Baudelaire Le Voyage Section 7 Et 8

Exercices d’entraînement (1 heure) Objectif : revoir la notion de point de vue ; reconnaître le mode d’énonciation d’un texte (narrateur extérieur ou intérieur à l’histoire). Activités : - exercices 1 et 2 p.175 in Méthodes et Techniques - exercices 7 et 8 p.31 in Expression (Magnard) - distribution d’une fiche mémo sur les trois points de vue À faire au propre pour le jeudi 25 septembre : exercice 4 p. 175 in Méthodes et Techniques. S7 : Boitelle : l’écriture réaliste (1 heure) Objectifs :

Ferré 6.1.1 Parutions posthumes 6.2 En collaboration 6.2.1 Parutions posthumes 6.3 Ouvrages sur Léo Ferré 6.3.1 Biographies 6.3.2 Entretiens 6.3.3 Études 6.3.4 Livres de photographies 6.3.5 Témoignages 6.3.6 Divers 7 Voir aussi 7.1 Interprètes 7.2 Liens externes 8 Notes et références 8.1 Notes 8.2 Références Biographie[modifier | modifier le code] L'enfance[modifier | modifier le code] Fils de Joseph Ferré, directeur du personnel du Casino de Monte-Carlo, et de Marie Scotto, couturière

Textes françaisA une passante Intro : Baudelaire → écrivain, poète à scandale, activité féminine Les Fleurs du Mal → 3 procès, censures de certains poèmes, restauration au XXe siècle, Oxymore : Beauté = Mal alors que Beauté associé avec le Bien à l’époque. A une passante → Extrait de “Tableaux parisiens” , description d’une facette de Paris lors de la rév urbaine sous N 3. Lecture Structure : Sonnet, chant amoureux 2 quatrains = tableau d’un coup de foudre entre poète et la femme 2 tercets = reproche

qui laissait voir des bas de soie blancs avec plus d’un trou » (l. 5), la prostituée de Barbey d’Aurevilly est vêtue d’une robe « de satin safran, aux tons d’or » (l. 3) et la « plume rouge de son chapeau blanc lui vibrait jusque sur l’épaule » (l. 7), quant à Nana déguisée en « Vénus » (l. 1), déesse de l’amour, une « mince tunique » (l. 37), qu’on suppose donc assez transparente, dessine la « rondeur » (l. 37) de sa hanche. D’ailleurs, la couleur « rouge », avec ses nuances « écarlate » ou «

qui laissait voir des bas de soie blancs avec plus d’un trou » (l. 5), la prostituée de Barbey d’Aurevilly est vêtue d’une robe « de satin safran, aux tons d’or » (l. 3) et la « plume rouge de son chapeau blanc lui vibrait jusque sur l’épaule » (l. 7), quant à Nana déguisée en « Vénus » (l. 1), déesse de l’amour, une « mince tunique » (l. 37), qu’on suppose donc assez transparente, dessine la « rondeur » (l. 37) de sa hanche. D’ailleurs, la couleur « rouge », avec ses nuances « écarlate » ou « vermillon

traduction romantique, Lafond offre une « première traduction » [6] des sonnets résolument personnelle, peu littérale, qui obéit à des choix esthétiques à contre-courant de son époque — et annoncent paradoxalement la réhabilitation du sonnet par Baudelaire et, plus tard, par les symbolistes. Rappelons les termes du débat qui oppose tenants de la traduction en prose et ceux de la traduction en vers. Benjamin Laroche, qui est aussi traducteur de Byron, défend crânement dans sa préface aux œuvres du

qui s’y installèrent en 1812, durant les opérations liées à la campagne de Russie.”[5] En 1812 au mois de décembre l’officier Henri Beyle (plus tard connu sous le nom de Stendhal) est venu à Vilnius. Cette maison le abritait les 6 et 7 décembre 1812. “En souvenir de ce bref séjour, les Français appellent ce lieu “Maison Stendhal”. [6] En outre, à cette époque la librairie “Fryderyk Moritz’’ habitait dans cette maison. “Parmi les autres professeurs de cette université

l’abbé Ganser, rue de Thorigny. Les élèves de ces deux institutions suivent en fait les cours du lycée Charlemagne, où se trouve aussi Jules Michelet, dont les résultats scolaires sont toutefois plus brillants que les siens[7] . Le 4 novembre 1816, le jeune Balzac s’inscrit en droit[8] . En même temps, il prend des leçons particulières et suit des cours à la Sorbonne. Il fréquente aussi le Muséum d'Histoire naturelle, où il s’intéresse aux théories de Cuvier et de Geoffroy Saint-Hilaire. La Trinité et

qui laissait voir des bas de soie blancs avec plus d’un trou » (l. 5), la prostituée de Barbey d’Aurevilly est vêtue d’une robe « de satin safran, aux tons d’or » (l. 3) et la « plume rouge de son chapeau blanc lui vibrait jusque sur l’épaule » (l. 7), quant à Nana déguisée en « Vénus » (l. 1), déesse de l’amour, une « mince tunique » (l. 37), qu’on suppose donc assez transparente, dessine la « rondeur » (l. 37) de sa hanche. D’ailleurs, la couleur « rouge », avec ses nuances « écarlate » ou « vermillon

dévouées, pleines de finesses, enclines à la mélancolie : elles sont mieux femmes que les autres. » (Balzac, Le Lys dans la vallée) Mais par dessus tout, la mélancolie est le signe distinctif de l'artiste : c'est déjà le spleen (cf. plus tard Baudelaire) sans cause précise, état morbide où l'on ne se supporte plus, où la solitude est un enfer, où la conscience du temps qui passe et le malheur de l'homme, la cruauté de la nature accablent l'esprit, et lui inspirent des tentations de révoltes politiques