Bataille de Mogadiscio

92/début 93 sous mandat onusien les EU lancent l’opération Restore Hope dans le cadre d’une opération qui relève de l’ingérence humanitaire (La Somalie déchirée par la guerre des clans et la famine qu’elle a déclenchée).et qui se solde par une bataille à Mogadiscio (oct) et des pertes de soldats américains. Clinton décide alors de retirer ses troupes. -Montée de l’antiaméricanisme :Cette même année 93 ,déclaration de Djihad contre l’Amérique : un premier attentat fait par des islamistes touche le World

milliard F CFA, dont 800 millions F CFA pour le comité d’organisation. 4 2    partout  sur  le  continent :  au  Darfour,  au  Tchad,  en  passant  par  la  Centrafrique,  l’Ouganda,  le  Niger, en RDC, en Casamance, dans les rues de Mogadiscio, au Zimbabwe, etc. Les élections sont  violemment  contestées  au  Togo,  au  Kenya,  au  Gabon...  Les  coups  d’État  se  succèdent  en  Guinée‐Bissau, aux Îles Comores, au Niger en Mauritanie... La Guinée‐Conakry, la Côte d’Ivoire…  s’enlisent 

grands auteurs Avant la géopolitique en elle-même, un certain nombre de textes ont traité des batailles. Le 1er texte de propagande conservé qui parle d’une bataille, d’une guerre, a eu lieu sous le règne de Ramsès II : la bataille de Kadesh. Pharaon Ramsès II face aux Hittites. Résultat : une sorte de match nul, le Pharaon n’a pas écrasé les Hittites. Manière dont Ramsès II utilise cette bataille pour en faire une victoire : il a fait graver ceci. Auteurs qui ont réfléchi sur la guerre : THUCYDIDE

grande brutalité pour effrayer et mettre au pas les populations locales. Kilwa, la cité la plus au sud, tombe la première en 1502 et est complètement détruite, suivie de Zanzibar en 1503, puis d’autres cités plus au nord (Mombasa, Lamu..). Seule Mogadiscio au nord de la côte échappe aux Portugais. Après une dizaine d’années d’affrontements, qui prennent parfois des accents de guerre sainte entre Chrétienté et Islam, les Portugais peuvent se satisfaire d’avoir pris le contrôle de la plus grand partie

pour de vrai après le 11 septembre 2001. L’administration Bush demande alors à Cofer Black, à l’époque un haut responsable de la CIA avant de rejoindre la société militaire privé Blackwater USA, de « sortir les gants de boxe » pour concevoir une bataille de l’ombre destinée à décapiter al-Qaida. Cette guerre secrète deviendra célèbre pour ses prisons clandestines et son usage de la torture, des pratiques officiellement bannies par l’Administration Obama. Cependant, cette dernière garda le troisième

depuis la chute des régimes de Siad Barre et de Kadhafi, démontrent comment le manque de reconnaissance du gouvernement fédéral de transition (GFT) et du Conseil national de transition (CNT) par les populations permet à des milices de régner sur Mogadiscio et Tripoli. L’idée même de stabilité devient un leurre dans la mesure où la Communauté internationale reconnaît la légitimité d’un acteur comme garant de l’ordre, alors même que localement il ne détient aucun monopole de la violence. Cependant,

basculer de manière radicale. De tels phénomènes apparaissent dans des conflits où interviennent des comportements collectifs et sont déterminées par des appartenances groupales informelles. Linda P. Beckerman évoque le comportement des foules à Mogadiscio (Somalie) 4 pendant l'intervention américaine : l'objectif de la mission était de capturer les chefs de clan Aidid. Les habitants de la cité se livraient à leurs activités normales jusqu'à l'arrivée des troupes. Au premier état de bifurcation, on

constitue par elle-même un défi positif. Car ce peuple est, comme tous les autres, loin de constituer un « bloc homogène ». Certains des segments qui le composent renforcent incontestablement la perspective d’une radicalisation possible. L’entrée dans la bataille de la classe ouvrière (environ 5 millions de travailleurs) peut être décisive. Les travailleurs en lutte (à travers de nombreuses grèves) ont fait progresser des formes d’organisation amorcées depuis 2007. On compte désormais plus d’une cinquantaine

gagne avec ce Nobel une certaine légitimité par rapport aux forces conservatrices américaines. « Ce prix fournit des armes morales. » Dix petits mois après avoir été élu 44e président des Etats-Unis d’Amérique et alors qu’il est engagé dans une bataille incertaine pour imposer la couverture maladie au lobby ultralibéral des compagnies d’assurances, le président Barack Obama est désigné récipiendaire du Prix Nobel de la paix. A l’inverse de Yasser Arafat et Izhak Rabin, couronnés en fin de carrière

de Mohamed Bouazizi (le 17 décembre 2010, ndlr). D’autres fois, je retrouve l’espoir quand je vois que les jeunes se battent encore pour changer, pour améliorer les choses. Certes, le quotidien qui devient de plus en plus sombre est dur, mais la bataille continue. Je continue à écrire, à rapporter les défaillances du système et du gouvernement en place. Je ne sens pas la volonté des gens au pouvoir de changer les choses. Je continue de me battre pour les causes pour lesquelles je me suis toujours