Beau Malheur

un premier temps que si « une construction est correcte sur le plan architectural, une certaine élégance émanera de sa structure » Pourtant, et l’auteur le souligne, de nombreuses structures pourtant correctes semblent laides pour beaucoup. Le beau est subjectif, et les critères de beauté évoluent au cours du temps, seule la perfection structurale mène à la beauté.

au poème. Le « vous » est la femme qu’il aime et le nous représente le collectif, le couple. Par rapport à la thématique des Fleurs du mal, le fait que de la mort s’échappe la mort, montre que du laid nait le beau ou vice versa comme le suggère le titre. La charogne se trouve dans un beau décor, elle a quelque chose d’opportuniste. Il y a aussi l’évocation de la continuité de l’amour. Il y a tout au long du texte un champ lexical de la nature. Strophe 1 Il y a d’emblée un impératif ce qui

l’avons du tout étouffée. Si est-ce que, partout où sa pureté reluit, elle fait une merveilleuse honte à nos vaines et frivoles entreprises. Le lierre pousse mieux de lui-même, L’arbousier pousse plus beau dans les antres solitaires, Et le chant des oiseaux est plus beau parce qu’il est sans art. Tous nos efforts ne peuvent seulement arriver à représenter le nid du moindre oiselet, sa contexture, sa beauté et l’utilité de son usage, non pas la tissure de la chétive araignée

XIXème siècle. Il est réputé pour la modernité de ses poèmes, il rompt avec l’esthétique classique et popularise le poème en prose. Il grandit en opposition avec les valeurs bourgeoises qu’incarnent ses parents, il déteste la rigueur militaire de son beau-père. Endetté, il connait dès 1842 une vie de dandy pauvre. Il est connu comme critique d’art et journaliste, ses mentors sont Delacroix, Balzac et Edgar Allan Poe, dont il sera le traducteur. Il participe aux émeutes de 1848. Les Fleurs du mal paraissent

par cette phrase prêtée à Oscar Wilde « la beauté est dans les yeux de celui qui regarde ». De même, Jauss dans Pour une esthétique de la réception, décrit la révolution qui s'est opérée dans l'art et qui consiste à ne plus considérer le critère du beau comme transcendant, et intrinsèque à l'oeuvre, mais comme dépendant de la réception. Ainsi ce serait le récepteur qui ferait l'oeuvre, de son jugement dépendrait la qualité de l'oeuvre. En ce cas, la légitimité de la critique d'art est à l'épreuve

L'art au sens ancien représente la technique , la création artistique , la recherche du beau , toute pratique produisant un résultat artificiel , dans l'estethique moderne cela represente la création d'oeuvres tendant a plaire , a satisfaire le gout . Une oeuvre d'art est un ensemble de formes mis en place pour créer d'une maniere desintéressée , l'utile est l'efficacité de quelque chose pour un but , l'inutile par antagonie est un moyen inneficace pour une fin , peut-on alors dire que l'art est-utile

idéale, et quand ça arrive ben ça se passe jamais comme en répet: je merde dans la phrase d'accroche en général, je parle pas assez fort et je suis mieleux. Trop classique, hyper prévisible, et puis en face la concurrence attention, ils sont en mode beau gosse les mecs ils rigolent pas, la moindre erreur est fatale ,pas de place pour les faibles. Donc quand ça marche pas, ce qui arrive la plupart du temps je le cache pas, je continue quand meme à dancer histoire de pas perdre la face et de se retirer

du philosophe allemand Baumgarten, l'esthétique signifie "la science de l'art" dont l'objet est le Beau et l'émotion qu'il produit sur l'homme. Cette émotion est constitutive de la "belle pensée"(=intelligence) que l'individu acquiert à la contemplation de la beauté artistique. Les définitions de l'esthétique données par les dictionnaires hésitent sur l'étendue à donner à cette science du beau : est-ce dans l'art, la nature ? En fonction de cette application plus ou moins étendue à la nature

différences entre les deux oeuvres.    Nous pouvons costater que ces deux oeuvres racontent la même histoire.    En effet, le personnage principal est commun aux deux oeuvres dans la mesure où il s'agit dans les deux cas de Georges Duroy, qui est un "beau gosse" qui plaît â toute sorte de femme, de la bourgeoise à l'ouvrière en passant par l'institutrice. On peut le voir à travers ses aventures successives avec une prostitiuée (Rachel),  une "femme du monde" (Madeleine Forestier) et une bourgeoise (Clotilde

d'aboutir à une production artistique: l'art est à la recherche du beau. Par ce fait, on peut remarquer qu'un artiste se doit de traverser tout un apprentissage lors de sa création artistique. Par cela j'entends que c'est l'aptitude de l'artiste à créer le beau qui nous mène vers l'idée d'apprentissage. On peut ainsi comprendre l'expression « tout le monde ne peut pas être un artiste », ou même « c'est un don que d'être un artiste »: créer le beau nous semble être, à nous spectateur, une tâche irréalisable