Bazar de l'Hôtel de Ville

qu’il soit loisible à tout désespoir tragique de terminer par là son cours. Mais… mais, je vous l’ai dit mille fois, je suis un comédien qui a de la religion. Vous souvenez-vous de la façon dont je jouais Achille, quand par hasard passant dans une ville de troisième ou te quatrième ordre, il nous prenait la fantaisie d’étendre le culte négligé des anciens tragiques français? J’étais noble et puissant, n’est-ce pas, sous le casque doré aux crins de pourpre, sous la cuirasse étincelante, et drapé d’un

choix des personnes enquêtées et de par leur nombre, notre enquête ne représente pas un échantillon représentatif des résidents en EHPAD. Elle nous donne un point de vue sur les pratiques, et les pensées de quatre personnes vivant en EHPAD dans une ville de Bretagne. Nos quatre enquêtés 2 Desanti R., Cardon P (2010), Initiation à l’enquête sociologique, Rueil-Malmaison, édition ASH, p.57 3 cf. annexe 1 p.25 6 se sont retrouvés isolés de leurs liens habituels et ont été obligés de se confronter

En arrivant chez elle, elle trouva un superbe bouquet de roses avec juste ce mot : Des roses pour vous souhaiter un bon retour à la maison. F. Sakina menait une vie calme et simple. Elle vivait avec ses parents dans un petit appartement au centre-ville où régnait une agitation bruyante jour et nuit. Elle s’était habituée à dormir en se bouchant les oreilles avec des boules en cire et préférait lire plutôt qu’écouter de la musique. Elle aimait les romans de Guy des Cars, comme la plupart des filles

En arrivant chez elle, elle trouva un superbe bouquet de roses avec juste ce mot : Des roses pour vous souhaiter un bon retour à la maison. F. Sakina menait une vie calme et simple. Elle vivait avec ses parents dans un petit appartement au centre-ville où régnait une agitation bruyante jour et nuit. Elle s’était habituée à dormir en se bouchant les oreilles avec des boules en cire et préférait lire plutôt qu’écouter de la musique. Elle aimait les romans de Guy des Cars, comme la plupart des filles

expositions de la BnF Émile Zola, expositions en images, dossiers préparatoires, gros plans Adresse : http://expositions.bnf.fr/zola/index.htm Au Bonheur des Dames, l'exposition en images (une nouvelle société, naissance du commerce, espace de la ville - espace du roman, le roman de la modernité) Au Bonheur des Dames, gros plans (le grand magasin, la publicité)  Doc La bourgeoise au XIX siècle  Doc Crinoline mode du XIXe siècle  Doc La société industrielle (1850 - 1939)  Travail individuel :

expositions de la BnF Émile Zola, expositions en images, dossiers préparatoires, gros plans Adresse : http://expositions.bnf.fr/zola/index.htm Au Bonheur des Dames, l'exposition en images (une nouvelle société, naissance du commerce, espace de la ville - espace du roman, le roman de la modernité) Au Bonheur des Dames, gros plans (le grand magasin, la publicité)  Doc La bourgeoise au XIX siècle  Doc Crinoline mode du XIXe siècle  Doc La société industrielle (1850 - 1939)  Travail individuel

traîtres figés dans l’étreinte glacée de Lucifer. Je franchis les dernières marches et parviens au sommet, chancelant, au bord de la syncope, dans l’air humide du matin. Je me précipite vers le mur, scrute le vide par les interstices. En contrebas, ma ville bénie, mon refuge contre ceux qui m’ont contraint à l’exil. Les voix se font entendre, plus claires, toujours plus proches. « Ce que vous avez fait est une abomination ! » Une folie contre une autre. « Pour l’amour du ciel, dites-nous où vous l’avez

couloir, à toute volée : « C’est frappé ! » – Ça commence à être joli, trois fois, dit Simonne, lorsqu’elle put parler. Vous savez qu’il ne veut pas aller chez elle ; il l’emmène chez lui. Et il paraît que ça lui coûte bon. – Parbleu ! quand on va en ville ! murmura méchamment Prullière, en se levant pour jeter dans la glace un coup d’œil de bel homme adoré des loges. – C’est frappé ! c’est frappé ! répétait la voix de plus en plus perdue de l’avertisseur, courant les étages et les corridors. Alors,

traîtres figés dans l’étreinte glacée de Lucifer. Je franchis les dernières marches et parviens au sommet, chancelant, au bord de la syncope, dans l’air humide du matin. Je me précipite vers le mur, scrute le vide par les interstices. En contrebas, ma ville bénie, mon refuge contre ceux qui m’ont contraint à l’exil. Les voix se font entendre, plus claires, toujours plus proches. « Ce que vous avez fait est une abomination ! » Une folie contre une autre. « Pour l’amour du ciel, dites-nous où vous l’avez

sont diverses dans leur composition. Elles ont donc des besoins et des attentes différentes. La Ville de Tours souhaite répondre aux mieux aux familles et offrir à chacune d’entre elles un accueil adapté avec des solutions souples, variées et complémentaires garantissant les conditions favorables à l’épanouissement des enfants, comme à leur sécurité. Il s’agit là pour moi d’un objectif essentiel. La Ville de Tours propose donc des solutions multiples, permettant aux enfants de grandir sereinement,