Baudelaire Paysage

une journée entière sans interruption, à travers un paysage aux aspects variés. b) La progression dans l'espace Elle est exprimée par une série de compléments de lieu soulignant le passage, et la succession des paysages différents (anaphore de "j'irai par", énumération des éléments de la nature "par la forêt", "par la montagne"). On peut noter le caractère vague, sauvage et difficile de l'itinéraire suivi. Dans la strophe 3 le changement de paysage (il devient maritime et fluvial, ce que suggèrent

l'intermédiaire d'une peinture nuancée, de paysages. Paysages belges, dont l'écriture est centrée sur l'évocation de paysages, et présente ainsi la peinture impressionniste. Birds in the night qui est un seul long poème, et enfin Aquarelles, qui annonce l'évocation de paysages avec des teintes nuancées. Verlaine s'intéresse à d'autres arts que la poésie, et a même enseigné le dessin, et s'est beaucoup intéressé à la question du paysage. Il aime décrire les paysages à la manière impressionniste, qui saisissent

journée entière sans interruption, à travers un paysage aux aspects variés. b) La progression dans l'espace Elle est exprimée par une série de compléments de lieu soulignant le passage, et la succession des paysages différents (anaphore de "j'irai par", énumération des éléments de la nature "par la forêt", "par la montagne"). On peut noter le caractère vague, sauvage et difficile de l'itinéraire suivi. Dans la strophe 3 le changement de paysage (il devient maritime et fluvial, ce que suggèrent

changements d'états d'âme chez celui qui le ressent. « Chanson d'automne » est un poème reflétant le thème du poète incompris car l'auteur se cache derrière une saison pour nous le reflet de son état d'âme. Ce poème se trouve dans le recueil Paysages tristes qui sont des poèmes saturniens publié en 1866. J'ai voulu choisir ces poèmes de cette façon car c'est comme une ordre chronologique ; d'abord une rencontre amoureuse qui mène à un coup de foudre. Nous avons ensuite la description

Moulin près de Wijk bij Duurstede Peint par Jacob van Ruisdael vers 1670, huile sur toile, 83 x 101 cm. Exposé à Rijksmuseum, Amsterdam. Jacob van Ruisdael est un peintre de paysage néerlandais du siècle d'or. Cette période, comprise entre 1584 et 1702, connaît un afflux d'écrivains, d'érudits qui s'installent pour publier en toute liberté. Cependant, si quelques rares peintres appréciés pouvaient subvenir à leur besoins par des activités annexes, les moins connus ne pouvaient vivre que de

journée entière sans interruption, à travers un paysage aux aspects variés. b) La progression dans l'espace Elle est exprimée par une série de compléments de lieu soulignant le passage, et la succession des paysages différents (anaphore de "j'irai par", énumération des éléments de la nature "par la forêt", "par la montagne"). On peut noter le caractère vague, sauvage et difficile de l'itinéraire suivi. Dans la strophe 3 le changement de paysage (il devient maritime et fluvial, ce que suggèrent

Verlaine est avant tout un poète des clairs-obscurs. L’emploi de rythmes impairs, d’assonances, de paysages en demi-teintes le confirment, rapprochant même, par exemple, l’univers des Romances sans paroles des plus belles réussites impressionnistes. Il renonce à des études de droit, et fréquente des cafés et cercles littéraires dont celui des Vilaines Bonshommes. Il est un grand admirateur de Baudelaire et décide de s’essayer à la poésie son premier recueil Poèmes saturniens sort en 1866 alors qu’il

DES SOURCES D’INSPIRATION : - Les paysages romantiques : recherche de paysages nouveaux, du dépaysement. Immensité ; infini ; désordre ; mouvement. Montagne ; mer ; orages ; tempêtes... Paysage et état d’âme : la nature est à la fois une confidente et une consolatrice. A travers elle, le romantique exprime sa sensibilité. Il en cherche les symboles, la découvre par la contemplation (Hugo) et le rêve ou en déchiffre les «correspondances» (Baudelaire). - Attrait pour les pays étrangers

minée a quelque chose d’intense, sur fond de nature déserte, c’est comme un surcroît d’être dans le néant, aussi insistant que paradoxal » L’Arrière-pays - Mallarmé ; se voue à la recherche et recréation de l’idée pour avouer sa faillite. - Baudelaire ; véritable héros de l’anti concept. - Bonnefoy ; dépassement et déni du concept. Ne cherche pas grâce dans la pierre mais juste dans roche terne et neutre, à l’opposé du vain ; « camaïeu du concept » L’improbable. Cultive le « gris profond, violent…des

comme "saignaient") et joyeux ("la gaieté...la poésie") qui rappelle le bonheur éprouve par Jeanne quand elle gambadait dans le nature. On remarque les énumérations de fleur ("pissenlits, coquelicots, marguerites") et d'insectes ("papillons"), ce paysage printanier est très anime. Mais cette description est sous forme interrogative et au passe: "étaient-ce...Qu'étaient". Cette évocation traduit donc une déception; Jeanne éprouve une douleur quand elle ne retrouve pas SA nature. Elle s’estime trahie