Beau Travail

certains préfèrent passer leur vacances au ski, d’autres préfèrent le soleil de la méditerranée. Le plaisir, propre à chacun, appartiendrait donc au domaine de l’agréable. Kant, dans la critique de la faculté de juger, établit une distinction entre le beau et l’agréable. L’agréable est un sentiment singulier, personnel, “à chacun ses goûts”. Tandis que, lorsque je dis qu’une chose est belle, je dis plus que mon simple plaisir ; j’estime que l’oeuvre est belle pour moi et pour les autres. De plus, la

contenus qui sont de l’art, mais bien qu’ils soient représentés par l’art. Ainsi, ce ne seraient pas les sujets des tableaux en eux-mêmes qui sont œuvres d’art mais bien le travail de ceux-ci, la technique, la réflexion qui a permit d’aboutir à l’œuvre finale. L’art ne serait donc pas pour Hegel les tableaux en eux même, mais le travail, au sens large du terme, qu’il a fallu à l’artiste pour arriver à son aboutissement, et ce que ces objets, ces situations, ont comme effet sur nous, les spectateurs lorsque

la violence du besoin, l’exigence de la haine et le visage de la mort. En vingt ans, cet homme fera l’apprentissage de la brisure entre un père qui fait des enfants pour les haïr (il lui arrive même de leur tordre le cou) et une mère obligée de travailler pour nourrir une famille vouée à la brutalité du besoin. Mohamed Choukri traversera l’époque sans jamais avoir le temps d’être étonné, ni de se préoccuper de ramasser quelques souvenirs. Le rêve tiendra lieu de mémoire et d’avenir. Dans sa tête

vis, un matin, à l’heure où sous les cieux Froids et clairs le Travail s’éveille, où la voirie Pousse un sombre ouragan dans l’air silencieux, Un cygne qui s’était évadé de sa cage, Et, de ses pieds palmés frottant le pavé sec, Sur le sol raboteux traînait son blanc plumage. Près d’un ruisseau sans eau la bête ouvrant le bec Baignait nerveusement ses ailes dans la poudre, Et disait, le cœur plein de son beau lac natal : « Eau, quand donc pleuvras-tu ? quand tonneras-tu,

la différence d'intentions. La suite de l'article contient plusieurs interviews qui résument pour chacuns les raisons d'avoir encrer sa peau. On peut les regrouper en deux catégories : Les personnes qui l'ont fait pour eux-même (se rendre plus beau, représentation de quelque chose qu'on aime, souvenirs,...) et les personnes qui l'ont fait pour les autres (erreurs de jeunesse, faire le même que tout le monde, mode,...). Pour moi cet article amène à la question suivante : Devrait-on accepter

succèdent, se superposentet le plus souvent s'affrontent ; ainsi réalisme et romantisme ont des visions opposées de ce que doit être la littérature. Dès 1835, la naissance du Parnasse pose les fondations d'un nouvel art,seulement voué à être beau et par lequel le travail de l'écriture même donnerait à l'œuvre toute sa dimension artistique : c'est l'Art pour l'Art. On retrouve bien les aspirations de Wilde : l'œuvrelittéraire doit être « bien écrite », rien de plus. Pourtant, les œuvres d'art semblent ne

et qui m'intriguent fortement. Le Romantisme est un mouvement littéraire qui prône l'expression des sentiments et des sensations lyrique en abolissant les règles strictes de la littérature classique. Il joue sur les contrastes, sur l'opposition du beau et du laid, du sublime et du grotesque. Il préconise la liberté et le naturel en art. Le Romantisme s'exerce dans la poésie , les romans , ainsi que le théâtre. Ce mouvement se développe durant la Révolution de 1789 qui a obtenu la Déclaration des

vous a poussé à interpréter ce magnifique et cynique personnage qu'est Perdican dans le chef d'œuvre de Musset : On ne badine pas avec l'amour ? - Et bien, lorsque j'ai lu pour la première fois, j'ai tout de suite su que ce rôle était fait pour moi ! Beau gosse, intelligent et fier à la fois : ma réincarnation parfaite. - Pourquoi Perdican et non pas un autre personnage ? - Perdican, tout au long de l'histoire, m'a paru très " sincère et concret ", notamment lors de ce passage où il avoue sa flamme

commencer par poser une question. Qu’est-ce que l’Amour? Je crois qu’il y a plusieurs réponses possibles. Dans le livre «Le Banquet» Diotime nous présente une conception de l’Amour. Elle nous affirme que l’Amour est un mot intermédiaire. Il n’est ni beau ni laid, ni riche ni pauvre. Diotime mentionne que si une chose n’est pas belle, elle n’est pas nécessairement laide. Je crois que ce que Diotime essaie de nous faire comprendre, c’est que l’Amour peut être bien ou mal mais que l’Amour en soit, au

littéraire, de nombreuses critiques ont été faites, celles d’Henry James : « L'Education me fait sentir combien un écrivain est parfois plus passionnant par un échec que par un succès (...)» montre bien que l’échec dans la littérature est quelque chose de beau et d’apprécier –contrairement à l’échec vécu dans la réalité- La transposition de la déception, de l’échec ou encore de la frustration dans ce livre à été très bien faites, Flaubert « voulant faire l’histoire morale des hommes de sa génération »