Béarnais

un appel d'offres du conseil général des Pyrénées-Atlantiques pour son mobilier urbain que ce designer d'origine tunisienne, installé dans le Sud-Ouest depuis vingt-cinq ans, a choisi ce symbole: «Il fallait trouver un élément basco-béarnais fédérateur. Or les Béarnais fabriquent le béret et les Basques le portent.» Va donc pour le txapela (couvre-chef), dont la représentation stylisée orne bientôt les tee-shirts qu'il vend lui-même dans les magasins du Pays basque. Seule Bayonne lui échappe à ce

Sylphide, Toastinette Fromage à pâte pressée Fromage de chèvre Fromage de chèvre Pont-l’évêque et livarot, pavé d’Auge et Deauville Fromage de Savoie -8- Rouge Vert Vert Rouge Rouge Rouge Rouge Vert Vert Le Francomtois Les Fermiers basco-béarnais Les Fermiers du Rocamadour Les Fromages Onetik Les Fromageries Riches Monts Lesire et Roger Les Monts de Joux Les Paulinetoises Les Terres d’Auvergne Fromage frais moulé à la louche Le Tamié Brie de Meaux AOC, coulommiers au lait cru Pont-l’évêque

forment de grands joueurs ! Les petits clubs de sports permettent également à des centaines de jeunes de se structurer et de découvrir différents sports. En Aquitaine il y a également des équipes sportives représentées au niveau national : L’Elan Béarnais, les Girondins de Bordeaux, le Biarritz Olympique….. Le sport et le handicap o Le handicap Selon le secrétariat national aux Personnes handicapées, il y aurait globalement 5,5 millions de personnes handicapées en France : - 60 000

l'immensité ténébreuse de l'histoire, où jaillissaient encore çà et là, mais plus perdus dans l'ombre et sans aucun rapport entre eux, Saint Louis avec son chêne, Bayard mourant, quelques férocités de Louis XI, un peu de Saint-Barthélemy, le panache du Béarnais, et toujours le souvenir des assiettes peintes où Louis XIV était vanté. I, 9 Le repas d’Emma et Charles (…) Mais c'était surtout aux heures des repas qu'elle n'en pouvait plus, dans cette petite salle au rez-dechaussée, avec le poêle qui fumait

Moyen-Age, les écrivains utilisent le latin, la langue véhiculaire (en opposition au langue vernaculaire). Cependant, le peuple n'apprend et ne comprend plus cette langue. On utilise des patois ou dialectes différents selon les régions. En France, un béarnais ne pouvait comprendre le basque, le poitevin ou encore le savoyard. Peu à peu, le français ou françois va apparaître mais il n'était parler que par les Parisiens et les aristocrates, et ne restait qu'une langue secondaire dans les autres régions

province est aussi la Catalogne française, d’où ces noms de «Catalans» et de «Catalanes» qui émaillent le texte. Le nom du village, Ille (Ille-sur-Têt) est authentique, tandis que ceux des personnages sont fantaisistes : Peyrehorade est en fait un nom béarnais, celui d’un chef-lieu de canton des Landes ; Puygarrig est en fait le nom à peine transformé d’un archéologue roussillonnais, connu de Mérimée, qui avait à s’en venger. Dans le Roussillon, Mérimée visita encore le cloître d’Elne, Bouleternère, le

sentiment instinctif qui lui disait que cet inconnu devait avoir une grande influence sur sa vie à venir. Or, comme au moment où d’Artagnan fixait son regard sur le gentilhomme au pourpoint violet, le gentilhomme faisait à l’endroit du bidet béarnais une de ses plus savantes et de ses plus profondes démonstrations, ses deux auditeurs éclatèrent de rire, et lui-même laissa visiblement, contre son habitude, errer, si l’on peut parler ainsi, un pâle sourire sur son visage. Cette fois, il 22

III, 10, p.1215-1217 ↑ Essais, III, 12, p.1256 ↑ Essais, III, 12, p.1260 ↑ Essais, III, 12, p.1264 ↑ Essais, III, 12, p.1263 ↑ « Ici est arrivé, dit-on, Monsieur de Montaigne, qui est gentilhomme catholique… ceux qui conduisent les affaires du Béarnais ne savent pas la cause de sa venue et soupçonnent qu’il a en main quelque commission secrète. » écrit l’ambassadeur espagnol don Bernardino de Mendoza à Philippe II. Sir Edouard Stafford, l’ambassadeur anglais parle lui de « la venue d’un certain

langues régionales parlées en Aquitaine sont au nombre de trois : l'occitan, le basque et le saintongeais. Les dialectes occitans parlés en Aquitaine sont : * le gascon parlé dans la Gironde, le sud du Lot-et-Garonne, les Landes, y compris le béarnais parlé dans le Béarn (Pyrénées-Atlantiques). Sa spécificité est telle qu'il est souvent considéré comme une langue à part entière au sein de l'ensemble linguistique d'oc. * le languedocien du sud de la Dordogne au nord du Lot-et-Garonne en passant

siècles passés à constituer historiquement la situation linguistique française. Les langues romanes. « Oïl » dans le Nord (picard, wallon, normand, poitevin, gallo, berrichon), « Oc » dans le Sud (limousin, auvergnat, provençal, niçart, gascon, béarnais), « franco-provençal » de la Savoie au Forez. Les langues non-romanes. Langues germaniques (flamand, alsacien, lorrain), langue celtique (breton), le basque. Les langues territoriales sont désormais des langues de faible vitalité. Perdant leurs