centraux en supériorité (crup). Les canons légers alliées (75) centraux (77) aviation

plus vers une vision ; il proposait une tournure opérationnelle, et émit des perspectives en fonction d'un objectif précis : battre la France avant de retourner toutes ses forces vers la Russie. Son mode de pensée s'articulait autour de la fameuse Bataille de Cannes, en 216 avant J-C. C'est à cette occasion qu'Hannibal Barca avait inventé la manœuvre d'encerclement parfaite, aboutissant à la destruction quasi totale des légions de Terentius Varron. La pensée militaire allemande était imprégnée de cette

I. Question corpus Dans ces quatres textes : celui de Stendhal La Chartreuse de Parme, celui de Balzac Une Ténébreuse Affaire, celui d'Hugo Les Misérables et celui de Rambaud La Bataille, nous remarquons plusieurs images de Napoléon. Certaines similaires, d'autres non. Premièrement nous relèverons les images se ressemblant dans les quatres textes. Nous avons l'image de Napoléon étant décrit comme un sauveur : « De retour à Paris

peint un enfant mort, la face sur le pavé, sans aucune trace de l’ennemi. Le titre lui-même, « un Taube », veut dire « colombe » en allemand, comme un rappel de la victime innocente de la barbarie. L’artiste dit que « Dieu est absent des champs de bataille ». Il exprime cette idée à travers le vide de l’œuvre. Cette impression se retrouve également dans les soldats morts qu’il représente. D’autres trouvent dans la représentation de la compassion du Christ, de la Vierge ou des saints une échappatoire