Batelier

utilisés en égouts. Indifférents à ces désagréments, les quais brillent d'enseignes de tavernes et d'auberges. Débonnaire et actif, Saint-Leu accueille généreusement marchands et voyageurs et assure transbordement des cargaisons et délassement des bateliers. Au cours des siècles, de champêtre le quartier devient ouvrier ; sa population s'accroît dans un périmètre restreint, limité par la ceinture des remparts et la citadelle. Les monastères et leurs jardins disparaissent lentement au profit des fabriques

volonté réelle et effective de se fixer dans un endroit qui est le domicile. Le domicile légal. C’est une commune de rattachement qui va exister pour des professions itinérantes, par exemple. Cela va par exemple concerner ce qu’on appelle les bateliers qui vont naviguer sur des rivières, des canaux. Cela va également concerner les forains. On a aussi le cas des SDF. On va leur attribuer comme domicile légal, on va dire qu’ils ont élu domicile auprès d’organismes comme les CCAS. Domicile de

Annie Playden (à qui Apollinaire reproche d’avoir joué avec ses sentiments) à la Lorelei, décrite comme une nixe des contes allemands : mais cette Lorelei – fantôme menaçant et sorcière séductrice dont le chant et la beauté surnaturelle entraîne les bâteliers du Rhin dans la mort – était à l’origine une amoureuse innocente et trompée. Dans le poème “1909” consacré à Marie Laurencin, il peint le tableau d’une magnifique femme tout en incorporant la dimension de femme fatale en indiquant qu’elle est tellement

des bouts de réalité agglomérés. Dans ce cas, des chansons, des paysages ou des odeurs peuvent inspirer l’auteur. Par exemple, dans Nuit rhénane, d’Apollinaire, poème extrait d’Alcools, l’auteur semble inspiré, et même possédé par la chanson du batelier qui raconte une histoire fantastique. Cette chanson lui inspire la rédaction du poème : ce sont ses sens, sa capacité à percevoir, décuplée par l’effet de l’alcool qui l’ont poussé à écrire. Si l’inspiration est sensorielle, elle nécessite avant

mètres mesurés par Humboldt) « un dôme qui a quelque ressemblance avec l'aspect du Mont-Blanc » avec une répartition végétale en altitude.   En + : Humboldt rencontre les populations locales : les indiens l'aident dans son expédition comme guides, bateliers, conducteurs des dizaines de mulets portant les impressionnantes charges et collections; il les écoutent avec un regard neuf prenant en compte leurs coutumes et leurs connaissances sur les plantes mais s'insurge aussi sur les conditions et les effets

langoureuse » ouvre le recueil des Romances sans paroles de Verlaine. Le titre de ce recueil paru en 1874 est emprunté à un vers des Fêtes galantes : « Mystiques barcarolles, romances sans paroles ». Ce vers associe les romances aux chansons des bateliers et des gondoliers et s’inspire du titre allemand Lied ohne Worte donné par Mendelssohn à un recueil de pièces brèves pour piano qui répondent à l’idéal vocal du piano romantique. « C’est l’extase langoureuse » est également le premier poème de la

Rhin, l'armée républicaine et sa femme, écoutèrent avec une sorte d'intérêt les cris rauques de quelques mariniers et les bruissements d'un bateau qui abordait au port. L'aubergiste, familiarisé sans doute avec les interrogations gutturales de ces bateliers, sortit précipitamment, et revint bientôt. Il ramena un gros petit homme derrière lequel marchaient deux mariniers portant une lourde valise et quelques ballots. Ses paquets déposés dans la salle, le petit homme prit lui-même sa valise et la garda

d’Apollinaire l’inspirateur des surréalistes. Thématique de l’Amour malheureux. L’amour est plus souvent synonyme de souffrance que de joie. Une souffrance quasi-mystique. L’amour maudit illustré par « Loreley », personnage fabuleux qui attirait les bateliers dans le Rhin, femme désespérée, prisonnière d’un maléfice. L’amour est lié à la mort. Inspiratrices : Annie Plaider et Marie Laurencin. « Rhénanes » Elle apparait, aussi Annie, dans « Chansons du Malaimé » et « L’émigrant de Lander Road ». Marie

Rhin, l’armée républicaine et sa femme, écoutèrent avec une sorte d’intérêt les cris rauques de quelques mariniers et les bruissements d’un bateau qui abordait au port. L’aubergiste, familiarisé sans doute avec les interrogations gutturales de ces bateliers, sortit précipitamment, et revint bientôt. Il ramena un gros petit homme derrière lequel marchaient deux mariniers portant une lourde valise et quelques ballots. Ses paquets déposés dans la salle, le petit homme prit lui-même sa 22 valise et

l’armée républicaine et sa femme, écoutèrent avec une sorte d’intérêt les cris rauques de quelques mariniers et les bruissements d’un bateau qui abordait au port. L’aubergiste, familiarisé sans doute avec les interrogations gutturales de ces bateliers, sortit précipitamment, et revint bientôt. Il ramena un gros petit homme derrière lequel marchaient deux mariniers portant une lourde valise et quelques ballots. Ses paquets déposés dans la salle, le petit homme prit lui-même sa 22 valise et