Bataille de la mer de Corail

établirent à leur tour, le 25 novembre 1510, sous le commandement du gouverneur Afonso de Albuquerque. La ville fut en partie démolie puis réédifiée au cours des années suivantes mais elle allait surtout devenir le centre du pouvoir portugais d’outre-mer. Jamais un état occidental, le Portugal, n’aura connu de présence aussi longue sur une terre asiatique et laissé une telle empreinte dans les mentalités, les mœurs, l’architecture et le paysage. Aussi convient-il de s’interroger sur l’évolution de

retourner contre la Russie. Septembre 1914 → allemands à 30 km de Paris, sur la Marne. 6 septembre 1914 → contre-offensive menée par Joffre stoppe allemands. Falkenhayn tente d’atteindre les ports → guerre de mouvement → fin de l’année → front = 700 km : mer du nord → Suisse. 6) 1915 - 1918 la guerre de position Objectif → tenir ses positions en attendant l’usure de l’adversaire permettant d’ouvrir une brèche → c’est la guerre de position. Armée allemande → offensive à Verdun. Pétain organise la défense

C’est la « bataille d’Angleterre » de juin 1940 à mai 1941. On peut distinguer deux phases dans cette bataille. De juin à septembre 1940, la Luftwaffe s’attaque essentiellement aux aérodromes de la R.A.F. Puis, de septembre 1940 à mai 1941, l’aviation allemande choisit de prendre Londres pour cible. C’est ce que les Anglais ont appelé le Blitz. Le bombardement de Londres fera environ 30 000 morts parmi les civils londoniens. Dans le même temps, Hitler décide du déclenchement de « la bataille de l’Atlantique

 je  m'en  excuse   Elle  soulève  une  nouvelle  fois  sa  main  à  hauteur  de  la  fleur  qui  se  fane  entre  ses  seins  et  dont  l'odeur  franchit   le  parc  et  va  jusqu'à  la  mer.   -­‐  C'est  peut-­‐être  cette  fleur,  ose-­‐t-­‐on  avancer,  dont  l'odeur  est  si  forte  ?   -­‐  J'ai  l'habitude  de  ces  fleurs,  non,  ce  n'est  rien.   Le  canard  suit  son  cours

n’est pas marquée par un affrontement immédiat. C’est la " drôle de guerre " qui consiste à attendre l’attaque allemande à l’abri de la frontière renforcée par la ligne Maginot. De 1939 jusqu’à mai 1940, aucun combat n’est mené à l’Ouest. La bataille de France Le 10 mai 1940 , les Allemands attaque les Pays-Bas et le 16 mai, l’armée néerlandaise capitule. L’Allemagne lance une offensive simultanément contre les Pays-Bas, la Belgique et la France, les troupes françaises entrent en Belgique

par l'infant. Les ordres seront de nouveaux séparés en 1472, et leur rivalité, exacerbée. L'attribution des ordres aux princes (dès 1420) est un compromis entre la couronne et la noblesse mais créé des rivalités quant aux expansions portugaises outre-mer. Les élites portugaises sont très divisées sur la question de l'expansion depuis le XIIè siècle. C'est au prince « Henri le Navigateur » à qui l'on doit les premières expansions maritimes dans l'Atlantique, la découverte de l'archipêl du Cap-Vert en

semaines, davantage à cause de mauvais choix stratégiques que par manque de matériel et de courage. La « bataille d’Angleterre » Le Royaume-Uni reste la seule démocratie d’Europe de l’ouest à résister à l’Allemagne nazie. Winston Churchill, le Premier Ministre anglais, refuse de négocier une paix séparée avec Hitler. Celui-ci déclenche alors, d’août à octobre 1940, la « bataille d’Angleterre ». Les usines d’armement et les aérodromes britanniques sont bombardés par les Allemands afin de s’assurer

déclaration, se battre pour les mêmes valeurs et dans le même but, en reconnaissant le général de Gaulle comme leur chef. Cette déclaration est faite dans un contexte où le camp allemand domine encore, les conséquences des batailles de Midway dans le Pacifique et de la mer de Corail ne se font pas encore sentir, et l’armée allemande fonce encore vers Stalingrad et Alexandrie, deux villes stratégiques qui donneraient beaucoup d’avantages à l’Allemagne. En France, cette déclaration se fait au lendemain

rage couve silencieusement sous le masque du patriotisme et de l’honneur. En effet, lorsqu’il éclate en août 1914, le conflit divise profondément la population française. Sur le plan topographique d’une part, en séparant l’espace civil du champ de bataille, et sur le plan social d’autre part, en accentuant le décalage entre la vie sécurisée et tranquille de l’arrière et celle ingrate et périlleuse du front. « Quel singulier poète a donc inventé ce lieu commun véritablement prophétique : danser comme

344) L’épisode des lions crucifiés est envisagé sous les aspects suivants : • Une découverte progressive • Un tableau réaliste • Cruauté et barbarie : remise en cause 4. L’épique : la bataille du Macar (chapitre 8, p. 198 : " Mais un cri… œil. ", le défilé de la Hache (chapitre 14). La scène épique de la bataille du Macar permet de s’interroger sur : • Une gigantesque scénographie • Le goût de l’étrange et les fantasmes cruels • " On marche dans les tripes " (dixit Flaubert) 5. Le sacré : la