Baudelaire Le Joujou Du Pauvre

signe « = » – « Vous êtes deux enfants de la nature » (l. 32-33) : les deux hommes sont réunis dans le même groupe nominal « deux enfants », ce qui les met au même niveau dans le même ensemble, celui des hommes (même procédé que Baudelaire à la fin du « Joujou du pauvre ») – « tu n’es ni un dieu, ni un démon ; qui es-tu donc ? » (l. 23-24) : l’antithèse renforcée par le parallélisme souligne le fait que l’Européen n’est finalement qu’un homme, et donc qu’il n’est ni inférieur, ni supérieur à l’homme

l’écoute. » D’autres fois se trouve un précepte dont on ne sait trop que penser ; dans « Le Joujou du pauvre », Baudelaire annonce d’emblée son intention : « Je veux donner l’idée d’un divertissement innocent. Il y a si peu d’amusements qui ne soient pas coupables. » Puis tout le texte s’attache à opposer l’enfant riche, « beau et frais », rendu « si joli(s) » par le luxe et l’insouciance, à l’enfant pauvre, « sale, chétif, fuligineux », couvert de « la répugnante patine de la misère. » Hors ces considérations

littérature. La question des « petites épopées » permet aussi de montrer aux élèves que les symboles et mythes sont eux-mêmes historiques. Cependant, la pratique du fragment, conforme à l’esthétique romantique, ou au rêve d’un infini diminutif (Baudelaire), remet en question l’idée d’histoire totale. C’est aussi que pour un romantique tout est historique, tant la poésie est dorénavant fondée sur la conscience du moment où elle advient. L’historicisme qui domine cette époque, jusque dans l’opposition

dévouées, pleines de finesses, enclines à la mélancolie : elles sont mieux femmes que les autres. » (Balzac, Le Lys dans la vallée) Mais par dessus tout, la mélancolie est le signe distinctif de l'artiste : c'est déjà le spleen (cf. plus tard Baudelaire) sans cause précise, état morbide où l'on ne se supporte plus, où la solitude est un enfer, où la conscience du temps qui passe et le malheur de l'homme, la cruauté de la nature accablent l'esprit, et lui inspirent des tentations de révoltes politiques

l’obtention du grade de DOCTEUR DE L’ÉCOLE NORMALE SUPÉRIEURE DE LYON Langue et Littérature Françaises présentée et soutenue publiquement Par tel-00713100, version 1 - 29 Jun 2012 XIANG Zheng à XISU le 5 avril 2012 La poésie française moderne (Baudelaire, Rimbaud, Lautréamont) et son influence sur la nouvelle poésie chinoise dans les années 1920-1930 Thèse en cotutelle dirigée par Monsieur le Professeur HU Sishe (XISU) Monsieur le Professeur GLEIZE Jean-Marie (ENS de Lyon) Jury : BARBERGER Nathalie

d’un côté et classes privilégiées, possédants de l’autre (remarquons, dans les deux textes, les multiples jeux d’opposition qui cristallisent cette confrontation). Dans le texte A, LA BRUYÈRE aboutit au rejet des conditions extrêmes (ni riche, ni pauvre), et STEINBECK tend à mettre à jour la logique qui préside à l’attitude de chacune de ces parties. Dans les deux cas s’expriment les intérêts et les motivations de deux clans que tout oppose. Dans les deux cas, l’émetteur prend position, que ce soit

Texte C : Extrait du chapitre 2 (livre IV, t. XII) des Misérables de Victor Hugo (pp. 263264). Texte D : Extrait du chapitre VI de L’Assommoir d’Émile Zola (pp. 264-265). Texte E : Poème Enivrez-vous, extrait des Petits Poèmes en prose de Charles Baudelaire (p. 265). Document : L’Ivresse de Polichinelle de Joseph Faverot (p. 266). Objet(s) d’étude et niveau(x) Le théâtre : genres et registres (le comique et le tragique) (Seconde). Le théâtre : texte et représentation (Première). Compléments aux travaux

Identifier la différence entre la nouvelle réaliste et fantastique. A.Langue : Le participe passé (l’accord) Compétence ciblée :  Identifier les caractéristiques grammaticales du participe passé. A.Orales : Poème (sonnet) : A une passante, Baudelaire .Ch Compétences ciblées :  Idem (poème précédent) A.P.E : Sujet : Oluf parvient à avoir Brenda comme épouse. Imaginez une suite heureuse… Compétences ciblées : ¤ Rédiger la suite d’un récit. ¤ Ecrire un récit en respectant

Arlequin. En attendant qu’il soit pourvu, donnez-lui seulement votre belle main blanche pour l’amuser un peu. Lisette. Tenez donc petit importun, puisqu’on ne saurait avoir la paix qu’en vous amusant. Arlequin, lui baisant la main. Cher joujou de mon âme ! Cela me réjouit comme du vin délicieux, quel dommage, de n’en avoir que roquille ! Lisette. Allons, arrêtez-vous, vous êtes trop avide. Arlequin. Je ne demande qu’à me soutenir en attendant que je vive. Lisette. Ne faut-il

|Analyser la fonction argumentative de la description |Identifier le vocabulaire du mélioratif et du péjoratif |Rédiger une explication de texte (2) | | | |Cned 3ème le joujou du pauvre | | | |10 |Remettre l’explication de texte (environ 4 pages, Times